Le Nazi génocidaire Etienne Chouard dit qu’il ne « sait pas » si Hitler a gazé ou non 6 millions de juifs à l’insecticide

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2019

« J’ai trouvé en Adolf Hitler un sincère défenseur des droits humains »

Après la purge d’Aude Lancelin du « Média » de Mélenchon, la France Insoumise est occupée à donner des gages à la juiverie. Dernier acte de ce ralliement : le passage à la question de Chouard, celui qui a popularisé le RIC des Gilets Jaunes.

Etienne Chouard inquiète grandement les juifs en raison du concept qu’il développe depuis plusieurs années selon lequel les goyim doivent pouvoir dire ce qu’ils veulent.

*Si vous avez raté les deux derniers siècles d’histoire occidentale, les juifs ne veulent pas que les goyim puissent dire ce qu’ils veulent.

Le yid Mathias Enthoven en est rapidement venu à la seule chose qui compte dans toute théocratie juive qui se respecte : le crédo des 6 trilliards de millions de juifs gazés par Adolf Hitler.

La réponse de Chouard est rationnelle.

En résumé, il dit qu’il n’a jamais rien lu sur la question, qu’il ne l’a pas étudié et qu’avant d’être définitif sur le sujet, il devrait consacrer du temps à s’informer pour répondre de manière crédible.

C’est également ce que je ferais sur n’importe quel sujet.

Le problème, c’est que le peuple élu exige de croire, pas de savoir.

C’est là que se situe la définition de la vérité aryenne : l’Aryen, lui, veut savoir, pas croire.

Ce qui tient lieu de « vérité » pour le juif n’est que la somme des mensonges qu’il a confectionné sur le moment pour les besoins de sa domination sans partage.

C’est pourquoi il peut dire tout et l’inverse de tout, le plus naturellement du monde.

Cet épisode démontre en tout cas que dans cette Europe sous la coupe de la juiverie, faire allégeance suppose de se prosterner devant le totem de l’assassinat par insecticide de 600 millions de juifs dans une pièce avec une porte en bois.

Avec une fenêtre.

Le juif a cependant besoin d’une preuve publique d’hérésie avant de demander au tribunal rabbinique de sévir et à sa presse d’appeler au meurtre.

C’est-à-dire d’une preuve d’un manque de foi.

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