Captain Harlock
Démocratie Participative
31 décembre 2018
Ce maghrébin Benalla continue d’agir pour le compte de Macron.
C’est confirmé.
Alexandre Benalla a affirmé dimanche 30 décembre à Mediapart avoir continué à échanger régulièrement avec Emmanuel Macron, via la messagerie Telegram, depuis son licenciement de l’Elysée.
La présidence avait pourtant assuré ne plus entretenir aucun contact avec l’ancien chargé de mission depuis son licenciement cet été après sa mise en cause pour des violences le 1er mai.
« Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », déclare Alexandre Benalla dans cet entretien mis en ligne dans la nuit de dimanche à lundi.
« Nous échangeons sur des thématiques diverses. C’est souvent sur le mode ‘comment tu vois les choses ?’. Cela peut aussi bien concerner les ‘gilets jaunes’, des considérations sur untel ou sur untel ou sur des questions de sécurité »
Il ajoute échanger aussi de manière régulière avec d’autres membres de la présidence, comme il l’avait déjà affirmé ces derniers jours dans un courrier adressé à l’Elysée.
Malgré l’enquête qui le vise, Benalla est donc toujours en lien en direct avec Macron.
Si Macron ne veut pas se débarrasser de ce bougnoule, c’est que ce bougnoule en sait beaucoup trop long sur beaucoup trop de choses. Et maintenant, on ne peut plus le faire disparaître.
Sans parler bien sûr de l’attirance qu’a le sodomite de l’Elysée pour la vermine afro-maghrébine.
Le fait que Benalla assure disposer de tout l’historique de ses conversations avec Macron et qu’il le dise dans la presse est à interpréter comme une menace.
Les bougnoules ne sont pas réputés pour leur finesse.
Il a l’air de cibler ceux qui, autour de Macron, tentent de limiter la casse. Ceux qui se situent entre lui et le sodomite de l’Elysée.
Au bout d’un moment, ces quelques conseillers, visiblement encore un tant soit peu lucides, vont lâcher l’affaire et laisser Macron à ses fantasmes.
Et puis Macron doit être tenu par tellement d’accords secrets qu’il ne peut de toute façon plus faire marche arrière.
Depuis qu’il a quitté l’Elysée, Benalla a été chargé par Macron de mener une diplomatie parallèle dans laquelle les juifs supervisent tout.
Europe 1 :
Philippe Hababou Solomon, employeur d’Alexandre Benalla à l’occasion d’une série de déplacements pour des activités de consulting, assure notamment que le ministère des Affaires étrangères a été informé à chaque fois que l’ancien garde du corps d’Emmanuel Macron a utilisé ses passeports diplomatiques.
Présenté par l’hebdomadaire comme « un vieux routier des sentiers africains », proche notamment des ex-présidents de Centrafrique François Bozizé et d’Afrique du sud Jacob Zuma, Philippe Hababou Solomon, 63 ans, explique avoir été présenté à l’ancien protégé d’Emmanuel Macron par « un ami commun ». Depuis son limogeage, Alexandre Benalla chercherait en effet à se reconvertir dans le consulting. « Je n’avais pas besoin de lui pour m’ouvrir des portes, mais plutôt d’un ‘assistant’ à qui je pouvais déléguer le suivi des affaires en cours, notamment dans un certain nombre de pays », explique cet homme d’affaire franco-israélien.Ensemble, les deux hommes auraient effectué deux tournées, à l’automne. La première, mi-novembre, en Turquie et en Israël, en compagnie d’une délégation indonésienne, pour parler cybersecurité. Et la seconde, début décembre, cette fois avec une délégation turque, sur le continent africain, au Cameroun, au Congo et au Tchad. « À N’Djamena, nous avons rencontré le président Idriss Déby et son frère, qui gère les approvisionnements en équipement militaire. L’objet des discussions, c’était le textile, les uniformes, l’électricité », détaille Philippe Hababou Solomon. Concernant ce dernier séjour, l’entourage d’Alexandre Benalla a pourtant nié, également dans les colonnes de L’Express, toute rencontre avec le frère du président tchadien.
En fait, tout le monde fait semblant de ne pas comprendre ce qui se passe.
Ce qui se passe, c’est que l’Etat Français n’est plus qu’un crabe juif qui vit des chairs du peuple français en décomposition.
Ce n’est pas comme si c’était incompréhensible. Mais tout le monde dit que c’est incompréhensible, qu’il y a « des zones d’ombre », que Benalla est un « personnage obscur ».
Il n’y a rien d’obscur.
Macron a privatisé dès le départ la présidence sous le contrôle de la finance juive internationale. Il a recruté toute une série de parasites, de mercenaires pour atteindre ce but.
Les états bougnoules et nègres ont été invités à participer à la joint venture.
Maintenant, c’est la vente à la découpe.
L’équipée s’est achevée par trois jours de détente aux Bahamas : « Un séjour de tourisme en somme ; Alexandre a fait du jet-ski. Mais là, c’est moi qui ai payé la facture« .
Concernant l’utilisation de passeports diplomatiques pendant ces différents déplacements, Philippe Hababou Solomon, lui-même détenteur d’un passeport diplomatique de Guinée-Bissau, précise : « À chaque fois qu’un passeport de ce type passe une frontière, les autorités sont informées. L’information remonte directement au Quai d’Orsay. Personne n’a protesté quand Alexandre a utilisé ses passeports diplomatiques, en Israël comme en Afrique… »
L’homme d’affaires laisse toutefois entendre qu’Alexandre Benalla pourrait bien jouer les ambassadeurs de l’ombre. « Alexandre faisait des petits rapports, après qu’untel nous a dit qu’il n’appréciait pas le ‘monsieur Afrique’ de l’Élysée, ou après qu’un autre nous a confié son incompréhension à propos du rôle de la France sur tel ou tel dossier. Je ne sais pas précisément à qui étaient destinés ces rapports », conclut-il.
Ce juif le revendique : « Tous ces connards de Français antisémites encore logés à l’Elysée nous emmerdent. On va les virer. On a monté un système parallèle. Avec l’aide de Macron, on va les finir. Après, la SARL Elysée fera le job. »
La dernière ambassade de France ne sera plus qu’un sous-consulat israélo-arabe.