La rédaction
Démocratie Participative
25 juin 2023
Le petit numéro du juif Prigozhine a fait long feu en moins de douze heures. Après avoir déclaré que Vladimir Poutine avait « fait le mauvais choix » et prétendu marcher sur Moscou, le juif perfide s’est retrouvé sans soutien public, assis à Rostov, loin de Moscou.
Cette tentative pathétique a eu pour effet de démontrer l’absence de dissension sérieuse en Russie, malgré le déchaînement médiatique occidental qui voyait déjà l’État russe « s’effondrer ». L’État russe n’a aucune raison de s’effondrer. Son économie n’est pas gravement atteinte, le front est solide et la présidence n’est contestée par aucune force notable dans le pays.
Pour limiter les effets de cette tentative avortée, le gouvernement russe a choisi la désescalade. Poutine exile le juif en Biélorussie, les troupes de Wagner sont placées sous les ordres directs du ministère de la Défense russe.
⚡️#BREAKING Close up video confirming that Prigozhin is leaving Rostov pic.twitter.com/YAlsRK6PnD
— War Monitor (@WarMonitors) June 24, 2023
Il semble que cette modération soit dictée par la présence immédiate de Wagner en Afrique sur laquelle s’appuie la Russie.
Il n’en reste pas moins qu’un putsch, surtout juif, doive, à toutes les époques et sous toutes les latitudes, être écrasé dans le sang.
Il est temps qu’en Russie quelqu’un dise l’évidence à Vladimir Poutine à propos de ces juifs, où qu’ils se trouvent. Le philosémitisme est une idée du passé, la Russie, que ces juifs veulent démanteler, ne peut plus faire l’économie d’une épuration complète de ce virus mortel.