Le journal partisan de la suprématie juive « Valeurs Actuelles » violemment pris à partie par les juifs après un visuel représentant Danièle Obono enchaînée

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 août 2020

 

Le magazine Valeurs Actuelles est l’objet d’une violente polémique après la publication d’un visuel représentant enchaînée Danièle Obono, la députée d’origine gabonaise de la France Insoumise.

Les juifs sont furieux.

Valeurs Actuelles a répondu qu’il s’agissait de mettre en scène l’esclavage des noirs par les différentes tribus africaines qui les revendaient ensuite sur les côtes aux étrangers. L’idée étant apparemment de dire à Obono : « Qu’est-ce que ça vous aurait fait d’être réduite en esclavage par des noirs ? ». Ou quelque chose de cet ordre.

Curieusement, Valeurs Actuelles n’évoque pas l’origine de ces commerçants étrangers qui achetaient aux esclavagistes africains leurs prisonniers. Pourtant la chose est bien documentée. Ces commerçants étaient souvent des juifs, à l’instar de la famille Mendès « France » établie dans le port négrier de Bordeaux, une des rares enclaves juives légales du Royaume de France. Aujourd’hui, la famille Mendès s’est reconvertie dans l’antiracisme – c’est-à-dire la traite des Blancs – compte tenu de sa rentabilité.

En fait, depuis l’antiquité, les juifs se sont spécialisés dans la traite esclavagiste. Plus spécialement dans la traite des Européens. Au 17ème siècle, les juifs d’Alger commandaient régulièrement aux pirates barbaresques maghrébins des esclaves blancs que ces derniers allaient ensuite capturer sur les côtes d’Europe, y compris les côtes françaises. Dans son ouvrage Piracy and the English Government 1616-1642, David Hebb détaille comment les pirates maghrébins opèrent jusqu’en Islande où ils capturent des femmes nordiques pour le compte des juifs d’Algérie. De nombreuses femmes blanches sont ainsi tombées aux mains des marchands juifs d’Afrique du Nord qui les vendaient à de riches potentats musulmans avides d’esclaves sexuelles ayrennes.

Le livre Contes et légendes en pays d’Azur d’Edmond Rossi nous en donne un bref aperçu :

Le 17 juillet 1623, le prieur de Saint Laurent Gaspard Bertrand nous apprend qu’au matin des pirates turcs venus d’Alger, conduits par deux renégats provençaux, débarquèrent de neuf galères à l’embouchure du Var. Les « barbaresques » ravagèrent la campagne niçoise y brûlant la forêt et 40 maisons. Des habitants de Saint-Laurent en route pour Nice fuirent le massacre et les violences en se réfugiant dans la tour des « Serres » destinée à cet effet sur la rive gauche du Var. Là, ils résistèrent un temps aux assauts des pirates, une partie des familles qui y avaient trouvé refuge périrent dans les flammes ou furent faits prisonniers. Ainsi une jeune fille, Viviane Bartholomeire tenta d’échapper aux flammes en sautant d’une fenêtre, bien qu’assommée elle fut capturée et transportée dans une des galères avec ses compagnons d’infortune vers un cruel destin…

En 1634, on estime à 30 000 par an le nombre de captifs blancs ramenés au Maghreb pour être vendus comme esclaves. Si les hommes constituent une main d’œuvre utile les femmes sont elles, destinées aux harems. Les razzias conduites pour alimenter ce sinistre commerce se poursuivront jusqu’à la conquête de l’Algérie en 1830.

Dans son « Candide » Voltaire inspiré par un récit de Régnar, un confrère en littérature ancien prisonnier des Barbaresques, rapporte les mœurs abjectes des pirates pourvoyeurs d’esclaves blancs. « Nous nous embarquâmes sur une galère du pays, dorée comme l’autel de Saint-Pierre de Rome. Voilà qu’un corsaire de Salé fond sur nous et nous aborde. Nos soldats se défendirent comme des soldats du Pape: ils se mirent tous à genoux en jetant leurs armes et en demandant au corsaire une absolution in articula mortis. « Aussitôt on les dépouilla nus comme des singes, et ma mère aussi, nos filles d’honneur aussi et moi aussi. C’est une chose admirable que la diligence avec laquelle ces messieurs déshabillent tout le monde. Mais ce qui me surprit davantage, c’est qu’ils nous mirent à tous le doigt dans un endroit où nous autres, femmes, nous ne laissons mettre d’ordinaire que des canules. Cette cérémonie me paraissait bien étrange; voilà comment on juge de tout quand on n’est pas sorti de son pays. J’appris bientôt que c’était pour voir si nous n’avions pas caché là quelques diamants. C’est un usage établi de temps immémorial parmi les nations policées qui courent sur mer. J’ai su que Messieurs les Religieux Chevaliers de Malte n’y manquent jamais quand ils prennent des Turcs et des Turques. « Je ne vous dirai point combien il est dur pour une jeune princesse d’être menée esclave au Maroc avec sa mère. Vous concevez assez tout ce que nous eûmes à souffrir dans le vaisseau corsaire. Ma mère était encore très belle; nos filles d’honneur, nos simples femmes de chambre avaient plus de charme qu’on n’en peut trouver dans toute l’Afrique. Pour moi, j’étais ravissante, j’étais la beauté, la grâce même, et j’étais pucelle. Je ne le fus pas longtemps. »

Des millions de Blancs ont ainsi été enlevés, torturés et impitoyablement réduits en esclavage par les juifs. Les juifs, comme à l’accoutumée, s’établissaient des deux côtés du commerce. Ainsi, la juiverie établie à Livourne, en Italie, avait-elle partie liée avec la juiverie d’Alger pour ramener en Europe les captifs blancs, moyennant rançon (Hebb). Un esclave blanc pouvait donc rapporter deux fois : une première fois lors de sa vente aux mahométans, une seconde fois lors de sa revente à ses proches en Europe.

C’est l’expédition française de 1830 commandée par l’héroïque général Louis de Bourmont, chef chouan et vétéran des guerres de l’Empire, qui mit un terme aux activités criminelles des juifs d’Algérie. Cette opération fut un progrès énorme pour les droits humains en Méditerranée.

Bernard Lugan vient de publier un ouvrage sur la question de l’esclavage et souligne l’absence pratiquement systématique de la traite de millions d’Européens.

En 2020, la situation française est assez simple à synthétiser : la France est colonisée par l’Algérie et l’Afrique Noire qu’elle a libéré de l’esclavage tandis que les descendants des esclavagistes juifs excitent les allogènes contre les Français de souche pour en retirer de larges bénéfices politiques et financiers.

Bref, les juifs ont simplement déplacé leur commerce d’esclaves européens d’Alger vers Paris.

Ainsi en est-il dans la France juive libérée par les nègres musulmans de la civilisation blanche.

Les positions obsessionnellement pro-juives de Valeurs Actuelles démontrent l’absurdité du philosémitisme de la droite réactionnaire.

Et encore beaucoup d’autres articles sur le seul sujet qui compte réellement pour cette publication. Mais laissons ces gens se faire dévorer.

Ce qui compte, c’est de demander des comptes aux juifs pour l’infâme traite des Blancs qu’ils ont supervisé en Méditerranée. Ces juifs doivent rendre des comptes.

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