Captain Harlock
Démocratie Participative
26 avril 2021
Ils viennent jusque dans vos bras, égorger vos fils et vos compagnes.
Actu.fr :
Parcourir la France pour déconstruire les préjugés. Lundi 19 avril 2021, l’association Migrant•Bus a lancé une cagnotte pour financer son projet : un local itinérant qui sillonnera les routes de France afin de « créer la rencontre » entre les réfugiés et les habitants des villages.
« Selon une étude Ipsos publiée en 2019, 58% des Français sont convaincus que les réfugiés ne peuvent pas s’intégrer à la société d’accueil. On est parti de ce constat et on a essayé de trouver une solution pour provoquer la rencontre et faire basculer le sondage », explique Emma Griseau, co-fondatrice de l’association et habitante de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Je pensais que la rencontre avait été largement provoquée.
Encore ce week-end, une rencontre a eu lieu à Rambouillet entre le migrant tunisien Jamel et Stéphanie.
Il faut davantage provoquer, à ce qu’il semble.
En octobre 2020, elle fonde avec Ludovic Maugère l’association Migrant•Bus. Les deux comparses n’ont pas attendu 2020 pour s’engager en faveur des réfugiés. En 2019, ils s’engagent dans une mission humanitaire en Grèce sur l’île de Lesbos, une des principales portes d’entrée migratoire de l’Europe.
« La problématique de l’accueil et de la migration était déjà bien ancrée en nous. Là-bas, on a pu expérimenter le travail communautaire en lien avec les réfugiés », relate-t-elle. Riches de cette expérience, ils quittent tous deux leurs emplois et fondent l’association. « J’étais designer de produit. Je devais dessiner des choses. Ca parait dérisoire quand on y pense », se remémore-t-elle.
Migrant•Bus transportera entre six et huit bénévoles de village en village. « L’idée est d’aller dans des villages pas trop grands pour aller au maximum vers les populations rurales. On s’appuiera également sur le tissu associatif local », explique Emma Griseau. Rendez-vous est déjà pris dans un village de l’Essonne et du Poitou-Charente à la fin août 2021.
Sur place, les bénévoles, recrutés par Haider Ahmadi, lui-même réfugié afghan, monteront des ateliers. Cuisine, coiffure, menuiserie, etc… pourront être au programme des journées. « On aura des activités en journée où les bénévoles mettront à profit leurs compétences au service des habitants. Il faut que ce soit des compétences plutôt manuelles, faciles à mettre en œuvre sur le terrain. Un ingénieur aura plus de mal à monter des ateliers. Ils devront également avoir un minimum de niveau en français pour pouvoir échanger avec les habitants », détaille-t-elle. Pour les soirées, Migrant•Bus compte sur l’hébergement citoyen, toujours dans cet objectif de « créer du lien social ».
Les égorgeurs d’Afghanistan seront directement livrés à domicile aux vieux Français des campagnes qui n’ont rien demandé à personne.
Pour créer du « lien social ».
Avec cette initiative, Emma Griseau et Ludovic Maugère espèrent apporter aux bénévoles « un espace où ils peuvent exercer leur métier », alors que le statut de réfugié ne permet pas à ses détenteurs d’exercer un emploi. « On a aussi envie de les amener ailleurs que dans les grandes villes et leur montrer une autre image de la France en ouvrant leurs horizons », ajoute Emma Griseau. Les échanges avec les habitants doivent également permettre aux bénévoles de poursuivre leur apprentissage du français.
Pour voir le projet aboutir, Migrant•Bus collecte 12 000 euros. « Cette somme nous aidera notamment à financer notre local itinérant qui prendra la forme d’une Tiny house [un local itinérant ndlr]. Elle permettra également d’avancer les frais pour mettre en œuvre notre activité », explique Emma Griseau. A l’heure actuelle, près de 2 000 euros ont déjà été collectés. En février 2021, ils ont fait partis des lauréat du prix 2020 de la Fondation Cognacq-Jay dans la catégorie « Vision ».
Emma Griseau et Ludovic Maugère ont appramment envie de harceler les Blancs au profit des rats d’Orient et d’Afrique pour disséminer un maximum d’envahisseurs dans la France profonde.
Et Haider l’afghan s’assurera de bien expliquer aux mamies de s’écraser devant les très longs couteaux de la paix.
Vous devriez vous renseigner pour voir si ce bus n’a pas l’intention de passer dans votre commune pour semer la terreur.
Désigner ces bandits rouges à la vindicte populaire est la meilleure façon de créer un véritable « lien social ».