Capitaine Harlock
Démocratie Participative
03 septembre 2017
Moi quand je lis la presse québécoise
Je dois dire que le niveau d’autisme au Québec est largement supérieur à celui que l’on peut retrouver en France. Je ne pensais pas que c’était possible, mais j’avais tort.
Régis Labeaume a dénoncé une nouvelle fois samedi la vague de gestes commis contre le Centre culturel islamique de Québec (CCIQ). Le dernier en lice concerne des tracts s’attaquant au CCIQ qui auraient été distribués par un mystérieux groupe.
«Ça continue, visiblement. C’est du harcèlement, c’est du harcèlement, a réagi le maire de Québec en mêlée de presse samedi, en marge de l’inauguration du centre communautaire du Jardin dans l’arrondissement de Charlesbourg.
«Les Brigades de l’Amour», un mystérieux groupe qui a sa propre page Facebook, soutient sur le réseau social avoir imprimé quelque 25 000 bulletins roses pour distribution dans les foyers de Québec.
Dans ce tract de deux pages, le groupe, qui se dit contre la violence et la haine, dénonce les «propos intolérants et haineux diffusés sur le site web du CCIQ».
Lol.
Une distribution de tracts.
Contre le radicalisme musulman.
Les Brigades de l’Amour.
« Meuh, c’est du harcèlement, ils harcèlent nos djihadistes ! ». Ce Labeaume s’est converti, je ne vois que ça.
Quand vous lisez la presse québécoise, vous avez vraiment l’impression de lire un bulletin rédigé dans un établissement spécialisé pour déficients mentaux. Mais en fait, c’est tout le personnel politique qui est atteint de mongolisme.
Les tracts mentionnent aussi que «le CCIQ aurait des liens avec les Frères musulmans», une organisation liée au terrorisme.
«Tout le monde va dire que ce sont des gestes isolés. Je m’excuse, là, y a comme un modèle de comportements actuellement qui fait en sorte que quelques gens s’en permettent», a affirmé Régis Labeaume, faisant au passage allusion au président des États-Unis, «qui a banalisé le racisme et la violence».
« Un modèle de comportement actuellement qui fait en sorte que ».
Qu’est-ce que ça peut même vouloir dire ?
Selon le maire de Québec, «un vent d’extrême droite» souffle au Québec. Et «le pire» serait de nier, a-t-il insisté.
«Je veux pas exagérer, il y a comme un vent d’extrême droite actuellement au Québec. […] Historiquement, quand des mouvements d’extrême droite sont nés, la réaction des autorités, ça a toujours été de banaliser […] et chaque fois qu’elles l’ont fait, ça n’a pas fonctionné. Alors moi, je dis il faut les dénoncer sans arrêter», a-t-il poursuivi.
En les dénonçant ça devrait en effet dissuader les Québécois de se laisser envahir par les bougnoules.
Bien observé Régis.
Le maire, qui a qualifié les gens d’extrême droite de «lâches», de «pleutres» et de «poltrons» – en référence au fait qu’on ignore l’identité des gens derrière Les Brigades de l’Amour – estime que des gestes devront être posés collectivement pour dire «ça suffit».
Il s’est notamment adressé à ses homologues politiciens.
«Vous savez, il y a quand même des politiciens qui en parlent pas trop parce qu’ils ne veulent pas perdre cette clientèle-là, a-t-il soutenu. Va falloir qu’on soit clair, net et précis, sans jeux électoraux […], qu’on ait tous le même discours pour dire: “il faut condamner ça”. Et il faut le faire constamment, régulièrement, systématiquement», a conclu le maire.
« Cette clientèle-là ».
Quel rat marxiste. Heureusement pour lui, je ne suis pas au Québec, il déchanterait vite.
Tous ces politiciens ahuris n’ont pas l’habitude d’affronter des militants endurcis. Ils n’ont déjà pas l’estomac assez solide pour digérer une Marine Le Pen.D’ailleurs lors de son interview là-bas, je m’étais demandé si la journaliste n’était pas autiste, au sens clinique.
C’est comme si elle n’arrivait pas à comprendre les réponses.
Le Québec est une espèce d’univers parallèle, comme ces îles du Pacifique où la flore se développe de manière autonome, au fil des siècles, au point de ne plus ressembler en rien à sa souche d’origine. Là-bas, ils ont développé en vase clos une sorte de communisme institutionnel. Ils y sont tellement accoutumés, que la seule idée de ne pas s’aligner sur eux leur semble relever de la psychiatrie.
Quoiqu’il en soit, ce cafard de Labeaume a besoin d’être affranchi et rapidement. Les nationalistes au Québec vont rapidement progresser, c’est une évidence. Si on décapitait l’établissement socialo-communiste québécois, on pourrait y établir un état francophone de premier ordre, compte tenu de l’espace disponible et des possibilités économiques.
Les Blancs du Québec devraient rapidement monter un parti nationaliste radicalement anti-marxiste.
D’ailleurs, ils n’ont toujours pas interdit l’anglais au sein de l’état québécois. C’est à peine croyable.