Captain Harlock
Démocratie Participative
09 novembre 2020
Ne sois pas complotiste goy, je ne truquerai pas les votes. Cela fonctionne très bien aux USA.
Hier, j’écrivais ça à propos de la reconnaissance par Macron de la fausse élection de Joe Biden aux Etats-Unis :
Ceux qui pensent que cet affrontement est une banale dispute entre politiciens américains se trompent. Nous allons tous être entraînés dans cette guerre civile. Ce qu’ils veulent faire à Trump et à 71 millions d’électeurs qui ont remporté les élections présidentielles de 2020, c’est ce qu’ils comptent également nous faire. Dans tous les pays occidentaux vous trouvez les mêmes lignes de fracture qu’en Amérique. Si le cœur du système occidental sombre dans la guerre civile – et c’est inévitable – nous serons également entraînés dans cette guerre civile. Macron a une autre raison de soutenir le coup d’état en Amérique : obtenir le soutien des putschistes pour mener son propre coup d’état en France en 2022 quand il trafiquera les élections pour rester au pouvoir. Macron va truquer les élections présidentielles 2022, c’est une garantie. S’il y a des élections en 2022, ce qui est de moins en moins certain.
Et aujourd’hui, voilà ce que la radio d’état française nous annonce avec enthousiasme.
L’idée du retour du vote par correspondance en France fait son chemin au sein de la classe politique, et un homme travaille à fabriquer un consensus autour de cette question : Jean-Louis Debré. L’ancien président du conseil constitutionnel est chargé par le Premier ministre de proposer des pistes pour organiser les élections régionales et départementales. Et de dire notamment s’il est possible de maintenir ces deux scrutins au mois de mars, ou s’il faut les décaler en raison de la crise sanitaire.
Dans les entretiens que Jean-Louis Debré a en ce moment avec les chefs de parti et les présidents de groupes parlementaires, cette idée du vote par correspondance revient avec insistance, la semaine dernière encore par la voix de Renaud Muselier, président des Régions de France, qui a porté cette revendication au nom de tous les autres présidents de région.
Du président du Sénat, Gérard Larcher – de droite -, au premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure, à gauche, l’opposition appelle Jean-Louis Debré à faire des propositions dans quinze jours, date à laquelle s’achève sa mission. Comment sécuriser l’envoi des bulletins de vote par La Poste ? Quel échelle pour un vote par correspondance : le national ou une possibilité donnée région par région, selon les situations sanitaires locales ?
Ensuite ce sera au gouvernement de trancher. Le précédent, celui d’Edouard Philippe, avait rejeté l’idée pour le second tour des municipales en juin, arguant notamment d’un délai trop court pour l’organiser de manière sécurisée. Quid de Jean Castex ? Matignon renvoie à la lettre de mission de Jean-Louis Debré, qui ne referme aucune porte.
Au sein de la majorité, les positions divergent sur le calendrier, et non sur le principe. Hier, dans le Journal du Dimanche, Jean-Noël Barrot, secrétaire général du Modem, allié d’Emmanuel Macron, appelle à « ouvrir sans délai » le chantier du vote par correspondance.
En privé, le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, poids lourd de la Macronie, plaide lui pour une réflexion « une fois la séquence des régionales passée ». C’est-à-dire d’ici la présidentielle.
C’est comme à la parade.
Après sa suppression en 1975 en raison des risques de fraude, les médias vont affirmer que c’est la méthode de scrutin la plus fiable jamais utilisée.
Encore une fois : c’est une révolution à l’échelle du monde occidental orchestrée par les élites globalistes. L’hyperclasse sait que le système est en train de s’effondrer et il ne peut plus être question de connaître des incidents comme le Brexit ou l’élection de Trump.
Il n’y aura plus d’élections libres. C’est terminé. Nous allons nous retrouver dans un système néo-communiste aux mains d’une nomenklatura défendue par un appareil policier omnipotent.
C’est donc le juif Jean-Louis Debré qui est miraculeusement chargé de mettre au point le système qui permettra de truquer les élections présidentielles en 2022. Si elles ont lieu, ce qui est tout sauf acquis.
Ces juifs n’essaient même plus de se cacher.
Ce n’est pas un hasard, son père, Bernard Debré, est celui qui a rédigé la constitution de la Cinquième République pour en faire une arme au service de l’éradication de la race blanche voulue par les juifs.
L’idée est simple : comme aux USA, terroriser les masses avec le risque de contracter le Covid19 ou même un autre virus en se rendant aux urnes. Vous recevrez chez vous un bulletin que vous devrez renvoyer. Ils seront trafiqués comme ils ont été trafiqués aux Etats-Unis.
Comme je l’ai dit, si le Covid19 ne suffit pas, les conspirateurs utiliseront une autre arme biologique sous la forme d’un virus bien plus létal que celui-ci. Ces gens sont prêts à aller jusqu’au bout et cela suppose d’éradiquer potentiellement des centaines de millions de gens.