Le mulâtre patriote Batum s’excuse auprès des nègres de s’être dit français lors de la victoire de la Coupe du Monde

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 juillet 2018

 

Voilà qui illustre parfaitement ce que nous disons ici : les déterminismes raciaux sont indépassables et ils constituent les lignes de fractures entre groupes sur lesquelles se définissent ensuite les frontières politiques.

Suite à la victoire de l’équipe de France, le « mulâtre patriote » et basketteur Nicolas Batum avait cru bon de prendre à partir les racistes noirs qui évoquaient une « victoire de l’Afrique ».

De très nombreux couillons blancs avaient retweeté, enthousiastes, cette belle preuve de patriotisme.

Batum, fruit coupable de l’union d’un nègre et d’une Française, a depuis revu sa copie sur les conseils appuyés de ses amis nègres.

Ce Batum avait d’abord réagi contre la négraille qui tentait d’arrimer cette sélection « française » à la race noire. Une annexion qui faisait de ce Batum, de facto, un nègre d’Afrique. C’est bien sûr en raison de l’influence de sa part de sang blanc qu’il s’est récrié, ayant conscience de se situer plus haut dans l’ordre du progrès racial.

Mais rapidement, la masse africaine l’a menacé au point que ce noble patriote s’est senti contraint de rentrer dans le rang en geignant à propos du… racisme blanc.

La plèbe française négrophile, à propos de laquelle j’ai abondamment parlé, exige une chose des nègres : qu’ils se subordonnent aux codes culturels français. C’est-à-dire, in fine, qu’ils se soumettent à l’ordre établi.

Qu’ils « s’assimilent » comme on dit habituellement.

Bien sûr, cette même plèbe n’opère jamais le lien entre race et culture et pense que des millions de nègres deviendront d’excellents Français par l’opération du Saint Esprit. Pourtant, chaque jour que Dieu fait démontre, à coups d’émeutes raciales, de viols, de meurtres, que ce mirage n’a aucune espèce de réalité.

C’est pourquoi, outre qu’elle est hautement destructrice au plan génétique quand a lieu ici ou là par la voie du métissage, l’assimilation des nègres est un fantasme : le complexe d’infériorité poussera toujours les nègres à désigner l’Aryen comme un ennemi à l’origine de sa propre médiocrité. Si un nègre fait montrer de loyalisme à l’égard de l’Etat Français, même républicain, les autres n’y voient que la preuve d’une soumission.

Or, il n’y a rien qui rappelle tant au nègre son infériorité que le loyalisme.

Les mulâtres sont pour cette raison les plus toxiques de tous : il se situe intellectuellement autour de 85 points de QI là où le nègre moyen se situe à 70 de QI. Le mulâtre se sait supérieur au nègre mais inférieur au Blanc et en conçoit une authentique haine qui se transforme le plus souvent en soif génocidaire antiblanche. Il comprend instinctivement qu’il ne pourra obtenir de position de pouvoir dans une société aryenne, sauf à devenir l’un des principaux cadres de la guerre raciale que mènent ses frères inférieurs.

De tous les agitateurs nègres, les mulâtres des îles sont parmi les plus fanatiques qui se puisse trouver. Il a été suffisamment francisé pour saisir le fonctionnement élémentaire de la société française sans cependant y appartenir. Il peut donc se mouvoir avec plus d’habileté que le nègre fraîchement débarqué d’Afrique.

L’exemple de ce phénomène est Taubira.