Le média turc Mediapart exige la purge de la Légion Etrangère à cause de gens qui ont des tatouages « nazis »

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 mars 2021

 

Les marxistes pro-Erdogan de Mediapart ont reçu une commande d’Ankara pour faire de l’agitation contre les meilleures unités de l’armée française – paras et Légion notamment.

Mediapart révèle l’existence d’une « filière néonazie » dans l’Armée française https://t.co/JDrcmSeeyn

— ANADOLU AGENCY (FR) (@aa_french) March 16, 2021

Dans une « enquête exclusive » consistant à faire des copies d’écran d’Instagram, ce média se livre à l’activité traditionnelle des gauchistes : le mouchardage.

Je dois dire que si le titre est tapageur, le contenu est très décevant. Grosso modo, cette enquête parle de gens avec des tatouages. Avec sa gueule, l’homosexuel qui présente ce truc met involontairement en valeur les mâles alpha slaves à propos desquels il pleure comme une femme.

La polémique que ces fiottes perfides tentent de monter de toutes pièces n’a aucun sens pour commencer.

Par principe, les gauchistes haïssent l’armée, tout particulièrement l’armée française. Pour ces gens-là, l’armée française est par définition une institution fasciste. Ces gens vous diront que l’armée française est le produit de siècles de suprématie blanche, de colonialisme, de domination patriarcale, de crimes contre l’humanité, etc.. Leur but est de la transformer en club LGBT pro-djihad.

Quand ils font croire que 50 personnes leur poseraient problème parce qu’elles ont des tatouages, ils se foutent ouvertement du public. Ce n’est qu’une ficelle pour exciter la vermine rouge et musulmane contre l’armée en tant que telle.

Ensuite, ces marxistes pensent découvrir l’eau chaude. La Légion recrute depuis toujours dans tous les milieux, y compris criminels. C’est sa marque de fabrique. En 1945, elle a recyclé en masse des vétérans de la Waffen SS pour combattre en Indochine. Après la guerre d’ex-Yougoslavie, elle a recruté de nombreux gars des Balkans qui avaient pour hobby le nettoyage ethnique. Ce n’est pas parce qu’une fiotte sous PrEP pleure sur YouTube que la Légion va se mettre à demander un guide pratique aux lesbiennes noborders de Tolbiac pour savoir qui recruter.

Cela n’arrivera pas.

La Légion est officiellement française mais c’est une unité totalement à part, dans son histoire comme dans sa composition et ses traditions. On peut dire que c’est presque un état indépendant au service de la France. La Légion est sa propre patrie, en un sens. Il faut être une ignoble fiotte parisienne abonnée à Mediapart pour croire que la Légion a quelque chose à foutre des « valeurs de la République ».

Personne ne veut mourir pour une République qui cherche à transformer des garçons de 7 ans en femmes pour les livrer à des homosexuels pédo-maniaques.

La Légion demande à ses soldats de servir la France, peu importe le régime en place. Si la Légion s’amusait à faire passer des tests à la con sur « l’adhésion aux principes républicains », l’essentiel de son recrutement slave serait recalé. Elle n’aurait plus qu’à mettre la clef sous la porte.

Ce qui est précisément l’objectif des gauches de Mediapart.

En outre, les meilleurs soldats sont les soldats les plus motivés par la guerre et par les valeurs masculines fondamentales comme la confrontation physique, le risque, la compétition, la défense du pays, la conquête, tuer des ennemis, la camaraderie. Le fascisme est pour ainsi dire la continuité philosophique de la guerre. Plus quelqu’un est en phase existentiellement avec la guerre et ses valeurs, plus il fait un bon soldat. C’est pour ça que les fascistes se retrouvent naturellement dans le métier des armes.

Bref, il n’y a aucun débat. Si l’armée veut recruter des soldats d’élite, elle doit fermer les yeux sur l’orientation politique de ses recrues tant qu’elles obéissent aux ordres.

Les gauchistes et les femmes blanches en mal de bites africaines peuvent toujours rejoindre les unités du train.

Le vrai sujet, c’est la raison pour laquelle le trotskyste Edwy Plenel et son ombre juive Fabrice Arfi, soutiens indéfectibles des Frères Musulmans d’Erdogan, veulent impérativement demander à l’armée française ce que leur maître turc ne demande pas à sa propre armée, littéralement truffée d’ultra-nationalistes turcs et de djihadistes coupeurs de têtes.

Ultranationalistes turcs qui défilent dans les rues de France pour appeler au génocide des quelques 500,000 arméniens établis sur le territoire français.

Je n’ai pas non plus vu « d’enquête exclusive » de Mediapart sur l’infiltration islamiste dans l’armée.

D’ailleurs, je n’en verrai jamais.

Maintenant, je ne sais pas ce qui se passe dans la tête des gauchistes mais je connais en revanche le profil type d’un légionnaire. Un légionnaire a généralement un lourd passé personnel avec les séquelles psychologiques que ça suppose. Nombreux sont les légionnaires qui se suicident après avoir quitté la Légion. Ou qui tuent. Très souvent, la Légion est le seul cadre social qu’un légionnaire tolère. Ils sont aussi extrêmement dangereux parce que professionnels de la guerre, si dangereux que le moindre légionnaire suspect d’engagement politique est surveillé comme le lait sur le feu par le régime républicain. La Gueuse sait que quelques milliers de légionnaires peuvent conquérir la France.

Un légionnaire n’est jamais seul, il a toute l’internationale des vétérans dans des dizaines de pays pour l’aider en cas de coup dur.

Si je voulais éviter de me faire assassiner, le dernier truc que je ferais serait d’exiger face caméra le renvoi d’un légionnaire slave néo-nazi en me revendiquant du marxisme LGBT. Parce que plus aucune rue ne serait sûre pour moi en France avec un tel type en circulation qui n’a qu’une idée en tête : me tuer.

A partir du moment où un légionnaire veut tuer quelqu’un, vous pouvez partir du principe que c’est un homme mort.

Donc, idéalement, vous évitez de donner à un légionnaire de sérieuses raisons de vouloir vous tuer. Du moins, quand vous avez un cerveau fonctionnel.

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