Brésil : le juif Zuckerberg intervient dans la campagne présidentielle et vire le fils de Bolsonaro et des centaines de milliers d’utilisateurs de Whatsapp

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 octobre 2018

La situation au Brésil n’évolue pas comme c’était prévu.

Bolsonaro est donné jusqu’à 64% dans les sondages au deuxième tour des élections présidentielles.

Du coup, les juifs ont décidé d’intervenir.

Le Figaro :

Des entreprises pro-Bolsonaro (extrême droite) ont financé l’envoi de millions de messages par WhatsApp avant le premier tour de la présidentielle. Une opération similaire était prévue cette semaine.

Après Facebook lors de la campagne victorieuse de Donald Trump en 2016, c’est au tour de WhatsApp d’être au centre d’une polémique, cette fois dans l’élection présidentielle au Brésil. Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro, qui a toutes les chances d’être élu à la présidence dimanche prochain, est accusé d’avoir mis sur pied une «usine de fausses nouvelles» pour nuire à son rival de gauche, Fernando Haddad. Une opération de déstabilisation financée illégalement par des entreprises sur la messagerie instantanée, une application extrêmement populaire au Brésil. En grande difficulté, Fernando Haddad, le candidat du Parti des travailleurs de l’ex-président Lula, a aussitôt saisi la justice électorale et réclamé l’inéligibilité de son adversaire.

C’est un simple remake de 2016 avec cette histoire de « fake news » financée par les Russes.

Whatsapp appartient à Facebook, c’est-à-dire au juif Zuckerberg.

Il s’agit de trouver un prétexte pour paralyser Bolsanaro sur les réseaux sociaux qui la principale force de frappe du Leader.

Euronews :

Bolsonaro a mené l’essentiel de sa campagne sur Facebook, Instagram et Twitter où il compte plus de 14 millions d’abonnés. Il a refusé de se confronter à Haddad lors des six débats télévisés prévus dans l’entre-deux tours, invoquant des « raisons médicales » après l’attentat mais aussi des « raisons stratégiques ».

Le PT a accusé le camp Bolsonaro d’avoir monté une « organisation criminelle » avec de « l’argent sale » en diffusant des millions de fausses informations sur WhatsApp, messagerie très populaire au Brésil avec 120 millions d’utilisateurs.

Son fils a été viré, purement et simplement, de l’application. Sans explication.

Où que nous regardions, le scénario est le même : ces juifs ont décidé de priver les patriotes d’accès aux réseaux sociaux.

Ils montent des opérations de disqualification pour légitimer la censure, les bannissements, etc..

La seule solution, c’est qu’une fois élu Bolsonaro s’occupe sérieusement de ces réseaux sociaux juifs qui cherchent à l’abattre.

Notamment en faisant arrêter tous les dirigeants de ces entreprises présents au Brésil.