Captain Harlock
Démocratie Participative
01 novembre 2020
L’acteur mythique Sean Connery a décidé de quitter cette sinistre époque à l’âge de 90 ans. Il a rejoint l’île de l’éternelle félicité au delà des Hébrides, là où vont les âmes des Celtes.
C’est une perte considérable pour l’humanité blanche. Avec James Bond, Sean avait contribué à forger l’archétype du mâle blanc sûr de lui et dominateur dans l’inconscient collectif occidental. Un homme à la fois intelligent, élégant et violent auquel aucune femme ne pouvait durablement résister.
Typiquement, James dompte toutes les femmes rebelles qu’il croise en les giflant avant de coucher avec elles. Et bien sûr, une claque sur les fesses régulièrement. Un homme normalement constitué claque les fesses de ses conquêtes pour marquer son titre de propriété.
La classe.
C’est un legs éternel adressé aux mâles blancs : giflez les femmes rebelles jusqu’à la soumission et elles coucheront avec vous.
Ce n’est d’ailleurs pas un rôle, c’est ce que Sean faisait dans la vie. Dans une interview célèbre, il maintient ses propos sur la question : il faut gifler les femmes rebelles jusqu’à la soumission.
C’est ce que l’on appelle un seigneur.
Tous les acteurs qui ont incarné James Bond par la suite n’ont jamais pu égaler Sean Connery, parce que James Bond est Sean Connery et non l’inverse.
Sean a joué dans d’autres films marquants.
J’ai particulièrement apprécié sa performance dans Octobre Rouge. J’aime beaucoup les films de sous-marin car ils focalisent l’action sur les rapports psychologiques entre les différents personnages face à une situation où il n’y a pas d’échappatoire. Dans ce film, Sean donne vie à un officier soviétique voulant rallier l’Amérique en pleine Guerre Froide.
Le charisme de Sean Connery y est réellement bluffant.
La plupart de nos lecteurs ont dû le voir. Si ce n’est pas le cas, regardez-le.
Un grand acteur de cinéma vous fait oublier qu’il joue entouré d’une cinquantaine de techniciens. Sean réussit ça. Il vous emmène ailleurs.
Dans The Rock, Sean est exceptionnel. Le film a un excellent scénario qui porte sur la question du patriotisme et de la légitimité. Même si le point de vue adopté est anti-nationaliste, le film reste bien fait. Connery incarne un espion britannique détenu par les Américains qui doit leur prêter main forte en échange de sa liberté.
C’était à l’époque où des films d’action n’étaient pas obligatoirement des manifestes trotsko-LGBT en faveur de la suprématie des transexuels noirs.
Non pas que les films du XXe siècle étaient dénués d’influence marxiste mais c’était beaucoup plus subtile donc, d’une certaine façon, plus tolérable. Comme le Nom de la Rose. Le message du film est anti-catholique mais pas seulement. En fait, le message du film est démocratique et dénonce les structures verticales en elles-mêmes en ce qu’elles chercheraient invariablement à maintenir les masses dans l’ignorance pour les exploiter.
C’est une conception caricaturale du rôle de l’Eglise au Moyen-Âge mais le concept de thriller médiéval n’en reste pas moins génial. Sean Connery, dans le rôle de l’enquêteur, est au top.
Et bien sûr Highlander.
Ce qui colle à l’identité de Sean Connery qui était un nationaliste écossais.
Sean Connery appartient au type d’homme qui devient plus beau et charismatique en vieillissant.
Il ne reste plus que Clint Eastwood de cette glorieuse époque. Maintenant, tous les acteurs sont des homosexuels drogués qui régurgitent le prêchi prêcha homo-mondialiste. Ils n’ont pas d’âme.
Sean avait une âme. Une âme de guerrier celte adepte du manspreading.
Les films de Sean restent là pour nous rappeler ce qu’est l’imaginaire de l’homme blanc et ce que peut incarner l’homme blanc dans la vie comme en art.
Et aussi comme un moyen de compenser ce que nous ne trouvons plus aujourd’hui.
C’est l’occasion de boire un whisky à la mémoire de Sean.
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