Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Mai 2020
Connaissez-vous la chouannerie macroniste ?
C’est le nouveau concept de Philippe de Villiers.
Le Monde :
Philippe de Villiers en est sûr : il vient de faire croquer Emmanuel Macron et Edouard Philippe dans sa « pomme de discorde ». Un soubresaut de plus, après deux mois d’une crise sanitaire due à l’épidémie de coronavirus qui a déjà agité par moments les maisons Elysée et Matignon. Cette pomme, c’est le Puy du Fou, deuxième parc à thème français en termes de fréquentation (2,3 millions de visiteurs en 2019), que l’ancien président du conseil général de Vendée a fait sortir des ronces du bocage, il y a plus de quarante ans. Mercredi 20 mai, à l’occasion d’un conseil de défense réuni à l’Elysée, le chef de l’Etat a poussé en faveur de sa réouverture rapide – elle sera effective le 11 juin –, tandis que son premier ministre préférait temporiser avant de se risquer à une telle annonce.
Le 13 avril, alors qu’il vient d’achever sa troisième allocution télévisée depuis le début de la crise, Emmanuel Macron décroche son téléphone pour appeler son ami Philippe de Villiers, rencontré quelques années plus tôt sur les banquettes de la Rotonde, restaurant de la rive gauche parisienne où l’ancien ministre de l’économie a fêté sa victoire à la présidentielle, en 2017.
Les deux hommes ne s’accordent pas sur grand-chose du point de vue politique – l’un se définit comme progressiste et proeuropéen, quand l’autre est un apôtre de la droite identitaire et souverainiste – mais ils ont noué une solide complicité. Emmanuel Macron ne manque jamais d’égards envers ces hommes – De Villiers, Michel Houellebecq, Eric Zemmour – aux idées éloignées des siennes mais qui vendent leurs livres au ton d’apocalypse par dizaines de milliers.
En réalité, ces deux énarques s’entendent sur l’essentiel : l’arnaque républicaine. Ces gens sont le produit du même moule et seuls les gogos se laissent impressionner par leur baratin de vendeurs de tapis.
Ces politiciens rigolent de la crédulité confondante du bétail démocratique. S’ils ont chacun leur niche, ils sont du même monde.
De Villiers, opposant royaliste radical
Ce qui caractérise les trois individus courtisés par Macron – Villiers, Houellebecq et Zemmour – n’est pas tant leur opposition vocale à l’islam que leurs liens étroits avec l’établissement politico-médiatique juif. C’est la plus solide des garanties, l’assurance que, quoi qu’il arrive, rien ne dangereux pour l’ordre établi ne déborde.
Cela participe de ce cirque médiatique permanent.
C’est aussi l’équation politique en France : pour être toléré, vous devez servir un maître sémite. Vous avez le choix entre les adorateurs d’Allah ou les adorateurs de Yahvé. Mais servir la cause de la race blanche est strictement proscrit. Malheur à celui qui refuse d’avoir un maître venu de la fosse à purin moyen-orientale.
Villiers, c’est la voiture-balais de Sarközy en 2007 et l’ancien comparse du gaulliste Pasqua dont il pleurait la disparition il n’y a pas si longtemps. « Un visionnaire » disait-il.
Pasqua était surtout un des plus puissants boss de la pègre en France doublé d’un antiraciste totalement fanatisé, contrairement aux stupidités répandues par la gauche à son sujet. Cet oiseau-là avait commencé dans l’imposture judéo-gaulliste en 1944 avant de poursuivre logiquement dans le crime organisé. Il y a là une affinité idéologique commune, la famille De Villiers trempant également dans l’escroquerie judéo-gaulliste depuis l’origine.
Et je ne parle pas du frère, le Général des banlieues ethniques qui veut « sauver la France » grâce aux nègres et aux algériens analphabètes. Tout en se sucrant auprès de grandes boîtes américaines, à l’instar du Boston Consulting Group.
Le gaullisme, cette imposture fondamentale. Vampiriser la droite réactionnaire pour mener la croisade antifasciste pour le compte de la juiverie, voilà la cuvette des chiottes dans laquelle est née la mystique du Grand Con. D’ailleurs Macron est occupé en ce moment à en chanter les louanges, souhaitant visiblement se saisir du costume de la Grande Zohra.
Tous ces énarques tentent de faire ce que De Gaulle a fait mais à l’échelle microscopique de notre époque. De l’opportunisme cynique maquillé en élan patriotique. Bonchamps est mort au combat, Villiers en a fait un parc d’attractions parfaitement inséré dans la société juive du spectacle. Le Puy du Fou n’étant qu’un business familial.
La démocratie a cette capacité hors norme de pouvoir tout digérer, tout réduire à une fonction marchande. Le Système a besoin de telles soupapes, surtout les plus folkloriques, pour maintenir les populations en état d’hypnose. Du rap nègre ultra-violent pour les afro-maghrébins, des farandoles dans la campagne vendéenne pour les Blancs prostrés face à l’invasion. Tout s’emboîte magnifiquement.
J’ai remarqué qu’il suffit de citer le nom de Jeanne d’Arc pour faire avaler à peu près n’importe quoi à des gens de droite. En agitant un tricolore, c’est encore plus efficace.
En réparation des injures faites à #MathildeEdeyGamassou, j’invite chaleureusement la Jeanne d’Arc 2018 au @PuyduFou. La #France n’est pas une race, c’est une civilisation. #FêtesJohanniques18 @orleans_jeanne
— Philippe de Villiers (@PhdeVilliers) February 28, 2018
La France créole, par Jésus ou Mahomet, Moïse, Jeanne d’Arc ou Trotsky, peu importe : c’est l’horizon indépassable. On a juste le droit à l’excuse de son choix pour y consentir.
En tout cas je me lasserai jamais de démythifier ces opportunistes de la bourgeoisie réactionnaire. Si je hais les rouges, je méprise les bourgeois et leur veulerie. Je ne sais pas lesquels des deux sont les plus écoeurants.