Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 janvier 2018
Lol, si seulement c’était vrai.
Mais non.
Ce vendredi après-midi, la tension est montée entre SDF alcoolisés et Kosovars qui squattent en gare du Mans. La police a dû lancer du gaz pour séparer les groupes. Deux SDF ont été arrêtés.
« C’est une guerre de territoire sur fond de misère sociale. » Dixit l’un des nombreux policiers mobilisés, ce vendredi après-midi, dans le hall de la gare du Mans, où la tension est restée vive durant plusieurs heures: bousculade, insultes, menaces.
« Misère raciale » paraît être le terme qui convient.
En plus de la police ferroviaire, au moins sept voitures et un fourgon de la police nationale sont intervenus sur le parvis, côté nord. Les agents ont dû utiliser du gaz pour séparer les groupes, qui en sont venus aux mains. Deux SDF_un homme et une femme_ ont été arrêtés.
Ce qui a mis le feu aux poudres? « Une SDF avec une canette est venue provoquer le groupe de Kosovars. Elle était agressive. Elle est revenue avec un de ses amis, qui avait un chien », raconte un bénévole qui vient régulièrement aider les familles de Kosovars qui galèrent dans les rues du Mans.
La nuit, ces migrants, dont des enfants en bas âge, sont hébergés dans des foyers. Dans la journée, ils tentent de trouver un endroit au chaud. Notamment la gare, pour y faire la manche.
Une présence visiblement peu appréciée par certains occupants « historiques » de ce lieu de passage. « Ils disent qu’on prend leur argent. Mais nous, on veut juste travailler, on ne veut pas faire de problèmes », lâche Naïm, 28 ans.
Cette pouillerie mendiante des Balkans qui affirme « On veut juste travailler » et Ouest-France qui rapporte cette énormité sans trembler.
C’est fascinant.
Quoiqu’il en soit, dans cette ville en voie de putréfaction raciale avancée qu’est Le Mans, la presse rouge prend fait et cause pour la vermine du Kosovo – dont il est fort probable qu’elle soit tzigane – contre les quelques clochards de souche locaux.
Un si beau peuple.
Ces plumitifs de la presse locale sont généralement des trotskistes en cheville avec toute la lie marxiste environnante dont ils répercutent les moindres appels pro-invasion. Ces rédactions locales sont truffées de terroristes de ce genre. Ils tentent en permanence de créer de faux scandales pour prévenir toute réaction populaire.
La guerre raciale s’étend partout, surtout au coin de la rue.