Le leader fasciste Salvini veut laisser les nègres se noyer en mer

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2018

 

Les populistes italiens ont certainement capitulé sur la question de l’Euro en acceptant de rester les esclaves de la finance juive, mais c’est d’abord à mettre sur le compte de ce mouvement bizarre qu’est le M5S.

En revanche Salvini semble déterminé à jouer cette manche sérieusement, du moins, d’après les premiers signaux qu’il envoie.

Le Figaro :

Le nouveau ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a menacé dimanche d’interdire aux bateaux portant secours aux migrants l’accès aux ports en Italie si Malte refuse de prendre en charge des centaines de personnes sauvées par une ONG, a rapporté la presse.

Selon le journal La Repubblica, Salvini a envoyé une lettre aux autorités maltaises dans laquelle il écrit qu’il se verrait « contraint de fermer les ports italiens », si 629 migrants secourus par l’ONG française SOS Méditerranée n’étaient pas autorisés à se rendre à La Valette, la capitale de l’île de Malte.

D’après le quotidien Corriere Della Sera, la lettre décrit La Valette comme « le port le plus sûr » pour accueillir ce bateau. Un porte-parole officiel maltais a déclaré à l’AFP que son gouvernement n’avait « pas reçu jusqu’ici de communication de Salvini », mais que « Malte n’était pas l’autorité coordinatrice ni compétente » concernant ce sauvetage.

Le porte-parole maltais a souligné que le sauvetage en question avait eu lieu dans la zone de recherche et de sauvetage libyenne et dépendait du centre de coordination des secours de Rome, ce qui signifie que Malte n’avait aucune obligation de prendre en charge ces migrants.

Ceux-ci ont été secourus par le bateau de SOS Méditerranée Aquarius au cours de six opérations distinctes en Méditerranée centrale dans la nuit de samedi à dimanche et étaient dimanche à la recherche d’un port où débarquer de manière sûre.

L’ONG française a précisé que parmi eux se trouvaient 123 mineurs isolés, 11 petits enfants et sept femmes enceintes.

Matteo Salvini, qui est aussi vice-Premier ministre et responsable de la Ligue (extrême droite), a multiplié les déclarations contre les migrants depuis qu’il a pris ses fonctions. Vendredi, il a demandé à l’Otan de défendre l’Italie qui, a-t-il dit, est « attaquée depuis le sud ».

Après un autre bras de fer avec Malte, un bateau de secours allemand, le Seefuchs, transportant 126 migrants, a finalement été autorisé à toucher terre dans le port sicilien de Pozzallo samedi.

« Si quiconque pense que nous n’allons pas bouger un muscle alors que nous subissons un autre été de débarquements, de débarquements et encore de débarquements, eh bien ce n’est pas ce que je vais faire« , a déclaré Salvini à des journalistes.

Le même jour, les autorités italiennes ont retenu et contrôlé pendant 12 heures un autre bateau de secours, le Sea-Watch 3, qui avait transporté 232 personnes jusqu’à Reggio de Calabre (sud-ouest). L’équipage du Sea-Watch a précisé qu’il avait demandé auparavant l’aide des garde-côtes de Malte, mais que ce pays avait refusé.

Salvini n’a pas l’air de plaisanter. Il a déjà sorti la Ligue de l’ornière politique où elle se trouvait en abordant un sujet central : l’invasion islamo-nègre.

Au passage, cet « Aquarius » est un navire français, ce qui nous met vraiment en dessous de tout vis-à-vis des Italiens. Si Salvini écrase les rats communistes qui le gèrent, il portera un coup sévère à toute cette pourriture pro-migrants qui se mobilise en France pour le financer.

Aux dernières nouvelles, le ton qu’il emploie attire un nombre croissant d’Italiens qui désespéraient de voir un homme déterminé surgir pour stopper cette invasion orchestrée par les passeurs de la finance juive internationale.

Matteo Salvini va donc rapidement constater que plus il réprime les passeurs de nègres, plus son poids politique croît. Pour ne rien dire des soutiens dont il va bénéficier dans toute l’UE, notamment en Autriche, Hongrie, Pologne, etc.

S’il mène à bien son plan, il pourra viser la présidence du conseil ultérieurement. Et instaurer un régime autoritaire post-démocratique, sur le modèle hongrois.

Cependant, sitôt l’Italie en voie de stopper l’invasion, un autre pays récemment tombé aux mains des communistes a décidé de prendre le relais : l’Espagne.

Il va sans dire que ces nègres vont commencer à remonter vers la France via les Pyrénées.