Capitaine Harlock
Démocratie Participative
14 avril 2017
Ouai, le djihad a désormais toute sa place dans la campagne présidentielle française. La France s’adapte, les Français s’adaptent.
Je ne jouerai le jeu ni du Front national qui voulait sa tête, ni de l’extrême gauche qui défend le communautarisme. #MohamedSaou pic.twitter.com/vuQyMdU39Y
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 14 avril 2017
Et une synthèse pour cerner le profil du djihadiste en question.
En pleine polémique sur un responsable du mouvement En Marche ! accusé d’être adepte du communautarisme et de l’islam politique, Emmanuel Macron a fait un passage particulièrement remarqué par ses adversaires sur la radio Beur FM.
«Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué ! Mais […] c’est un type très bien Mohamed», a lancé Emmanuel Macron dans les studios de la radio Beur FM le 14 avril.
Lors de son passage dans L’Emission politique du 6 avril sur France 2, Emmanuel Macron avait été interpellé sur Mohamed Saou, référent du Val d’Oise du mouvement En Marche !. Celui-ci avait été accusé d’être «tout à fait proche des idées des Indigènes de la République», un mouvement anticolonialiste français régulièrement accusé de communautarisme.
Dans un article publié plusieurs semaines plus tôt sur le site Jforum.fr, «le portail juif francophone», il était par ailleurs reproché à Mohamed Saou d’être proche idéologiquement du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) et de l’islam politique.
Mohamed est un djihadiste affilié aux Frères Musulmans dont le CCIF est une organisation gigogne. Cette organisation qui milite pour la burka de plage et qui organise des prières de rue à Clichy.
Ces politiciens ne font même plus semblant : ils négocient simplement la procédure de capitulation.