Le maire de Rouen veut remplacer la statue historique de Napoléon par la féministe juive Sarah Halimi

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 septembre 2020

 

Vous vous souvenez du nouveau maire de Rouen, ce Nicolas Mayer-Rossignol qui avait fait allégeance à la race noire après le décès accidentel de l’acteur pornographique afro-américain George « Fentanyl » Floyd ?

A présent que le filon médiatique noir est épuisé, ce démagogue s’est positionné sur le créneau féministe.

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Fragilisée, la statue équestre de l’empereur est actuellement en rénovation — et ce pour plusieurs mois — à Saint-Rémy-lès-Chevreuses (Yvelines). Nicolas Mayer-Rossignol, maire et président de la métropole de Rouen, veut profiter ce cette occasion pour ouvrir un débat sur le devenir de la statue et du lieu. Son idée : installer la statue de Napoléon 1er autre part dans la ville, et ériger à la place une représentation de « figure féminine ».

« La question de l’égalité femmes/hommes est centrale et doit se traduire dans les actes : j’assume la portée symbolique de cette proposition », a souligné l’élu jeudi 10 septembre 2020 lors de la présentation du programme des Journées du patrimoine et du matrimoine. À propos de la « figure féminine » qui pourrait remplacer Napoléon, Nicolas Mayer-Rossignol a soufflé le nom de Gisèle Halimi, l’avocate, militante féministe et femme politique décédée en juillet. Et concernant le futur emplacement de Napoléon, il a évoqué la possibilité de l’installer sur l’île Lacroix, à proximité du pont dont l’empereur est d’ailleurs à l’origine*.

Pour l’heure, il ne s’agit que de propositions, et un consensus devra être trouvé. Pour cela, une consultation publique, qui pourrait aboutir à un vote, va être lancée. Il s’agira de se prononcer sur l’idée de déplacer Napoléon — ou non, les Rouennais pouvant très bien préférer qu’il revienne à sa place initiale — et sur le nom de la figure qui, le cas échéant, prendrait sa place. L’érection d’un nouveau monument pourrait s’inscrire dans le cadre de la candidature de la ville à être capitale européenne de la culture en 2028.

Nous allons donc remplacer le plus grand général de l’histoire humaine par un vagin juif venu du Maghreb. C’est censé représenter « un progrès », sinon « le » progrès. En échange de quoi, le Trudeau de Rouen espère briller dans la bonne société mondaine rouennaise pour son « audace » dégénérée.

L’avantage qu’ont les démolisseurs de civilisation sur les bâtisseurs, c’est que dans leur domaine d’action, la connerie, n’est pas un handicap mais un avantage. Il leur suffit de détruire ce que d’autres ont fait.

Ces opportunistes de l’établissement ne recule devant aucune provocation susceptible de les placer sous les feux des projecteurs pour s’exhiber. C’est ce que vous récoltez lorsque la démocratie atteint son stade final : la surenchère anarchiste.

Ceci dit, cet histrion n’est pas entré par effraction dans la mairie de Rouen. Il a été élu par une populace qui se reconnaît totalement en lui, tout comme la population de Paris intra muros se retrouve dans la personne de la maghrébine Anne Hidalgo.

La démocratie a ce pouvoir de rendre acceptables les choses les plus insanes au prétexte que des gens ont glissé un bulletin dans une urne.

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