Captain Harlock
Démocratie Participative
03 août 2018
Deux pédales sidaïques ont tenté de mobiliser la vermine sodomite sur les réseaux sociaux pour faire plier un maire héroïque qui refuse de voir ces deux immondes malades mentaux venir empoisonner les enfants du village.
Sur Twitter, un message « coup de gueule » a été partagé presque plus de 2000 fois en seulement 24 heures et a largement été commenté. Sébastien Durand, l’auteur du tweet explique : « Avec mon mari, nous avons reçu le refus de permis de construire en début de semaine. Dans les motivations, on peut lire que notre projet est trop « sophistiqué », et qu’il ne « s’inscrit pas dans les valeurs identitaires de la commune ». Il n’y a aucune motivation recevable. On a décidé de ne pas en rester là… C’est une situation scandaleuse ! »
À l’origine de la discorde, il y a cette grande maison contemporaine, que le couple voulait faire construire sur un grand terrain à Aureville. « Nous avons acheté le terrain en début d’année, poursuit Sébastien Durand. Nous sommes des passionnés d’architecture, et avec notre architecte, nous nous sommes inspirés de ce qui se fait localement ».
Pour obtenir un permis de construire, le couple se rend une première fois à la mairie de ce petit village du Lauragais : « Le maire nous a dit qu’ici on aimait les choses simples. Nous avons donc proposé un deuxième projet amendé qui répond aux recommandations du Sicoval (la communauté d’agglomération du sud-est instruit les dossiers mais in fine c’est le maire de la commune qui décide NDLR). Nous l’avons présenté lors d’un second rendez-vous, en présence du maire et du Sicoval. »
En début de semaine, le couperet tombe. Et c’est un non définitif de la mairie. En l’état du projet, le permis de construire est refusé. « C’est le premier que je refuse depuis dix ans que je suis maire, répond Xavier Espic, le maire d’Aureville. Mon rôle, c’est d’essayer de faire au mieux pour la commune. On ne veut pas de style architectural très différent de ce qu’il se fait ici traditionnellement. Là, le projet ne s’intègre pas dans le paysage. Je suis le plan local d’urbanisme et le code d’urbanisme. Pour moi, et au regard de la loi, tout le monde doit être traité sur un pied d’égalité. Cela m’attriste que ces gens puissent tenir ces propos… »
De son côté, le couple a pris conseil auprès d’un avocat et envisage de poser un recours devant le tribunal administratif au tribunal administratif « pour abus de pouvoir. Pour ce qui est de l’homophobie, cela va être plus difficile à prouver. » Le maire, pour sa part, n’exclut pas de porter plainte pour diffamation.
On imagine ces sales pédales vouloir étaler leurs goûts de fiottes dégénérées dans le village, en plus bien sûr de leur seule présence, déjà insupportable.
Ces fiottes exhibitionnistes sont prêtes à tout pour remettre en cause l’ordre établi.
En fait, il est très probable que ces deux cas psychiatriques prévoyaient de créer un bordel pour sodomites.
Une fistinière.
Depuis, cette sale fiotte menace sur le maire.
Le maire du village où nous avons acheté un terrain:
– Je ne signerai pas le permis de construire. Les gens comme vous (sic), je préfère qu’ils viennent me voir avant de déposer leur demande pour voir si leur projet de vie correspond à ma commune.
L’#homophobie en 2018 ?️?— Sébastien Durand (@sebastiendurand) 31 juillet 2018
Pour dire à cette sale pédale, notre Armée Troll doit se mobiliser.
En avant !