Le mouvement travelo engage la lutte contre ces femmes blanches diaboliques qui détruisent la société

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 février 2022

 

Je suis désormais officiellement un militant radical de la cause trans.

Je ne suis pas un travelo moi-même, mais il faut rendre à César ce qui est à César. Les transexuels ont réussi là où les hommes blancs hétérosexuels ont échoué : détruire le féminisme.

Pour dire l’exacte vérité, les hommes blancs hétérosexuels n’ont jamais essayé de détruire le féminisme. Détruire le féminisme leur prendrait une grosse après-midi, c’est-à-dire le temps de ramener les traînées dans leurs foyers à coups de barres de fer. En fait, on peut dire que le féminisme est un mouvement d’hommes blancs hétérosexuels à 100%, justement pour cette raison. S’ils décidaient d’y mettre un terme par la force, les femmes blanches s’en détourneraient dans les deux heures.

Il n’y a que les suprémacistes transexuels qui entendent changer la donne.

Nous le voyons déjà dans le sport. Les personnes à trou biologique sont en train d’être purement et simplement dégagées des compétitions internationales par des personnes à trou artificiel.

Comme vous le savez, ces derniers temps, les juifs et leurs goules féministes font de l’abolition du sexe dans l’état-civil un gros truc médiatique.

Les journaux débordent de plumitifs narquois qui nous disent que tel ou tel pays a changé les règles dans le domaine. Les médias adorent en parler, parce que c’est encore considéré à ce jour comme une opération exclusivement tournée contre les hommes blancs.

Mais c’était sans compter sur les transexuels suprémacistes.

Les femmes privilégiées déchantent.

Tout d’un coup, cette histoire d’état-civil n’est plus du tout perçue de la même manière par les médias.

C’est un niveau de rage sidérant.

La transphobie se déverse à flots ininterrompus.

L’Express :

Faut-il parler de faille dans le système législatif suisse ? Un homme allant sur ses 64 ans a modifié au début de l’année son prénom et son sexe auprès de l’état-civil de sa commune, dans le canton de Lucerne. Désormais, cet ancien monsieur est une dame. Pourquoi ce changement ? Pour pouvoir percevoir sa pension de vieillesse un an plus tôt. En effet, en Suisse, l’âge légal de départ à la retraite est de 64 ans pour les femmes et de 65 ans pour les hommes. Le journal Luzerner Zeitung, qui rapporte cette histoire rocambolesque, est formel : ce changement de sexe, ou de genre, comme on voudra, a pour seule motivation l’intérêt matériel.

C’est typiquement le genre d’accusations gratuites qui vaut d’ordinaire à un homme blanc un procès en sorcellerie quand il s’agit d’une femme.

Quand une femme déclare quelque chose en 2022, la presse est formelle : c’est vrai. Là, tout d’un coup, ce transexuel est présenté comme un menteur sans qu’aucun élément n’en atteste. Personne ne peut dire qu’un homme qui se dit être une femme ne le veut pas vraiment, sauf à vivre avec. Comme aucun de ces journalistes ne vit avec cet ancien homme devenu une personne à trou artificiel, ces accusations sont de la pure diffamation.

La véritable question est de savoir pourquoi les personnes à trous biologiques peuvent partir en retraite en Suisse un an plus tôt au prétexte qu’elles ont un trou biologique ?

Les médias passent là dessus comme si c’était une évidence.

En fait, « l’égalité » dont parlent les personnes à trous biologiques vis-à-vis des hommes n’a jamais été autre chose qu’un slogan pour justifier l’acquisition de privilèges sur la seule base de leur trou biologique. Ce privilège vient de prendre fin grâce aux combattants du traveloïsme et elles n’ont aucune riposte face à cette évolution.

D’où cette rage.

Comment a-t-on pu en arriver là ? En 2020, le Parlement suisse a voté, sans que cela donne lieu à des débats houleux, une loi facilitant le changement de sexe sur simple déclaration auprès des services administratifs communaux. Il n’en coûte que 75 francs (72,50 euros). Avec la nouvelle loi, entrée en vigueur ce 1er janvier, nul besoin, comme auparavant, d’examens psychologiques ou hormonaux. Un bref entretien suffit, qui permet de s’assurer de la santé mentale apparente de la personne requérante.

Certains se demandent si cette législation assouplie, qui place « la Suisse à l’avant-garde de l’autodétermination en Europe en matière de genre », comme le soulignait la journaliste Delphine Gendre ce vendredi matin à la Radio suisse romande, ne va pas donner lieu à des effets non souhaités, comme certains parlementaires de droite s’en étaient inquiétés avant le vote.

Dans sa chronique, Delphine Gendre évoque plusieurs cas de figure. La rente de veuve est plus généreuse pour une femme que pour un homme. Un veuf pourrait ainsi avoir intérêt à se déclarer veuve. Et qu’en sera-t-il du service militaire ? En Suisse, il est obligatoire pour les hommes, pas pour les femmes. Là aussi, pour y couper, une déclaration de changement de sexe suffirait-elle ? La question a été posée par le président des jeunes PLR (droite) aux autorités du canton du Zurich. Il attend toujours une réponse.

Pour notre consoeur helvétique, relevant l’ironie de situations où le genre défavorablement discriminé n’est pas celui qu’on pourrait croire, « il semble qu’il soit administrativement plus avantageux pour un homme de devenir une femme » que l’inverse.

OH NON, VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT ! DEVENIR UNE FEMME EST UN PRIVILEGE PATRIARCAL !!!

Le mouvement transexuel a désormais les cartes en mains pour détruire le matriarcat.

Plus rien ne peut empêcher la suprématie trans de l’emporter.