Captain Harlock
Démocratie Participative
31 janvier 2019
Nouvel exemple de nomadisme terroriste, cette fois-ci en Catalogne. Le juif fauteur de guerre Bernard-Henri Lévy a débarqué à Barcelone pour aider à remettre en scelle le mercenaire d’Israël Manuel Valls.
Le 11 janvier dernier, Bernard-Henry Lévy publiait un message d’une rare virulence pour insulter le président de la Catalogne sur son compte Twitter. Dans un message de 140 caractères, il amalgamait Quim Torra au criminel de guerre, le génocidaire Slobodan Milošević. La publication de Bernard-Henry Lévy a surpris, le philosophe n’ayant aucun lien direct le rapprochant de la Catalogne.
Ces gauchistes catalans ne sont visiblement pas encore habitués à côtoyer la juiverie. C’en est presque touchant.
Seuls ceux qui ne connaissent pas la soif de domination illimitée des juifs peuvent s’étonner de voir cette race franchir fleuves et montagnes pour partir à la conquête d’une nouvelle province à vampiriser; puis se comporter, en moins de 24 heures, comme s’ils y avaient vécu depuis 10 siècles, insultant avec arrogance le petit paysan du crû dont les ancêtres ont façonné par leur travail le pays qui excite l’appétit des juifs.
L’impudence des juifs est ce qui leur tient lieu de moralité.
Trois semaines plus tard, le mystère s’éclaircit. Le tweet agressif de BHL s’inscrit dans une campagne de communication visant à soutenir le candidat à la mairie de Barcelone, Manuel Valls. Ce mardi, Bernard-Henry Lévy débarque à Barcelone pour une conférence de presse organisée par Societat Civil Catalana. Cette association anti-indépendance de la Catalogne, qui flirte avec l’extrême droite, est présidée par Ramon Bosch soutient de la première heure de Manuel Valls à Barcelone.
Devant quelques journalistes, le philosophe reconnaît ce midi qu’il a fait le voyage jusqu’à Barcelone pour “exprimer sa tristesse de voir le vivre-ensemble abîmé à Barcelone, non seulement dans la ville, mais aussi dans les familles et au sein des groupes d’amis”. Un fait qui a rendu sa venue à Barcelone “totalement indispensable” selon lui.
Le juif, depuis des millénaires, se proclame indispensable aux goyim. Lévy débarque donc à Barcelone, jugeant que la populace locale a besoin de recevoir les mises en garde de Jéhovah.
Et quand ces goyim se récusent , les juifs se lancent dans de furieuses campagnes de dénonciation des impudents qui ne savent pas apprécier l’apport de la rapine juive à leur misère.
Flanqué de Ramon Bosch et du président de la région fictive de Tabarnia (sic), Bernard-Henri Lévy a commenté son propre tweet pour expliquer qu’il a “entendu Quim Torra défendre la voie slovène pour résoudre le conflit en Catalogne. Cette solution implique des dizaines de morts, elle ne me semble pas démocratique. Le nationalisme, le racisme et le populisme sont de la même famille”.
A l’exception du racisme juif qui, mystérieusement, peut s’exprimer universellement tout en se parant des vertus du libéralisme.
Une guerre juste est une guerre juive.
Le philosophe se réfère à une polémique où le président de la Catalogne avait expliqué avant de modérer ses propos “que la voie Slovène était la seule possible et qu’il n’était plus possible de faire marche arrière. La Slovénie s’était émancipée de la Yougoslavie au terme d’un conflit ayant coûté la vie à plus de 70 personnes.”
BHL a remercié “son ami Manuel Valls” de l’accompagner pour venir à la rencontre des journalistes locaux. Le philosophe reviendra dans la capitale catalane en mars prochain pour jouer son spectacle Looking for Europe.
Cette clique d’hébreux sent clairement que le sol commence à devenir des plus instables.
Elle mobilise donc son personnel, partout où c’est possible en Europe.
#Barcelona: capital de la convivencia o del populismo, éste es el reto, ha recordado Bernard-Henri Lévy @BHL en la presentación de su obra ‘Looking for Europe’ en la sede de @Societatcc. Una monólogo que también se estrenará en #Madrid, #Valencia y en otras capitales europeas. pic.twitter.com/Lua4GNVn5b
— Manuel Valls (@manuelvalls) 29 janvier 2019
Le représentant de la tribu d’Israël.
Et le laquais concerné.
Il ne s’agit pas tant de combinaisons politiciennes que d’un programme global, suivi avec patience depuis des millénaires par l’ennemi des nations, celui qui a juré de les écraser sous son talon en les détruisant racialement, économiquement et spirituellement.
Ce juif Lévy identifie en un tout solide populisme, nationalisme et racisme, c’est-à-dire les armes politiques qu’il sait être efficaces puisque ce sont celles des juifs contre les peuples.