Le juif BHL : « L’Ukraine et Israël, c’est le même combat »

La rédaction
Démocratie Participative
18 mars 2024

 

C’est ce que nous nous tuons à expliquer.

Peut-être que dans la bouche des juifs, ce sera plus compréhensible ?

C’est pourtant évident.

Les gens se demandent pourquoi il y a un « double langage » des démocraties à propos de l’Ukraine et de la Palestine. Il n’y a pas de double langage, bien au contraire. Leur position est remarquablement cohérente, pour peu qu’on comprenne que ce ne sont pas des principes moraux qui guident leur attitude, mais la défense des intérêts juifs. Une fois qu’on l’admet, tout s’éclaire.

À droite, il y a des individus qui s’étranglent à propos des frontières de cet état factice qu’est l’Ukraine, des frontières dont ils n’avaient aucune idée de l’existence jusqu’à ce que la CIA ordonne aux médias occidentaux d’en faire un sujet. Depuis que c’est apparu sur leurs écrans, ils sont convaincus de la nécessité d’une guerre totale contre la Russie pour protéger les « frontières » de cette création administrative soviétique.

Je mets d’abord sur le compte de l’ennui. Il faut vraiment se faire chier dans sa vie pour vouloir faire tuer ses compatriotes à propos d’une embrouille de cadastre entre Slaves.

Ensuite, les juifs se foutent des frontières. Les détruire est leur raison d’être.

Vous avez l’impression que ces juifs qui s’étouffent de rage à la télévision en nous sommant d’entrer dans cette guerre pour défendre les frontières ukrainiennes ont la même passion pour l’intégrité des frontières européennes qu’ils passent leur vie à démanteler ?

Quant aux frontières de la Palestine, les juifs ont largement fait savoir ce qu’ils en pensaient.

L’Ukraine et Israël appartiennent à la même équation juive.

Ces juifs nous ont déjà menés dans une situation extrêmement dangereuse.

L’Iran est pour ainsi dire une puissance nucléaire, la Russie l’est déjà. Ces deux états disposent des ressources, des technologies et de la profondeur stratégique pour combattre indéfiniment. Elles sont soutenues par la production chinoise.

Le front s’étend de la Laponie à la Mer Rouge. Depuis la semaine dernière, elle s’étend même à l’Océan Indien.

Mer et Marine :

Le chef des rebelles Houthis, Abdul-Malik al-Houthi, a annoncé la semaine dernière que son groupe allait continuer à renforcer son arsenal militaire et veut désormais largement étendre sa zone d’attaque jusqu’à l’océan Indien. Jusqu’ici, le modus operandi des Houthis était surtout basé sur l’utilisation de missiles balistiques et drones lancés vers les navires en mer Rouge depuis les zones qu’ils contrôlent au Yémen. Quelques opérations par drone sous-marins, commandos héliportés ou utilisant des embarcations rapides ont également été observées. Sont également intervenues depuis février des attaques de navires dans le golfe d’Aden, soit nettement plus au sud que la zone habituelle de la mer Rouge. Ces dernières restaient, semble-t-il, menées depuis des bases terrestres.

Les Houthis ambitionneraient donc, désormais, de conduire des attaques beaucoup plus loin en mer, visant les navires israéliens, américains et britanniques qui prendraient la route du cap de Bonne-Espérance depuis les ports orientaux. Le leader houthi a annoncé que son groupe voulait stopper ces navires en intervenant dans l’ensemble de l’océan Indien et à proximité de l’Afrique du Sud. Evidemment, aucune précision n’a été donnée sur les moyens qui pourraient être mis en oeuvre pour mener ces attaques. Les ressources des Houthis, soutenus et sans doute renseignés par l’Iran, semblent importantes en termes de munitions et de drones. Et les bombardements à terre menés par les Américains et les Britanniques ne semblent pas freiner leurs capacités. Néanmoins, des attaques aussi loin des côtes supposent soit des armements à très longue portée, nécessitant un guidage contre des cibles mobiles, ou des moyens nautiques capables de mettre en oeuvre des drones.

Les attaques des Houthis, qui ont visé jusqu’ici une quarantaine de navires et ont provoqué la mort de trois marins, semblent en tous cas s’intensifier, obligeant les forces militaires en présence (les navires de l’opération européenne Aspides et américaine Prosperity Guardian) à abattre des dizaines de drones et missiles certains jours.

Ni la Russie, ni l’Iran n’ont d’hostilité naturelle envers l’Europe. Ce sont les juifs de Washington et leurs relais sur notre continent qui s’acharnent à les provoquer pour nous pousser dans une confrontation.

On ne peut pas parvenir à une solution pacifique tant que ces juifs seront libres d’agir dans les démocraties. Aujourd’hui, le combat contre les juifs est la plus sûre façon de défendre la paix entre les peuples. Heureusement, les juifs se sont tellement enfoncés dans cette nouvelle guerre mondiale que le verdict final, pour eux, sera définitif.

Je l’ai toujours dit et répété : plus les juifs pousseront à la guerre, plus la haine antijuive se répandra dans le monde. La vague de résistance au juif qui se forme actuellement sera la plus puissante de l’histoire.

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