Captain Harlock
Démocratie Participative
28 octobre 2021
Les juifs lancent une offensive contre Rivarol, l’hebdomadaire nationaliste que dirige Jérôme Bourbon.
«L’indignité a assez duré.» Les activistes des Sleeping Giants, des anonymes qui luttent contre le financement par la publicité des médias ou émissions qu’ils estiment prôner la haine, ont lancé mercredi une campagne destinée à interpeller la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP). En cause : Rivarol est reconnu comme «publication d’information politique et générale» par ladite commission, qui dépend du ministère de la Culture. Ce qui lui ouvre droit à des subventions indirectes telles qu’un taux de TVA réduit ou des tarifs postaux préférentiels notamment. «Inacceptable», dénoncent les activistes.
«Rivarol ce n’est pas un journal, c’est un torchon antisémite multi-condamné», rappelle Rachel (1) des Sleeping Giants, contactée par Libération. Et pourtant, l’hebdomadaire fondé par un pétainiste est donc bien reconnu par les services de l’Etat comme un titre de presse au même titre que Libé, le Figaro, le Monde et bien d’autres. Plus précisément comme une publication «d’information politique et générale», ce qui est défini notamment comme «relative aux rapports entre les Etats, au fonctionnement des institutions juridiques, ainsi qu’à tous les problèmes d’ordre social, moral ou administratif qui intéressent la vie de la cité».
« Rachel (1) »
(1) Le prénom a été modifié.
Oui. En fait, le vrai prénom est Rebecca.
Au rang des avantages que confère ce statut figurent donc un taux de TVA «super-réduit» de 2,1 %, à des tarifs postaux préférentiels pour la distribution des numéros aux abonnés et permet d’être éligible à des conditions de distribution privilégiées dans les réseaux de messagerie de presse. «Enfin, les contribuables peuvent bénéficier d’un crédit d’impôt sur leur premier abonnement annuel à un titre de presse d’information politique et générale», précise le site de la CPPAP. Et de joindre la liste des titres concernés où figure bien Rivarol.
«La CPPAP, dans son propre règlement, reconnaît explicitement comme critères de refus ou d’exclusion aux avantages fiscaux les publications négationnistes, incitant à la haine, à la xénophobie et celles portant atteinte à la dignité de la personne humaine», souligne Sandra Muller rédactrice en chef de la Lettre de l’audiovisuel qui dédie, mercredi, un article à l’action des Sleeping Giants.
Le titre est pourtant connu pour son négationnisme crasse ou pour faire l’apologie du IIIe Reich. Antisémite au dernier degré, Rivarol prend pour cible à longueur de colonne les juifs. Dernier exemple en date, une pleine page dans le numéro du 13 octobre tentant de réhabiliter le dirigeant nazi Adolf Eichmann, en charge de la logistique de l’Holocauste. Le journal et son directeur de la publication, Jérôme Bourbon, cumulent les condamnations pour «incitation à la haine raciale», «diffamation» et «contestation de crime contre l’humanité».
Je n’ai pas lu cet article à propos d’Adolf Eichmann.
J’aimerais d’ailleurs combler cette lacune.
Je tiens Adolf Eichmann pour un véritable héros. C’est un soldat politique exemplaire, d’une droiture absolue, qui jusqu’au bout a fait face à la bête juive sans jamais trembler.
Il est resté l’exemple vivant de l’éthique SS.
Souvent les gens pensent que c’est une devise comme une autre, sans aucune implication particulière.
C’est parce que les gens ne comprennent pas la mentalité dont elle est le fruit, laquelle puise dans les fraternités étudiantes germaniques, la dureté prussienne, l’idéalisme des corps francs et la foi fanatique dans la victoire finale de la roue solaire européenne.
Voilà un théorème : on mesure la liberté d’un pays blanc à la liberté avec laquelle on peut brandir le symbole de l’aryanité qu’est la svastika.
Voici un autre théorème : on mesure l’esclavage d’un pays par le sémitisme à la violence de la répression contre le symbole de l’aryanité qu’est la svastika.
Cet idéal est à la fois simple et lourd de conséquences : on ne trahit pas.
C’est cet idéal que les juifs ont cherché à briser avec ce qui n’est rien de moins que la réédition du procès du Christ.
Les juifs avaient concocté pour Adolf Eichmann ce fameux numéro hébraïque télévisé où il entendait le faire plier devant leurs masses surexcitées.
Ce fut une défaite éclatante pour les juifs. En dépit de ce que les juifs racontent depuis 60 ans, ils ont offert la sortie la plus glorieuse à ce martyr de la cause blanche. Sans ces juifs stupides, Eichmann serait mort dans l’anonymat en Argentine. A la place, ils l’ont fait entrer dans l’histoire comme l’homme qui ne plie pas, ne cède pas, ne s’excuse pas, même acculé et seul, cerné par la meute juive.
D’accord, mais je vous ai quand même baisés
Quand on voit le procès Eichmann, on ne voit rien d’autre que le procès du Christ, là aussi à Jérusalem.
Ce n’est pas un hasard si les plus belles figures de la fine fleur raciale de l’Allemagne regroupée au sein de la SS sont plus diabolisées que jamais par cette immonde juiverie.
Les juifs savent que si l’homme blanc rond leur sortilège et se met à voir ces combattants pour les héros qu’ils sont, la catastrophe est inévitable.
C’est ce même type d’hommes blancs en acier qui sauvera l’Europe et c’est ce type d’hommes que nous devons créer durant ce siècle à partir des jeunes Blancs les plus déterminés.
Avec dix Adolf Eichmann l’Europe est sauvée.
Si au bout d’une vie entière d’activisme je parvenais à inspirer un seul homme de la trempe d’Eichmann, je pourrais mourir avec le sentiment du devoir accompli. J’ai la conviction intérieure que je ferai bien mieux que cela en semant aujourd’hui les sentiments nécessaires dans le cœur des jeunes garçons qui demain seront les ennemis implacables de la race qui a juré de nous détruire.
C’est justement parce qu’il rend justice à ce type d’hommes européens que Rivarol s’expose à la haine raciale des juifs.
Mercredi, Jérôme Bourbon et Rivarol comparaissaient également devant la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris pour deux nouvelles affaires. La première concerne des faits de «négation de crime de guerre» : le journal minimisait en septembre des tags négationnistes découverts à Oradour-sur-Glane quelques jours plus tôt. La seconde vise une vidéo de Jérôme Bourbon intitulée «Hervé Ryssen en prison : la liberté d’expression à géométrie variable», en défense de l’antisémite obsessionnel incarcéré pour ses multiples provocations à la haine raciale.
Contacté, le ministère de la Culture n’a pas été en mesure de répondre à nos questions dans le délai imparti.
J’ajoute que Sleeping Giants n’est pas une organisation « anonyme » et que cette opération ne l’est pas davantage.
C’est le juif Mendès qui se cache derrière, aidé d’une poignée de juifs.
Il ne brille pas par sa finesse et téléphone ses coups de poignard à l’avance.
Novembre 2020 :
Et Rivarol… https://t.co/Eo2D3YKQuI
— Tristan Mendès France (@tristanmf) January 16, 2021
Janvier 2021 :
Si vous pouviez aussi jeter un oeil à l’immatriculation accordée par la Commission paritaire des publications et agences de presse à l’hebdomadaire Rivarol. https://t.co/pjrTCgs8PS
— Tristan Mendès France (@tristanmf) January 29, 2021
Juin 2021 :
Aujourd’hui dans ma pastille #antidote j’interpelle @R_Bachelot sur certains agréments de la Commission paritaire à des titres délirants comme Rivarol ou qui relayent de la désinfo sur la santé.
NB : agrément 👉 aides indirectes publiques.https://t.co/iebiV95w7F— Tristan Mendès France (@tristanmf) June 4, 2021
Octobre 2021 :
L’énigme Rivarol, un torchon raciste et antisémite, multi condamné, qui profite d’avantages fiscaux grâce à la commission paritaire. #stoprivarol
(J’en disais un mot ici https://t.co/iebiV95w7F) https://t.co/6rT2mqAjRt— Tristan Mendès France (@tristanmf) October 27, 2021
C’est enfin Libération, le journal de l’oligarque juif Drahi dirigé par un officier du renseignement israélien, qui opère un énième rappeL.
C’est tellement gros que même les journalistes français n’osent pas donner le tampon à l’armée israélienne opérant sur le territoire français sous couvert de « journalisme ».
Nous sommes moins libres que des Palestiniens.
Même enfermés dans leurs camps de concentration à ciel ouvert, les Palestiniens s’expriment librement sur ces juifs.
Si vous voulez aider Rivarol face à ces démons, il n’y a qu’une seule option : vous abonner à ce journal.
Ne vous y trompez pas, si ces juifs intensifient les persécutions, c’est parce qu’ils constatent avec effroi que jamais leur boutique n’a été aussi menacée.