Le Libre Panzer
Démocratie Participative
10 septembre 2018
Hakim Karoui-Schvartz, « musulman » bien compris
Les juifs ont un problème. Et ce problème est l’archaïsme de certains mahométans qui n’ont pas encore accepté de remplir la fonction arrêtée pour eux par les juifs, laquelle consiste à abâtardir la race blanche grâce à la salade de Macédoine multiethnique qu’est la démocratie cosmopolite.
Macron a donc reçu une série de mesures à prendre pour permettre à l’invasion arabo-nègre de se poursuivre dans les meilleures conditions.
BFMTV :
Hakim El Karoui a rédigé le rapport « La fabrique de l’islamisme », diffusé dès dimanche soir par l’institut Montaigne.
« C’est d’abord une idéologie, une représentation du monde ». L’auteur de cette phrase, Hakim El Karoui, essayiste, est aussi celui d’un rapport publié dimanche soir par l’institut Montaigne, think tank libéral, intitulé « La fabrique de l’islamisme » et qui doit être remis à Emmanuel Macron pour nourrir un plan censé être présenté à l’automne. Sur notre plateau ce lundi, il a évoqué les enseignements tirés de son enquête:
« L’idéologie islamiste est en forte progression chez les musulmans de France. Elle est alimentée par les réseaux sociaux. Les musulmans et notamment les jeunes, s’informent, apprennent la religion de plus en plus par les réseaux sociaux et de moins en moins par la famille et aujourd’hui très peu par les mosquées. »
« On est en train de créer une société alternative, à côté, séparée. Avec un concept-clé : le halal. Halal, ça veut dire licite. La société française est perçue par ceux-là, qui sont une petite minorité des musulmans de France, comme illicite, impure. Donc ils veulent créer à côté une société différente, avec des règles, avec des normes, avec des comportements. »
Et les imams ne seraient que de peu de secours. « Les imams de France sont faibles. Ils sont bien souvent étrangers, ne parlent pas très bien français. Ils connaissent très peu le public, et notamment les jeunes. Ils ne savent pas leur parler », développe l’essayiste.
Au chapitre des solutions, c’est d’abord sur les acteurs que s’intéresse l’auteur du rapport: « Ce n’est pas l’Etat qui va réagir. L’Etat, il peut aider. On est dans un régime laïc et on est sur un problème idéologique. Les cibles ce sont d’abord les musulmans. Donc qui doit réagir ? Les musulmans, les musulmans intégrés, les musulmans silencieux »
Parmi les options qu’Hakim El Karoui a voulu mettre sur la table à l’issue de son rapport, on trouve la volonté d’encourager l’apprentissage de l’arabe: « C’est une bataille de la connaissance. Les islamistes disent : ‘Nous savons, vous ne savez pas’. Connaître l’arabe, c’est avoir accès au texte et donc se passer des intermédiaires, comme les islamistes. » D’après les chiffres avancés dans le document qu’il a mis sur pied, deux fois moins d’élèves apprennent l’arabe dans les écoles qu’il y a vingt ans, et dix fois plus dans les mosquées.
Ce Hakim El Karoui est un musulman un peu spécial.
Son père, venu en France en 1958, est professeur d’anthropologie juridique sur l’islam à la Sorbonne. Sa mère, Nicole El Karoui (née Schvartz), fut professeur de mathématiques financières à l’École polytechnique.
Nicole Schvartz n’est pas allemande.
Ce Hakim Schvartz est mandaté par l’Institut Montaigne dont le président n’est autre que Henri de Castries, accessoirement président du groupe Bilderberg.
C’est l’Institut Montaigne qui a créé le mouvement de Macron, par l’intermédiaire du juif Attali.
Mais ce sur quoi il est peu insisté c’est à quel point Axa et l’institut Montaigne ne mettent pas tous leurs œufs dans le même panier puisqu’il y a un an (le 7.04/2016), l’Express, que l’on ne saurait soupçonner de gauchisme, mettait en évidence les mêmes liens à propos de Macron. Celui qui soutient ce dernier c’est Claude Bebéar. A l’origine du phénomène Macron, il y a la commission Attali qui veut prouver que droite et gauche peuvent s’entendre sur des réformes. C’est dans l’air du temps, Nicolas Sarkozy pratique l’ouverture avec les mêmes. Une décennie s’est presque écoulée, mais de nombreux membres de la commission Attali sont toujours là, autour d’Emmanuel Macron.
[…] Celles-ci faisaient apparaître le nom du directeur de la publication du site, Véronique Bolhuis, et son éditeur, En Marche, association loi 1901 domiciliée au 33 rue Danton, 94270 Kremlin-Bicêtre. Véronique Bolhuis est la compagne de Laurent Bigorgne, le directeur de l’Institut Montaigne, détaille Mediapart. Et l’adresse de l’association est celle du domicile privé du couple.
Bref, cette mise en scène est sémitique de bout en bout et c’est finalement BFMTV, possession du juif Drahi, qui se charge de vendre l’opération à la plèbe aryenne.
Opération de contre-insurrection juive
Les juifs mènent en France une opération stratégique de contre-insurrection qui se déploie en deux phases parallèles. Cette stratégie vise à empêcher l’intensification de la guerre raciale sur le territoire français et contrer l’émergence d’un pouvoir aryen autonome qui menacerait la finance juive au coeur de l’Europe.
La première phase consiste à utiliser, face à l’inévitable montée du sentiment anti-immigration, une minorité blanche dite « patriotique » qui soit acquise à la juiverie via le bacille démocratique, homo-féministe et pro-israélien.
La seconde phase consiste à recruter, face à l’inévitable libanisation islamique, des arabes acquis à la démocratie, généralement des homosexuels, des beurettes ou des bourgeois dépendants des juifs, pour faire basculer la masse immigrée musulmane du côté de la juiverie contrôlant la France.
Cette double manoeuvre vise à maintenir la juiverie en situation d’arbitre, assise sur le système démocratique, en soutenant un côté contre l’autre selon le rapport de force du moment.
C’est pour cela que vous voyez se multiplier les « bougnoules patriotes » antiracistes qui attaquent « l’islamisme » et le désigne comme principal obstacle à la société multiraciale voulue par les juifs.
La « France Libre » de Goldnadel est par exemple une création intégrale du gouvernement israélien.
Maintenant, entendons-nous : l’Europe fait face à une invasion islamique et l’islam se comporte comme il se comporte depuis 13 siècles, c’est-à-dire en corps étranger agressif.
Les juifs ne veulent pas mettre un terme à sa présence en Europe, bien au contraire. Ils veulent un islam purgé de toute forme d’hostilité aux principes judéo-démocratiques afin de pouvoir utiliser selon leurs besoins contre les Blancs les dizaines de millions de nègres et d’arabes musulmans supplémentaires qu’ils veulent implanter en Europe.
Six millions de juifs tiennent en respect 300 millions d’arabes au Proche-Orient par toute une série de mesures militaires, économiques, culturelles, etc. Ils entendent bien, par le jeu de leur habituelle triangulation, agir de même en Europe et renforcer leur étreinte financière et politique sur le continent grâce à leurs auxiliaires raciaux.
Leur but stratégique est d’empêcher que la démocratie ne soit détruite. C’est-à-dire l’écran de fumée qui leur permet de tirer les ficelles du pouvoir dans l’ombre.
131 noms figuraient sur la liste des participants prévus à l’occasion de la 66e réunion du groupe Bilderberg qui s’est tenue à Turin, en Italie, du 7 au 10 juin 2018. Parmi ceux-ci on retrouve le ministre français de l’Education Jean-Michel Blanquer, le Premier ministre belge Charles Michel, ou encore le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg. L’ancien conseiller américain à la sécurité nationale Henry Kissinger était lui aussi présent, au côté de José Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne passé chez Goldman Sachs et du PDG de Total Patrick Pouyanné.
Au cours de ces quatre jours, 12 sujets ont été abordés. Dans l’ordre de présentation mis en avant sur le site du Bilderberg, les thématiques étaient les suivantes : le populisme en Europe, l’enjeu de l’inégalité, l’avenir du travail, l’intelligence artificielle, les Etats-Unis avant les élections de mi-mandat, le libre-échange, le leadership mondial des Etats-Unis, la Russie, l’informatique quantique, Arabie saoudite et Iran, le monde «post-vérité», les événements d’actualité.
Comme ce fût le cas l’année précédente, la réunion a été présidée par le français Henri de Castries, patron d’Axa et du think tank Institut Montaigne.
Notez les sujets de cette année. Voici la traduction :
- « Le populisme en Europe » : écraser la révolte des peuples européens
- « L’enjeu de l’inégalité » : augmenter les impôts au profit de la finance
- « Les USA avant les élections de mi-mandat » : comment battre Trump
- « Le Libre échange » : empêcher les populistes de briser l’unification planétaire
- « Le leadership mondial des USA » : comment tenir en respect la Chine
- « La Russie » : comment mener une guerre victorieuse contre les Russes malgré le veto de Trump
- « Arabie Saoudite et l’Iran » : comment utiliser l’argent des Saouds contre les Perses antisémites
- « Le monde post-vérité » : comment écraser les médias alternatifs échappant à la propagande juive
Chacun comprend que l’agressivité naturelle des parasites musulmans renforce les populistes électoralement, ce qui menace la démocratie sans laquelle la finance juive internationale ne peut maintenir son contrôle de l’Europe.
Le scénario catastrophe pour la juiverie internationale serait une guerre raciale de libération qui amènerait les nationalistes au pouvoir dans les grands états européens ou, à défaut, paralyserait suffisamment la démocratie juive pour la rendre inopérante.
Tout se tient : de la Syrie à l’Ukraine, de l’Iran à l’Europe, nous faisons face à l’offensive finale de la juiverie internationale pour subjuguer les peuples et imposer la tyrannie juive sur le monde.
C’est le dernier volet d’une guerre commencée il y a plus d’un siècle.
De notre capacité à stopper les juifs en Europe et au Moyen-Orient dépendra la victoire finale contre la juiverie.
Notre axe de combat doit désormais viser, sans relâche, la machine de guerre américaine aux mains des juifs et la finance juive qui contrôle actuellement l’Union Européenne.