La Rédaction
Démocratie Participative
28 mai 2024
C’était une belle histoire d’intégration réussie.
Réfugié somalien, le mannequin Issack Abdi Sadik défile pour Louis Vuitton mais continue parfois de dormir dans la rue.
Le portrait : https://t.co/UIcwvOOgzH pic.twitter.com/8G0HDQIHsU
— Libération (@libe) June 25, 2023
Et puis, une chose totalement inattendue s’est produite.
⚖️ Le mannequin Issack Abdi Sadik condamné à 5 mois de prison ferme pour agression sexuelle
👉 Le réfugié somalien, devenu figure du mannequinat en France, a été condamné pour s’en être pris physiquement à une passante.
Lire ⤵️https://t.co/hI5X5hqmUe
— Libération (@libe) May 27, 2024
Un terrible destin que personne n’aurait imaginé pour lui ! Il n’y a pas si longtemps, Issack Abdi Sadik s’est brillamment imposé comme la figure montante de la mode et de la beauté. Mais dernièrement, le mannequin de 26 ans a défrayé la chronique à cause de sa vie privée. Comme l’ont rapporté nos confrères du Parisien, le 23 mai 2024, la star des défilés a été condamnée à cinq mois de prison ferme. Accusé d’avoir touché la poitrine d’une passante à Paris, ce dernier en a également importuné d’autres en état d’ivresse.
Pour rappel en 2023, les équipes de Libération avaient mis à l’honneur sa fulgurante ascension dans l’industrie de la mode. A l’époque, ayant eu l’immense privilège de participer au premier défilé Louis Vuitton de Pharrell Williams, fraîchement nommé nouveau directeur créatif des collections men’s de la célèbre griffe, Issack Abdi Sadik avait attiré tous les regards avec son allure unique !
C’est sûr, Issack Abdi Sadik a une allure unique.
Evénement de renom qui s’était d’ailleurs orchestré sur le Pont-Neuf à Paris. « Un pont sous lequel Issack dormira aussi en son temps », avait notamment confié un proche au célèbre média. Peu le savent, mais Issack Abdi Sadik revient de loin. Originaire de la Somalie, le principal intéressé a passé une majeure partie de son enfance au Kenya, qui sera d’ailleurs marquée par la brutale disparition de son père, emportée par un cancer.
Le top model se met alors « à grandir seul ». « Ma mère m’a emmené de force dans un centre de redressement pour jeunes en Somalie où on voulait nous réapprendre les règles de l’Islam« , a expliqué Issack Abdi Sadik aux journalistes de Libération. Là-bas, il subira « neuf mois de mauvais traitements » avant s’envoler vers de nouveaux horizons pour s’offrir un bel avenir. Il y croit contre vents et marées ! Arrivé en France en 2018, Issack Abdi Sadik obtient même un titre de réfugié.
Grâce à sa bonne étoile, il se fait remarquer dans les rues de la capitale française par une femme qui le met en contact avec la prestigieuse agence de mannequins : Elite. Rapidement, toutes les plus grandes griffes se l’arrachent ! Le directeur artistique de Balmain, Olivier Roustaing, lui offre même son premier show. Mais ses tourments sont aussi très vite remarqués. « Il avait une tendance à boire, mais il était toujours à l’heure aux rendez-vous », a précisé Antoine Duhayot, qui l’a recruté, pour Le Parisien.
Si on lui pardonne de perdre de nombreux téléphones, la ligne rouge est franchie lorsqu’il s’en prend à l’une des filles avec qui il partageait un logement. D’après son agent, Issack Abdi Sadik agressera ensuite à une réceptionniste et des vigiles. Pour ne rien arranger à en croire ses dires, il saccage aussi plusieurs logements.
« En fait il nous mentait tout le temps… On a décidé d’arrêter avec lui en juillet de l’année dernière. Il nous a même accusés de le voler. C’était vraiment triste. Cinquante fois, j’ai essayé de le recadrer. Je le considérait comme mon fils. A une époque de ma vie, je m’occupais davantage de lui que de mes enfants », dira le professionnel non sans amertume.
Condamné pour d’autres faits de violences, Issack Abdi Sadik avait échappé jusqu’à aujourd’hui à la prison. Lors de son récent procès, sa consommation à l’alcool a été de multiples fois pointée du doigt. « Je suis désolé si j’ai causé un problème », a t-il lâché tout en se dédouanant des violences sexuelles. Un destin brisé que beaucoup regrettent…
Même en gagnant à la loterie, un somalien reste un somalien.
Cette histoire n’aurait jamais été possible en premier lieu sans l’aide des dégénérés du monde de la mode qui ont déroulé le tapis rouge à ce somalien.
Leurs mannequins reflètent assez bien la déchéance spirituelle et esthétique qu’ils promeuvent sous l’influence de la démocratie et de l’antiracisme juif.
Tout ce qui est laid et difforme les attire comme des mouches. Ce sont ces gens qui nous flanquent des métèques dans toutes les pubs.
La bourgeoisie cosmopolite dicte ses canons de laideur et les impose dans tous les domaines grâce à l’effet démultiplicateur du marketing. Un univers imaginaire parallèle se forme, sans aucun lien avec la réalité.
Ces créatures négroïdes n’ont de visibilité que parce que les multinationales occidentales les imposent dans l’espace publicitaire.
Personne n’admire les peaux sombres, encore les peaux sombres d’Afrique.
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