Étude : le niveau des élèves français s’est effondré en 40 ans malgré une hausse massive des moyens financiers

La rédaction
Démocratie Participative
04 septembre 2023

 

Qui l’aurait cru ? Le niveau scolaire français s’effondre sous l’effet de l’africanisation démographique.

Malgré les milliards d’euros déversé dans le tonneau des Danaïdes de l’inégalité raciale, rien n’y fait : la génétique semble ne pas être influencée par l’argent !

Il ne faut pas capituler pour autant.

Les sociologues marxistes ont des options à proposer, la plus audacieuse est sûrement celle que vient de proposer le mélenchoniste basané Bernard Lahire  sur Fronsse Culture : empêcher les parents blancs d’éduquer leurs enfants blancs.

Le déterminisme social est secondaire par rapport au déterminisme racial. Peu importe le dernier logiciel que vous achetez, si vous tournez sur un PC de 1998, ce sera compliqué. Les noirs et les arabes sont plutôt des PC du septième siècle.

Plus la société devient racialement hétérogène, plus le fossé cognitif s’agrandit entre les races, plus les Blancs dominent de leur supériorité un pays par ailleurs plombé par les bouches inutiles du tiers-monde.

Cela entraîne en retour la montée quasi perpétuelle de la frustration des races de boue dont la gauche blanche se nourrit. Les démagogues marxistes ont beau jeu de proposer le racket fiscal organisé pour « corriger » ce qui n’a pas à être corrigé et ne peut pas être corrigé : les races génétiquement déterminés pour être inférieures.

La véritable question qui se pose aux Blancs dans une société multiraciale est de savoir comment paralyser l’État qui les vole pour nourrir les masses allogènes parasitaires. Ceci d’autant plus que ces masses sont naturalisées, donc deviennent des clientèles électorales qui gonflent à leur tour les voiles des démagogues marxistes qui ont un intérêt bien compris à presser davantage le citron blanc.

C’est une spirale infernale.

Franchement, les Blancs qui ont un instinct de survie devraient se focaliser sur la structuration de communautés solides tournées vers les enfants et leurs besoins, hors de l’enfer racial. C’est vrai dans tous les domaines, qu’il s’agisse de l’école, de la garde, des activités extra-scolaires, de la santé.

À mon sens, cela ne peut se matérialiser qu’à l’échelle d’au moins un village d’au moins une centaine de personnes.

La préservation de ses enfants est un puissant levier de mobilisation.

C’est vers ça que l’énergie devrait se concentrer plutôt que sur les « élections » qui consistent à espérer que cet état judéo-négrifié devienne moins nocif grâce à l’action miraculeuse de Marine Le Pen.

Je ne recommande pas d’entretenir une telle illusion.

Tant que l’État tient debout, son intérêt immédiat est de s’assurer que les allogènes se tiennent tranquilles. Peu importe qui est nominalement à la tête de cet état. Pour cela, le pillage doit continuer.

Il ne s’agit pas simplement d’être « entre Blancs » – vous pouvez bouger dans un village 100% blanc n’importe quand -, mais de soutenir un projet d’avenir qui intègre tous les paramètres que nous connaissons.

Des tas de gens fuient les allogènes, quitte à déménager très loin, le principal obstacle est donc déjà techniquement levé. Il s’agit davantage de l’action dans la durée.

Naturellement, on ne peut le dire sur tous les toits, car cet état juif s’empresserait de décréter l’état de siège.

Il n’en reste pas moins que c’est une dimension importante pour l’avenir. Quoi qu’il arrive, beaucoup de Blancs ne voudront pas vivre encerclés par des hordes du Mordor.

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