Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Décembre 2020
Les juifs salivent de plus en plus visiblement alors qu’ils mettent en place l’interdiction effective des fêtes de Noël.
L’objectif des 5 000 contaminations par jour au 15 décembre, fixé par Emmanuel Macron lors de son allocution le 24 novembre, pour passer à une nouvelle étape du déconfinement, semble s’éloigner. Jérôme Salomon fait le point sur la situation sanitaire ce lundi 7 décembre.
Arrivera-t-on à tenir l’objectif des 5 000 contaminations par jour d’ici au 15 décembre ? Depuis ce week-end, nombre d’infectiologues et épidémiologistes sont interrogés sur la question.
Alors que les Français sont dans l’attente de savoir si le déconfinement tant attendu sera bel et bien possible à compter de la mi-décembre, le directeur général de la santé Jérôme Salomon, s’exprime ce lundi 7 décembre à 18 h, à l’occasion d’une conférence de presse, pour présenter un nouveau point sur l’épidémie de coronavirus en France.
Pour déconfiner, le gouvernement s’était fixé deux objectifs : passer sous la barre des 5 000 nouveaux cas quotidiens, et un nombre de patients présents dans les services de réanimation compris entre 2 500 et 3 000. Dimanche 6 décembre, 11 022 nouveaux cas de contamination ont été enregistrés, mais 3 220 personnes étaient en réanimation.
Pour rappel, le 24 novembre, lors de son allocution, le président de la République avait annoncé trois phases, la première s’achève au 15 décembre, elle permettait aux commerce d’ouvrir et assouplissait légèrement les conditions de déplacement.
A partir du 15 décembre, le gouvernement envisageait de lever le confinement, pour le remplacer par un couvre-feu de 21 h à 7 h, sauf les 24 et 31 décembre. Enfin, le 20 janvier était la date annoncée pour un « retour à la normale ».
Ces deux dernières étapes étant sous la réserve de l’évolution des chiffres de l’épidémie.
Jérôme Salomon commence par dresser une rétrospective : « La première vague a été très déstabilisatrice. La deuxième vague est tout aussi complexe à gérer en raison de la circulation du virus dans toute l’Europe et la France ».
Le directeur général de la Santé précise que malgré les efforts, qui ont fait reculer l’épidémie, « depuis quelques jours, le niveau de contamination quotidienne ne baisse plus et reste particulièrement élevé chez les personnes de plus de 75 ans ».
Concernant l’imminence des fêtes de fin d’année :« Je passe un message très clair de prudence, de bon sens pour la protection des personnes les plus fragiles et de nos aînés. Il faudra du temps pour arriver à un contrôle de l’épidémie ».
« Les Français ont bien compris qu’on faisait appel à leur bon sens ». « Pour les fêtes, nous verrons quels sont les messages à faire passer en temps voulu », précise Jérôme Salomon.
A propos du déconfinement : « Tout dépendra de l’évolution des prochains jours, nous sommes dans une phase de diagnostic. On est devant une vague puissante qui profite des conditions en Europe. La question c’est quelle sera la situation dans les prochains jours ? », explique Jérôme Salomon, pour qui les décisions à compter du 15 décembre, date annoncée du déconfinement, dépendront de cette situation.
Cette face de reptile sadique ment.
Le nombre de cas baisse officiellement depuis des semaines.
On parle ici de quelques milliers d’octogénaires déjà malades que les autorités décrètent « morts du Covid19 » sans que nous puissions en vérifier la réalité.
Vous vous rappelez que le juif Salomon semait déjà la panique avec ses mensonges lors du premier confinement lorsqu’il comparaît cette grosse grippe à la peste noire.
Je sais que des gens diront que je mens, voici donc la source :
La peste noire a tué entre un tiers et la moitié de la population européenne. Ce petit virus n’a tué que quelques centaines de milliers d’Européens très âgés qui allaient décéder sans tarder.
Les agissements de ce juif, tout comme ceux d’Yves Lévy et d’Agnès Buzyn, démontrent une nouvelle fois que cette opération de désinformation est fondamentalement une initiative d’inspiration hébraïque. Que des juifs puissent contrôler l’appareil sanitaire français est en soi le signe annonciateur d’une catastrophe. Je ne vois pas comment, tant que ces juifs contrôleront l’Etat, quelque politique que ce soit puisse être menée qui ne soit pas une politique pensée pour la préservation des intérêts de la race juive. Ce qui signifie, compte tenu de la nature parasitaire de cette race, des mesures extrêmes qui se convertiront en désastre pour les populations autochtones.
La nature sadique du juif n’est plus à démontrer, pas plus que sa haine raciale inextinguible à l’encontre des peuples blancs. Les juifs haïssent tout ce qui sédimente l’identité collective des nations blanches, à l’instar de Noël. Bientôt, nous verrons ces juifs s’en prendre avec férocité aux fondements confucéens de l’Asie pour essayer d’en saper les bases culturelles et mieux recommencer son éternel numéro d’exploitation.
Que l’on soit chrétien ou non – et bien que Noël soit à l’origine une fête païenne – le juif hait Noël en raison de la haine obsessionnelle que le Christ éveille chez eux. Noël célèbre la naissance du Christ dans des conditions qu’il faut rappeler. La famille du Christ s’était enfuie de Palestine alors que le roi juif de l’époque, Hérode, livrait le pays à une des habituelles poussées de bolchevisme génocidaire dont les despotes hébreux sont coutumiers. Ses mages lui avaient annoncé que le véritable roi des juifs allait naître sous peu, ce qui poussa Hérode à faire massacrer tous les nouveaux-nés de la région, y compris son propre fils. Ce qui fera dire à l’empereur Auguste qu’il valait mieux être le cochon d’Hérode que son enfant.
Marie, la mère du Christ, parvint à s’enfuir avant de donner naissance au Christ, l’homme qui devait faire trembler le pouvoir des pharisiens par ses prêches publics extraordinaires.
Le Christ est en effet un des plus grands orateurs de l’histoire et un des ennemis de l’esprit juif le plus farouche. Il suffit de lire les évangiles pour réaliser à quel point tout sépare le Christ des juifs. C’est aussi, par ces deux traits que sont son art oratoire et sa lutte contre l’esprit juif, un homme qui a su conquérir à travers les millénaires des milliards de disciples, exploit seulement égalé par Mahomet et Bouddha.
Un tel homme ne doit pas être pris à la légère.
Je suis d’avis de toujours distinguer très nettement cet homme des églises qui se revendiquent de lui et qui ont toujours pris soin de dénaturer l’enseignement du Christ en se comportant comme les pharisiens qu’il a combattu.
Adolf Hitler résumait très bien la chose, un après-midi de 1941 :
À l’origine, le christianisme n’était qu’une incarnation du bolchevisme destructeur. Néanmoins, le Galiléen, qui fut plus tard appelé le Christ, avait des intentions tout à fait différentes. Il doit être considéré comme un leader populaire qui a pris position contre la juiverie. La Galilée était une colonie où les Romains avaient probablement installé des légionnaires gaulois, et il est certain que Jésus n’était pas un Juif. Les Juifs, d’ailleurs, le considéraient comme le fils d’une putain – d’une putain et d’un soldat romain. La falsification décisive de la doctrine de Jésus est l’œuvre de Saint Paul. Il s’est livré à cette œuvre avec subtilité et dans un but d’exploitation personnelle. Car l’objectif du Galiléen était de libérer son pays de l’oppression juive. Il s’est opposé au capitalisme juif, et c’est pourquoi les Juifs l’ont liquidé. Paul de Tarse (il s’appelait Saul, avant le chemin de Damas) était l’un de ceux qui persécutèrent le plus sauvagement Jésus. Lorsqu’il apprit que les partisans de Jésus se faisaient égorger pour ses idées, il comprit qu’en utilisant intelligemment l’enseignement du Galiléen, il serait possible de renverser cet État romain que les Juifs détestaient. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la fameuse « illumination » [de Damas]. Pensez-y, les Romains osaient confisquer la chose la plus sacrée que les Juifs possédaient, l’or empilé dans leurs temples ! A cette époque, comme aujourd’hui, l’argent était leur dieu. Sur le chemin de Damas, Saint Paul découvrit qu’il pouvait réussir à ruiner l’État romain en faisant triompher le principe de l’égalité de tous les hommes devant un Dieu unique et en mettant hors d’atteinte des lois [romaines] ses notions personnelles, et qu’il prétendit de ce fait d’être d’inspiration divine. Si, dans le marchandage, l’on parvenait à imposer un seul homme comme représentant sur terre du Dieu unique, cet homme posséderait un pouvoir sans limite.
La description expressive du Führer, entre le commissaire bolchevique Saül de Tarse d’un côté et les spéculateurs des banques déguisées en synagogues de l’autre, s’applique parfaitement à la révolution communiste de 1918 en Russie tout comme elle décrit pratiquement mot pour mot ce que nous vivons actuellement avec le Great Reset : une poignée d’ultra-capitalistes juifs finançant des révolutionnaires juifs pour qu’ils prêchent l’égalité à la plèbe goy afin de mieux l’enfermer dans une tyrannie esclavagiste complète.
Les persécutions infligées au Christ sont d’ailleurs les mêmes que celles que subissent tous ceux qui veulent libérer les nations du joug juif, à un moment ou à un autre. Ce qui certifie l’authenticité des évangiles, c’est l’exactitude avec laquelle est décrite l’esprit juif, tout particulièrement lors du procès du Christ.
Les juifs savent tout cela mieux que quiconque, c’est pour la raison laquelle ils n’ont jamais tenu le Christ pour l’un d’entre eux. C’est aussi la raison pour laquelle ils haïssent tout ce qui se réfère à lui. Quand Mel Gibson a produit la Passion du Christ, ça a été un hurlement universel de la part de la juiverie internationale qui a tout fait pour le censurer.
Effacer le souvenir du premier homme de l’histoire à avoir fait trembler les bases du pouvoir juif est une constante du sémitisme organisé et ce Salomon entend bien y parvenir.
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