Captain Harlock
Démocratie Participative
13 janvier 2022
Avec Jacques Attali, le juif polonais Alain Minkowsky dit « Minc » est l’une des éminences grises de la juiverie au pouvoir en France.
Ce juif est parmi les plus puants de France, ce qui n’est pas un mince exploit. Et ce juif a décidé d’abandonner Macron.
Le projet, c’est le judéo-macronisme mais avec une femme castratrice pour triquer la population en lieu et place de Macron.
L’essayiste, qui rêve d’un second tour entre le président sortant et la candidate LR, estime qu’Emmanuel Macron ne serait pas en capacité d’obtenir une majorité solide à l’Assemblée en cas de réélection.
Alain Minc, essayiste et ancien soutien d’Emmanuel Macron, annonce ce mercredi matin dans une interview au Point qu’il supporte désormais Valérie Pécresse pour l’élection présidentielle de 2022. Il justifie cette décision par le fait que le chef de l’État, s’il est réélu, ne parviendrait pas selon lui à obtenir une «majorité aux ordres» aux législatives de juin, et s’exposerait donc à une cohabitation. À l’inverse, considère-t-il, de la candidate LR, plus à même de voir ses troupes débarquer en force à l’Assemblée nationale.
Une déclaration assez inattendue puisque en novembre 2021, Alain Minc réitérait sur LCI son soutien au président de la République. «Je connais Emmanuel Macron depuis tellement longtemps. J’ai voté pour lui. J’ai soutenu sa candidature en 2017. Ce serait quand même un signe d’Alzheimer de ma part de ne pas le soutenir en 2022», affirmait alors l’essayiste.
La parole d’un juif ne vaut que ce que le goy crédule lui accorde.
Toutefois, s’il rêve d’un second tour entre Emmanuel Macron et Valérie Pécresse – et affirme désormais qu’il voterait alors pour la candidate LR -, Alain Minc pondère son soutien en expliquant qu’il entend, au premier tour, «voter pour celui des deux qui a le moins de certitude d’être qualifié au second tour». «Aujourd’hui, c’est Valérie Pécresse. Je voterai donc pour elle. Et si la situation s’inversait début avril, je voterais Macron pour la même raison», prévient-il. Objectif assumé : provoquer un second tour entre le président sortant et la patronne de la région Île-de-France, évitant ainsi la présence en finale de ceux qu’il appelle les «populistes» ou les «extrémistes». Comprendre : Marine Le Pen, Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon.
Bien qu’il admette qu’Emmanuel Macron «a particulièrement bien géré la crise sanitaire à partir de janvier 2021», et également réussi à «profondément transformer la France», Alain Minc regrette néanmoins le fait que le chef de l’État ne présente pas aujourd’hui un projet bien défini. «S’il arrive nu à la présidentielle, c’est parce qu’il n’a pas su fabriquer un parti et des alliances», juge l’essayiste.
Une « bonne gestion » de la « crise sanitaire » veut dire, dans la bouche menteuse du juif Minc, qu’elle a permis de mettre en place le contrôle de la plèbe prévue dans le cadre du Great Reset.
De ce point de vue, cette « gestion » a atteint la plupart de ses objectifs.
La « transformation » de la France dont parle Minc signifie la même chose : lester de dettes la plèbe après l’avoir enchaînée encore davantage pour mieux la presser comme un citron ensuite.
Là aussi, la juiverie internationale est pleinement satisfaite.
Pour le paysan goy en revanche, tout est pire.
Pour vendre le même produit juif sous une appellation différente, le système cosmopolite a opté pour un truc qui ne coûte rien : un candidat avec un vagin.
Macron est déjà une relique, au même titre que Hollande ou Sarközy.
«Je crois qu’élire une femme à la magistrature suprême serait un progrès extrêmement puissant pour la société française», estime enfin Alain Minc, qui n’a pas toujours misé sur les bons chevaux jusqu’à présent. Défenseur d’Édouard Balladur au premier tour en 1995, puis de Lionel Jospin au second, il n’avait à l’époque pas vu venir Jacques Chirac. De même, conseiller de Nicolas Sarkozy à partir de 2007, il a ensuite rejoint Alain Juppé en 2015, sans imaginer que François Fillon serait désigné par la primaire LR un an plus tard. D’où son ralliement à Emmanuel Macron, en janvier 2017, louant alors sa capacité à réformer le pays. Avec, cette fois, une fin heureuse pour son champion… Qui ne l’est déjà plus aujourd’hui.
« Merci Emmanuel ! »
Macron va découvrir que pour les juifs, les mots « gratitude » et « loyauté » sont des injures. C’est la fonction de la démocratie sémitique que de ne jamais laisser quiconque au pouvoir pour ne pas permettre au peuple de solidifier son emprise sur son propre état à travers lui.
Macron est jugé trop hésitant par les juifs.
La mise en coupe réglée de l’Occident par la finance juive est allée de paire, depuis l’origine, avec le féminisme, pensé par des juives. Un pays gouverné par des femmes est un pays faible que les juifs peuvent manipuler à l’envi.
Aucun peuple ne se donne naturellement des femmes pour leaders. Cela ne peut se produire que par le jeu de la manipulation démocratique, avec ses élections truquées, ses médias achetés et sa corruption généralisée. Trois domaines entièrement gouvernés par les juifs.
Dans le cas français, on peut être sûr qu’une femme à l’Elysée ferait s’écrouler le pays dans l’année. Six mois de Pécresse suffirait à précipiter l’effondrement général.
C’est ici que le juif commet une grave erreur de jugement. Le vampire juif, à force de sucer le sang de sa victime, finit par la tuer, et avec lui le parasite qui s’ingéniait à l’affaiblir.
Je suis un ardent partisan de l’élection de Pécresse. Nous avons besoin d’une idiote aussi arrogante qu’incapable à la tête de cette démocratie putréfiée pour précipiter sa chute finale.
Ce serait aussi un excellent moyen d’infliger une cure de féminisme létal à la droite vaginocratique.
Comme disait Napoléon Bonaparte, quand votre ennemi s’apprête à commettre une erreur, il ne faut surtout pas l’interrompre.