Captain Harlock
Démocratie Participative
16 juillet 2019
Alors qu’il passait son week-end à inviter les 4 femelles islamo-communistes du Parti Démocrate à rentrer dans leur pays, Donald Trump a pris soin de placer les juifs et Israël entre lui et la gauche ; notamment en rappelant à quel point Ilhan Omar ou Rashida Tlaieb étaient, en tant que musulmanes, d’ardentes antisionistes.
Jonathan Greenblatt, PDG de l’Anti-Defamation League (ADL), accuse le président Donald Trump « d’utiliser les Juifs comme bouclier « après que le président eut défendu ses tweets sur « l’équipe » démocrate proche de l’extrême gauche en prétendant que celle-ci était anti-israélienne et antisémite.
Greenblatt, un ancien responsable de l’administration Obama, a posté un tweet lundi :
#AntiSemitism is on the rise.@realDonaldTrump using Israel to defend his blatant racism only hurts the Jewish community. He doesn’t speak for any of us.
We call on ALL leaders across the political spectrum to condemn these racist, xenophobic tweets & using Jews as a shield.
— Jonathan Greenblatt (@JGreenblattADL) 15 juillet 2019
Habitués à trianguler les conflits raciaux contre les Blancs après les avoir créés, les juifs sont en revanche beaucoup moins à l’aise quand ils subissent ce type de triangulation. Surtout lorsqu’elles sont orchestrées par des Blancs.
Comme je le disais, les juifs n’aiment pas avoir à expliquer leurs manipulations perfides en public.
Surtout quand il y a des musulmans pas loin.
Dans une déclaration plus détaillée, l’ADL a accusé Trump de saper « le soutien généralisé et bipartite en faveur d’Israël » – sans référence à la dérive anti-israélienne des démocrates, dont aucun n’a assisté à l’ouverture de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem l’année dernière, et qui n’ont pu se résoudre à critiquer Ilhan Omar (D-MN) dans une résolution l’année passée.
Quelle sale face de rat.
Jusqu’à présent les juifs pouvaient truander l’Amérique et gagner sur tous les tableaux en étant dispensés de choisir entre la gauche et la droite. Ce que Greenblatt appelle le soutien « bipartisan » à Israël de la part du Parti Démocrate et du Parti Républicain.
Au plan intérieur, les juifs pouvaient impunément se hisser à la tête des métèques pour se mettre en position de force contre la majorité blanche en politisant l’antiracisme à outrance pour leur propre compte.
Au plan extérieur, ils pouvaient extorquer tout ce qu’ils voulaient des bougnoules au Moyen-Orient grâce au soutien des USA.
Trump pose un nouveau deal : « vous, les juifs, vous me soutenez et vous soutenez Israël où alors, vous vous démerdez avec vos moukères somaliennes et vos bougnoules de Palestine. »
Ce qui suppose pour les juifs de choisir un camp donc de prendre des coups.
Trump doit se dire que les juifs peuvent être pragmatiques et qu’ils opteront pour la majorité blanche pro-Israël du Parti Républicain plutôt que pour la gauche antifa. C’est évidemment une erreur.
Les cris d’orfraie que poussent les juifs sont dus à cette renégociation du deal qui les pousse à perdre sur un des deux tableaux.
Il va sans dire que les youpins, fidèles à leur nature parasitaire, choisiront toujours les parasites des autres races comme alliés de choix, quitte à devoir fricoter avec les antisionistes les plus durs.
Ces hébreux ne peuvent tout simplement pas contrôler leur haine des Blancs. Leur ADN les y conditionne.
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