Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 mars 2017
Nous sommes en guerre et cette guerre passe, principalement, par internet. Si rien n’a changé fondamentalement, le medium lui a totalement rebattu les cartes. Vous avez probablement du mal à vous en souvenir mais, il y a encore sept ou huit ans, Facebook ou Twitter n’avaient pratiquement aucun poids. YouTube en avait déjà un, mais avec la croissance exponentielle de l’usage des smartphones, la masse et la qualité du matériel vidéo à explosé. Pour ne rien dire de l’arrivée de la fibre optique.
Grâce à ces plateformes, nous avons pu exposer des scènes de la vie quotidienne qui seraient restées inconnues du grand public il y a cinq ans seulement. En somme, bien que la plupart des gens ne s’en rendent pas compte, nous vivons une révolution technologique qui a déclenché une révolution politique. Tout comme l’imprimerie à la fin du Moyen-Âge.
Les structures pyramidales et centralisées – gouvernementales ou médiatiques – sont totalement discréditées et remplacées par des alternatives périphériques.
En France, la presse réellement libre a disparu après 1945 avec la liquidation de tout ce qui n’était pas aligné sur l’intelligentsia progressiste ou communiste victorieuse.
Seulement, à ce stade, ceux qui tiennent les rennes en France – et dans les ploutocraties occidentales plus généralement – estiment que cette révolution technologique a un coût politique trop élevé. Et le fait savoir ouvertement.
Twitter, Facebook, Youtube sont incapables de modérer efficacement leurs plateformes. Le problème devient politique. https://t.co/9zhXiirUDF
— Michaël Szadkowski (@szadkowski_m) 23 mars 2017
Cet ashkénaze n’est autre que le rédacteur en chef du journal « Le Monde » du vieil homo millionnaire Pierre Bergé et du banquier juif socialiste Matthieu Pigasse
Szadkowski parle sans détour : la liberté d’expression est désormais un « problème politique ».
Le contenu de l’article vaut la peine d’être parcouru :
Analyse. La modération effectuée par les géants du Net est dans le viseur des pouvoirs publics, explique notre journaliste Damien Leloup, chef du service Pixels. Mais jusqu’où doivent-ils censurer les débordements ?
Il s’agit de l’introduction. Notez tout le vice de l’ennemi : pour mieux faire avaler la suppression de nos quelques libertés qu’il exige en premier lieu, il feint d’être du côté du peuple en exigeant des « limites » dans un second temps. Tout l’article est articulé autour de cette approche en deux phases.
« Are you guys real ? » (« Les gars, vous êtes sérieux ? ») Mercredi 15 mars, lors de l’audition de représentants des trois principaux réseaux sociaux (Twitter, Facebook, YouTube) par une commission parlementaire britannique, l’ambiance était pour le moins surréaliste.
Chemises et costumes sombres, l’air penaud, les responsables de ces plates-formes internationales en ont pris pour leur grade, l’un des députés commençant même par leur demander : « Vous n’avez pas honte ? » Sujet de l’audition : la modération – ou plutôt l’absence de modération – des vidéos, commentaires, tweets, réactions et autres contenus publiés sur ces grands réseaux.
Inlassablement, pendant trois heures, les députés ont multiplié les questions et les exemples de messages haineux laissés en ligne – apologie du terrorisme, incitation à la haine raciale, harcèlement –, malgré de multiples signalements.
Tentant avec la plus grande peine de brandir leurs « règlements de la communauté » et autres « problèmes d’échelle », Facebook, Twitter et YouTube ne sont pas sortis indemnes de cette séance, durant laquelle les plus remontés des élus britanniques les ont traités de « prostitués » qui « gagnent leur salaire grâce aux colporteurs de haine ».
Le journaliste auteur de l’article, Damien Leloup, commence d’emblée avec un exemple étranger. Britannique. L’idée est simple : si ça se passe ailleurs, ça doit se passer en France. Mettez-vous dans la tête que ce canard est lu par toute la caste dominante hexagonale. C’est littéralement la voix de tous les rats qui nous dirigent dans l’ombre des ministères, préfectures, tribunaux.
Et la mise en scène est sans équivoque : le plumitif du « Monde » s’imagine derrière les politicards anglais exigeant un durcissement de la censure contre « les colporteurs de haine ». C’est-à-dire les entreprises privées qui ne s’alignent pas encore sur les oukases idéologiques du gouvernement. Tout en les couvrant d’injures.
Voilà un « journaliste » en 2017.
J’avais déjà repéré ce Damien Leloup pour d’autres articles du même style, tous construits autour de l’idée simple que la populace doit la boucler et laisser les communistes mener le bal. Ne vous y trompez pas : l’agenda est déjà décidé au niveau européen.
Lisez la suite :
Le constat est sévère, mais, pour un utilisateur lambda des réseaux sociaux, la scène avait quelque chose de réjouissant. Le signalement d’un message haineux ou injurieux en ligne est en effet un parcours au mieux hasardeux : après avoir reçu un message automatique affirmant que votre signalement a bien été pris en compte, il est rare de le voir suivi d’effet et encore plus d’être informé de la suite d’une demande. C’est l’une des principales conclusions d’une étude commandée par le ministère allemand de la justice, rendue publique le 14 mars.
Ouai, l’utilisateur lambda adore quand son compte Facebook saute. Ou quand son commentaire est sucré. Absolument.
Il faut surtout comprendre que cet avorton communiste de Leloup jubilait à l’idée d’avoir sa revanche.
Regardez la gueule de « l’utilisateur lambda » Damien Leloup, le terroriste qui officie pour le compte du journal bancaire susmentionné :
C’est donc « ça » qui serait en position de nous priver de liberté. Nous affrontons la coalition de tous les ratés de notre temps. Ce type a le même profil anthropologique que les pouilleux en chandails péruviens qu’on retrouve chez les zadistes.
Et maintenant, le moment clef :
Est-il possible de tamiser les millions de messages publiés, chaque jour, en Europe pour en extraire les messages illégaux ? Heiko Maas [ministre de la « justice » allemand, NDLR] le pense, notamment parce que les tests de ses services ont montré qu’à six mois d’écart la prise en compte des signalements d’utilisateurs est passée de 10 % à 90 % pour la version allemande de YouTube. Preuve, juge Berlin, que les réseaux sociaux ne font simplement pas assez d’efforts.
On peut partager ce constat, sans se réjouir plus que de raison des prises de position des élus européens qui semblent n’avoir découvert que récemment ce problème, endémique depuis dix ans sur les réseaux sociaux.
D’abord parce que toute censure peut mener à des surcensures. Au moment où le débat politique connaît une polarisation rare en Europe, on peut s’interroger sur l’opportunité de dire aux principales plates-formes du Web qu’il vaut mieux pécher par excès de censure.
« Sur-censure ». Il faut toujours être attentif à chaque mot utilisé par ces terroristes. Ils maîtrisent parfaitement la psychologie humaine et savent que pour faire avaler 1 gramme de cyanure à l’ennemi, il faut commencer par lui dire qu’il devra en avaler 2. Puis négocier. En parlant, le plus naturellement du monde, d’un pseudo problème de « surcensure », le lecteur admet inconsciemment la légitimité de la censure.
Et devinez quoi : le mot « surcensure » n’existe tout simplement pas. Ni dans le dictionnaire, ni ailleurs. Vérifiez.
Les gens exposés à cette propagande subversive n’auront même pas réalisé qu’ils ont été empoisonnés idéologiquement.
En conclusion, Leloup ajoute une anecdote :
Lors de l’audition au Parlement britannique, l’un des députés les plus véhéments contre l’inaction des réseaux sociaux a été Naseem Naz Shah, élue de Bradford, qui a longuement fustigé le « manque d’éthique » des réseaux sociaux et les « lois parallèles » que constituent leurs règlements intérieurs. En matière de contenus haineux, la députée jouit d’une certaine expertise : elle a été temporairement exclue du Parti travailliste, en 2016, pour des messages antisémites publiés… sur Facebook.
Quelle surprise : une bougnoule ! Et ce que déplore ce cancrelat gauchiste de Leloup, c’est qu’elle soit antijuive. Autre surprise.
Cette anecdote révèle une chose qui ne vous échappe pas : la censure des plateformes précitées visent à protéger les nègres, les crouilles, les musulmans et bien sûr les juifs. Pour ne rien dire des pédales et autres dégénérés sexuels.
Cette destruction de la liberté d’expression est parfaitement logique : seuls les Blancs sont intéressés par une telle liberté, c’est une réalisation juridique blanche. Plus les sociétés occidentales deviennent des capharnaüm multiethniques où règne l’anarchie, plus il faut terroriser les Blancs afin de maintenir un semblant de cohésion.
Et pour revenir à la phrase du début du juif Szadkowski : « la liberté d’expression est un problème politique ».
Le problème de Youtube, Facebook ou Twitter, c’est que ces plateformes sont de formats « bâtards ». L’internet 2.0 dépend encore de vastes entreprises centralisées que les gouvernements communistes occidentaux peuvent faire chanter, comme en Allemagne et bientôt en France.
Ces plateformes seront régentées par la terreur antiblanche des lois de censure.
La seule option, c’est le « web 3.0 » ou « 2.1 ». Le fonctionnement en peer-to-peer.
C’est ce qui a poussé à la création de ce site internet : la vérole antiblanche tentait avec acharnement de nous censurer.
Ils peuvent essayer : cela ne marchera pas. La révolution a commencé. La guerre a commencé.