La rédaction
Démocratie Participative
14 décembre 2022
Quatennens est devenu un héros de la cause masculine.
Ce n’était pas prévu, car il avait commencé son parcours politique comme démagogue féministe d’extrême-gauche. En réalité, Quatennens est beaucoup plus croyant qu’il n’est pratiquant.
Cet homme roux recadrait régulièrement sa Magalie communiste à coups de gifles.
Note : les femmes de gauche sont une autre façon d’appeler des hommasses horribles qui méritent des coups de ceinturon
Les harpies féministes avaient senti l’opportunité, pensant pouvoir imposer leur volonté à l’Assemblée à Jean-Luc Mélenchon en le forçant à mettre à mort son protégé.
Mais Mélenchon est bien trop (positivement) orgueilleux pour laisser quiconque dicter sa conduite.
Quatennens reviendra à l’Assemblée, après avoir été condamné à 4 mois de prison avec sursis pour avoir discipliné son ex par la force.
Pendant trois mois, je me suis tu. En citoyen, j’accepte ma sanction. Je prends ma juste part. Mais je refuse d’en prendre davantage et de continuer à subir cet acharnement. C’est la raison pour laquelle je prends la parole.
👉Interview à @lavoixdunordhttps://t.co/r7qfjkBSE6 pic.twitter.com/t6yb7Cie9a
— Adrien Quatennens (@AQuatennens) December 13, 2022
La rage vaginale est plus que perceptible.
S’il ne veut pas envoyer un message catastrophique à toutes les femmes victimes de violences et à toutes les personnes qui s’engagent dans des mouvements qui se disent féministes, Adrien Quatennens doit démissionner.
— Mélanie Vogel (@Melanie_Vogel_) December 13, 2022
Un député condamné pour violences conjugales ne peut pas siéger. Il doit démissionner. Par respect pour les femmes, pour nos combats et les valeurs que nous défendons. #Quatennens
— Sandrine Rousseau (@sandrousseau) December 13, 2022
Sardine : « Quatennens ne peut pas revenir, point barre. Les femmes ont décidé. »
Mélenchon : « Ok. Quatennens revient. Vas faire la vaisselle, maintenant. »
Quatennens assume totalement sa qualité de mâle violent, sûr de lui et dominateur.
Condamné pour violences conjugales, Adrien Quatennens refuse de démissionner pic.twitter.com/mHT73LHm8G
— BFMTV (@BFMTV) December 14, 2022
Vous allez me dire, « on s’en fout ? »
Non, car nous sommes dans une vaginocratie juive et le féminisme d’état est en train de détruire la société, comme le montre l’effondrement de la natalité autochtone. Le féminisme engendre un véritable processus d’extinction physique de la race blanche. Ce collapsus entraîne à son tour le déferlement des races de boue en Europe.
Tout sursaut anthropologique doit être encouragé, car il participe d’un réflexe de vie. Quatennens entraîne un précédent qui, demain, bénéficiera à un autre homme politique qui pourra envoyer dinguer les harpies.
Bref, il faut voir plus loin que le cas particulier de Quatennens et procéder à la nécessaire réhabilitation du droit de discipline des hommes sur les femmes.
Ces succubes doivent être tenues en laisse, ou elles détruiront le monde.
Sur le fond, qu’un homme soit condamné pour une gifle à sa femme est absolument sidérant d’insanité. Les crises d’hystérie féminines doivent être jugulées par la force, c’est la seule solution.
Maintenant, à l’Assemblée, le bloc mélenchoniste est de facto est un bloc viriliste dont le verbiage féministe n’a plus de consistance. Avec le rouquin sur les bancs, tous les sujets relatifs à cette thématique bidon glisseront des mains de LFI lors des séances et les succubes d’EELV s’en serviront pour empoisonner l’air contre leurs « alliés » mélenchonistes.
Il semble que Mélenchon ait purgé l’appareil du parti en prévision des remous, chassant le social-démocrate Ruffin et la chèvre folle Clémentine Hautaine de la direction de la machine. Seuls les loyalistes ont leur place autour du Lider Maximo.
Après la «purge» à la direction de LFI, le parti de Mélenchon au bord de l’implosionhttps://t.co/LJ1qMnGCYI
— Sophie de Ravinel (@S2RVNL) December 12, 2022
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