Le ministère de la Vérité va mettre en place un système de dénonciation des complotistes

La rédaction
Démocratie Participative
03 novembre 2022

 

Le Ministère de la Vérité va organiser des assises de la mauvaise pensée pour réfléchir aux moyens d’empêcher les paysans de mal penser.

C’est garanti 100% science.

Sonia Backès (@SoniaBackes) annonce que le gouvernement va organiser des « assises des dérives sectaires et du complotisme » pic.twitter.com/JeAry36QNC

— BFMTV (@BFMTV) November 2, 2022

Cette femme obèse est à la tête d’un secrétariat du ministère de l’Intérieur.

Le « secrétariat de la citoyenneté », plus précisément.

Cela vous concerne, car vous-même avez certainement mal pensé sans vous en rendre compte ces dernières 24 heures.

Heureusement, très bientôt, vos collègues de travail pourront vous signaler au MiniVer pour prendre les mesures qui s’imposent.

Les possibilités sont impressionnantes.

Par exemple, si vous croyez en la théorie complotiste des hommes nés avec des testicules qui ne peuvent pas se transformer en femmes en se faisant greffer des seins en silicone, vous commettez un crime par la pensée.

Le MiniVer en sera informé et un rendez-vous sera pris avec vous pour obtenir vos aveux et vos excuses avant votre mise en examen pour atteinte aux valeurs de la République.

Les paysans doivent arrêter de mentir.

Seule la vérité est autorisée et la vérité est régulièrement communiquée aux paysans par le Ministère de la Vérité.

Je me demande si les gens qui croient à la rubrique astrologie de TV Magazine seront poursuivis parce qu’ils croient que les planètes influencent la vie quotidienne.

Ce serait logique, dans ce nouveau système scientifique régi par la vérité totale définie par l’État.

Il y a encore cinq ans, quand on parlait de ça, on passait pour un paranoïaque.

À présent, l’État injecte les gens avec des produits expérimentaux, censure les réseaux sociaux en temps réel, met en prison les personnes qui prononcent le mot juif et met en place un ministère de la Vérité chargé de pourchasser les goyim qui disent quelque chose que le gouvernement n’a pas approuvé.

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