Captain Harlock
Démocratie Participative
05 avril 2019
Après plusieurs mois d’analyse sérieuses par la presse juive hexagonale, nous avons enfin un début de réponse sur les raisons qui font de Salvini une ordure, un criminel, un bandit de grand chemin dont il faut débarrasser l’Italie au plus tôt.
La conclusion en est que Salvini appelle une maman, une « mère », et un papa, « un père ».
Assez radical, même selon mes standards personnels.
Le gouvernement populiste italien a mis fin à l’utilisation des termes de « parent 1 » et « parent 2 », mise en place en 2015 sous Matteo Renzi.
Retour en arrière. Le gouvernement populiste italien a rétabli cette semaine les termes de « père » et « mère » sur les formulaires pour les cartes d’identité, provoquant de vives réactions des associations gays.
Impressionnant.
Des « associations » de sodomites ont « réagi ». C’est tout.
Ici, Wauquiez serait déjà en train de virer trois ou quatre collaborateurs avant de diffuser un film de lui assistant à la Gay Pride de Tel Aviv enregistrée en 2008.
La droite juive française ne voudrait tout de même pas offenser l’avant-garde de la démocratie.
Salvini a une autre approche.
« On retrouve un peu de bon sens », a salué Matteo Salvini, vice-Premier ministre et patron de la Ligue [parti d’extrême droite], pourfendeur à chacun de ses meetings des mentions « parent 1 » et « parent 2 » introduites en 2015 par le gouvernement de Matteo Renzi [de centre gauche].
Signé en janvier par Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur, le décret est entré en vigueur jeudi après sa publication au Journal officiel. Le garant de la protection des données privées et l’association des maires italiens avaient pourtant rendu un avis négatif ces derniers mois.
Les associations de défense des homosexuels, mais aussi des figures du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), l’allié gouvernemental de Matteo Salvini, sont rapidement montées au créneau pour dénoncer la mesure. « Un décret injuste qui a pour seul objectif de discriminer les enfants déjà reconnus par les tribunaux comme fils de couples lesbiens ou gays », a fustigé Fabrizio Marrazzo, porte-parole du Gay Center.
Ce truc démontre à quel point ces fiottes sont des dingues fanatiques.
Il ne s’agit même pas de retirer les enfants pris en otage par ces pédophiles – ce qui devrait être obligatoirement fait avant de soumettre ces malades à un traitement psychiatrique lourd – mais de dire, « les enfants ont un père et une mère ».
Ce qui est une réalité matérielle.
Ces homosexuels séropositifs ont une haine pathologique des gens normaux. Cette histoire de « parent 1 » et « parent 2 » vise à éradiquer la légitimité des couples sains au profit de tout ce que ces esprits dérangés peuvent imaginer.
Tous ces malades mentaux voudraient aller jusqu’à marier des chèvres avec des hommes s’ils le pouvaient.
Des associations et le syndicat CGIL ont déjà annoncé des recours devant les tribunaux administratifs, et la région du Piémont (nord-est) a proposé d’aider les familles concernées à le faire.
La loi italienne ne permet pas explicitement qu’un enfant ait deux pères ou deux mères mais, au cas par cas, des couples ont obtenu gain de cause, via la retranscription en Italie d’une filiation établie à l’étranger ou via une adoption par le parent non-biologique validée par la justice au nom de l’intérêt de l’enfant.
Désormais, ces enfants pourraient dans l’absolu se voir refuser l’établissement d’une carte d’identité, dans la mesure où les deux parents inscrits sur l’acte de naissance doivent signer la demande mais qu’un seul aura une case pour le faire.
Blablabla.
C’est du barratin, la presse juive monte en épingle ces gosses pour faire pleurer des rombières sur Facebook et forcer les gens à avaler leur bol d’insanités.
Bref.
Salvini était à Paris pour une réunion du G7 entre ministres de l’intérieur.
Il en a profité pour rencontrer l’alcoolo-tabagique.
Je ne sais pas s’ils ont discuté de la défense odieuse et outrancière des travelos ou non de la part du RN. Cela m’étonnerait.
Marine Le Pen et le vice-Premier ministre italien Matteo Salvini (Ligue) se sont rencontrés ce matin à Paris. pic.twitter.com/YzhQDokmA2
— Lionel Baland (@LionelBaland) 5 avril 2019
Salvini a somme toute besoin de cette horrible femme pour parvenir à créer un groupe européen susceptible de peser face au Parti Populaire Européen, le parti de la droite juive au parlement de l’UE.
Avec l’AfD, Orban et les Polonais, plus quelques autres, cela pourrait commencer à représenter quelque chose d’influent.
Surtout dans la mesure où ce serait un homme anti-pédé et anti-métèques qui dirigerait ce parti européen. Salvini donc.
Les bonnes femmes, l’alcoolo-tabagique en tête, seraient empêchées de faire n’importe quoi puisqu’elles devraient obéir au doigt et l’oeil de Salvini et de quelques mecs des pays de l’Est.
Le Pen n’y consent que parce qu’elle est vraiment acculée financièrement. La seule idée de devoir s’écraser devant Salvini doit le faire déjà bouillir.
Hélas, la contrepartie, c’est de voir la gueule de cette épave parader devant les objectifs pour essayer de rester sur le devant de la scène. C’est vraiment un supplice.
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