Le journal juif « Libération » s’amuse de la disparition d’Akira Toriyama

La rédaction
Démocratie Participative
09 mars 2024

 

Ces juifs.

Pour les moins informés, Libération est un journal zombie qui ne tient que par les subsides de l’État macroniste et les fonds de son propriétaire, le milliardaire israélien Patrick Drahi, bienfaiteur de Tsahal.

Son rédacteur est le juif Dov Alfon, issu du renseignement militaire israélien.

Dov Alfon, littéralement le Happy Merchant

Autrement dit, « Libération » est une opération de guerre psychologique pilotée depuis Tel Aviv contre les Français.

Ce besoin des juifs de venir uriner sur les gens après l’annonce de la mort d’Akira Toriyama était prévisible. Le juif est non seulement un parasite, mais c’est également une créature à l’âme laide et noire. Sa raison d’être est de projeter sur le monde la misère cauchemardesque intérieure dans laquelle il évolue depuis toujours.

C’est un être de malheur, au sens littéral.

L’idée de laisser les non-juifs en paix intérieure, même une seule minute, est quelque chose d’insupportable pour les juifs. Être à l’écart du bonheur des autres par décret de la nature, incapables de partager ce que ressentent sincèrement les gens, leur est intolérable.

Akira Toriyama a rendu les gens heureux durant leur enfance. L’émotion des gens face à sa disparition pousse le juif à intervenir pour souiller ce moment.

Cette race ne peut pas laisser le monde en paix. Il faut venir à la seule conclusion que cela appelle : la paix n’existera pas tant que le juif pourra interférer dans la vie intérieure des nations, à quelque niveau que ce soit.

Méthodiquement, un juif après l’autre, pays par pays, nous allons les extirper de nos sociétés et ruiner leur pouvoir une bonne fois pour toute. Chacun doit se pénétrer du caractère inéluctable de la défaite finale de la race juive.

Nous allons emmurer les juifs avec leur âme macabre pour seule compagne et ce, jusqu’à la consommation des siècles. Ils supplieront Jehovah d’avoir jamais existé.

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