Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 décembre 2017
Renaud Camus a semble-t-il décidé de capitaliser sur l’holocauste, mais au profit des Blancs cette fois. L’exercice paraît ésotérique au mieux, mais l’expérience vaut la peine d’être étudiée.
Je m’en fous, collez moi encore un procès, mais je le répète : l’univers concentrationnaire était une expérience de laboratoire, plus concentrée dans son atrocité, mais infiniment moins large que le crime abominable de la substitution ethnique, destruction des Européens d’Europe.
— Renaud Camus (@RenaudCamus) 5 décembre 2017
Naturellement, il existe une loi pour garantir au peuple élu un copyright éternel.
L’Europe entière peut-être détruite par une politique d’anéantissement racial, cela ne pèse pas même un demi gramme au regard de la juiverie. Seul compte son besoin obscène d’être portée aux nues dans une débauche écoeurante de gémissements.
Personnellement, je pense que l’homme blanc est hémertique à cette truanderie émotionnelle sémitique conçue pour circonvenir le goy et qu’il se rabaisserait inutilement en en agitant la pierre de touche de l’antiracisme qu’est le « souvenir » du fameux holocauste. C’est une contradiction fondamentale.
Mais enfin, au plan du relativisme, c’est une avancée.