Capitaine Harlock
Démocratie Participative
29 mars 2017
Visiblement Mélenchon écrase Hamon sans trop de difficulté dans les plus récents sondages. Je ne sais pas quoi faire de ça.
Au Havre une file immense alors que la salle est déjà bien remplie. On n’arrête pas la force du peuple ! #JLMLeHavre #AuTourDuPeuple pic.twitter.com/dhysi4v7T0
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 29 mars 2017
Personnellement, je ne parviens pas à distinguer Hamon de Mélenchon. Les deux sont des démagogues socialistes embourgeoisés. Mais avec Valls et les autres qui ont lâché le Parti Socialiste pour le candidat de la banque juive, Hamon n’a plus comme solution que de s’arrimer à Mélenchon pour arriver troisième.
Je ne pense pas que Mélenchon accepte de se subordonner à Hamon. Du moins, pas sans de nombreuses circonscriptions. Et encore. Mélenchon veut détruire le PS, c’est l’objectif de sa vie. Et tout faire graviter autour de lui, dans une sorte de confédération aux allures de cloaque zadiste.
Mais si Hamon se résignait à s’allier réellement avec l’espagnol rouge, ce serait la rupture ouverte au PS, car les gros parlementaires socialistes iraient négocier en masse un deal avec Macron.
Si par hypothèse je cumule quand même les 15% de Mélenchon et les 10% de Hamon, ça fait 25% de marxistes. Chavez, les bougnoules en plus. Faites un tour sur les réseaux sociaux, vous verrez un nombre assez massif de paumés au RSA ou au SMIC qui n’ont qu’une obsession : pendre Gérard, fier patron d’une PME de 3 salariés.
La vitesse d’effondrement de la France est stupéfiante. Si on couple la carte de l’infection marxiste avec celle de la vérole négrarabe, des pans entiers du territoire sont déjà perdus ou en voie de l’être.
Le point positif, c’est que si Mélenchon parvient à faire s’effondrer le PS comme ça a l’air d’être le cas, le foutoir sera intégral en cas de victoire de Macron. Il n’aura aucune majorité stable et solide. Ce sera véritablement l’anarchie politique, entre d’un côté les CGTistes déchaînés et de l’autre un FN gonflé à fond, même en cas de défaite au mois de mai.