Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mai 2022
Cet homme est votre ami, il combat pour la liberté
Enfin un homme décide de recadrer la rombière folle de Von der Leyen.
BFMTV :
« Il faut une décision unanime, tant que la question hongroise ne sera pas résolue, il n’y aura pas de oui de la Hongrie », a-t-il insisté, sans vouloir utiliser le mot de « veto ».
Le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban a jugé vendredi que Bruxelles avait franchi « une ligne rouge » en voulant interdire les importations de pétrole russe et « porté atteinte » à l’unité européenne affichée depuis le début de la guerre en Ukraine.
« La présidente de la Commission », Ursula von der Leyen, « a volontairement ou non attaqué l’unité européenne », a-t-il déclaré dans une interview à la radio.
Von der Leyen est vieille hyène sadique à la botte des juifs.
Aucun homme ne semblait vouloir dire à cette bique ménopausée de rester à sa place, c’est-à-dire à la machine à café.
C’est chose faite.
« J’ai dit oui aux cinq premiers paquets de sanctions, mais nous avons clairement signifié dès le début qu’il y avait une ligne rouge: l’embargo sur l’énergie. Ils ont franchi cette ligne (…), il y a un moment où il faut dire stop« , a-t-il ajouté.
La Hongrie avait déjà dit mercredi son opposition au projet d’embargo « dans sa forme actuelle », et M. Orban, proche avant l’invasion du président russe Vladimir Poutine, enfonce le clou.
« La proposition a été renvoyée à l’expéditeur, à Madame la Présidente pour qu’elle la retravaille, nous attendons une nouvelle proposition », a ajouté le dirigeant.
L’unanimité des 27 est impérative pour l’adoption de sanctions par l’UE. Elle a été obtenue pour les cinq précédentes séries de sanctions.
La Commission préconise dans son 6e paquet de sanctions « une interdiction de tout le pétrole russe, brut et raffiné, transporté par mer et par oléoduc » pour fin 2022.
Selon Viktor Orban, les Européens avaient acté « le droit souverain de chaque pays sur son mix énergétique », la Hongrie étant dépendante à 65% du pétrole russe.
Un embargo « équivaudrait à une bombe nucléaire larguée sur l’économie hongroise », a lancé vendredi le Premier ministre, habitué aux bras de fer avec ses partenaires européens depuis douze ans.
La dérogation prévue pour son pays jusqu’à fin 2023 par la Commission n’est à ses yeux nullement satisfaisante, « la transformation totale du système hongrois de transport et d’approvisionnement en énergie » nécessitant « cinq ans » et s’avérant très coûteuse à mettre en oeuvre.
« Nous n’irons nulle part avec une exemption d’un an et demi », a-t-il tranché, précisant que Budapest accepterait la proposition si le pétrole brut livré par pipelines était exclu du train de mesures.
Viktor Orban a également protesté contre l’inclusion dans le train de sanctions du chef de l’Eglise orthodoxe russe, le patriarche Kirill, soutien affiché à l’offensive. « Nous ne permettrons pas aux dirigeants d’églises d’être mis sur une liste de sanctions », a-t-il dit.
Ces sanctions contre l’énergie russe toujours plus nombreuses sont conçues pour précipiter le Great Reset, c’est-à-dire le projet de collectivisation verte voulue par ce maniaque néo-marxiste de Schwab.
Il n’y a aucune alternative prévue à l’énergie russe, parce que le but est de réduire drastiquement les déplacements individuels dans toute l’UE.
Ce que l’oligarchie prévoit, c’est une RDA écolo-LGBT afro-islamisée aux mains d’une poignée de multinationales contrôlant le rationnement en énergie, en nourriture, en biens de consommation.
Par l’arme de l’immigration non-blanche, le QI médian de l’Europe serait de 85 points pour s’assurer qu’aucune révolution n’advienne jamais contre les oligarques de cette UE bolchevisée.
L’autre aspect, c’est qu’il s’agit d’une guerre économique asymétrique menée par Davos contre les états de l’UE.
Tous ceux qui refusent le Great Reset seront placés sous embargo, comme la Russie. Ceux qui l’acceptent dépendront des approvisionnements contrôlés par ZOG.