Le journal homosexuel Numerama crise parce que le nouveau jeu médiéval en ligne Mordhau n’est pas rempli de nègres et de gouines antifas

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2019

 

Ce torchon fémino-gauchiste qu’est Numerama remet le couvert dans sa lutte contre les jeux conçus par et pour des jeunes Blancs.

Ce journal de merde SJW avait déjà fait le coup avec le jeu tchèque Kingdom Come.

Mais avant de poursuivre, regardez leur logo du moment sur Twitter. Et surtout regardez la gueule de fiotte collante qui sert de rédacteur en chef à ce torche-cul, Julien Cadot.

Est-ce seulement possible de faire de la barbe un attribut aussi outrageusement pédé ? C’est juste écoeurant.

Je suis sûr que cette sale FIOTTE de Julien Cadot a une barbe pour pouvoir garder en permanence le foutre séché que lui giclent à la gueule les bicots qui l’enculent en boîte de nuit.

Hein, sale pédé, c’est pour ça, avoue !

Matez ces yeux de suceuse sur ce corps de têtard, c’est juste atroce

Sale pédé, va.

Je rappelle aussi que Numerama a été créé par cette tanche de Guillaume Champeau, zélé serviteur des juifs qui multiplie les propositions pour traquer les gens sur internet pour le compte de la Licra avec son moteur de recherche gouvernemental foireux, « Qwant ».

Il y a une anthropologie qui s’exprime ici

Et qui, accessoirement, essaie de transformer son petit garçon en petite fille.

Maintenant que j’ai posé le cadre homo-pathologique qui détermine la haine de Numerama pour les mâles blancs hétérosexuels sans lesquels cette terre aurait toujours le PIB global du Bangladesh, venons-en à l’affaire en elle-même.

Numerama :

Le jeu multijoueur Mordhau s’est vendu à plus d’un million de copies. Mais le racisme et le sexisme semblent y grandir en même temps que son succès. Une situation inquiétante dont ses créateurs ne semblent pas prendre la mesure.

En résumé : le KGB homosexuel est en colère parce que leur goût du sexe anal avec des sodomites noirs n’est pas pris en compte.

Les pédés de Numerama ont décidément un problème avec le concept même de jeu médiéval.

On se demande pourquoi.

Peut-être parce qu’au 13ème siècle la rédaction de Numerama aurait fini sur un bûcher pour pratiques sodomites et judaïsme secret.

« Nous, les Blancs, ne pouvons plus rien avoir pour nous seuls, n’est-ce pas ? », peut-on lire sur les forums de Mordhau. Une enquête de PC Gamer du 1er juillet 2019 a récemment mis au jour le racisme massif et l’ambiance homophobe et sexiste dans toutes les sphères de ce jeu médiéval multijoueur, qui auraient poussé certains joueurs et joueuses à le déserter.

Un instant.

Je croyais que le principe cardinal de la diversité était que tout le monde pouvait disposer d’une offre conforme à ses attentes en fonction de son groupe d’appartenance.

Principe qui permet aux pédales de faire semblant de se marier ou de déambuler déguisés en chien dans la rue.

Ou bien, pour les adeptes du Califat, d’avoir le droit de manger différemment des kouffars.

Curieusement, quand les mâles blancs hétérosexuels veulent exercer leurs droits entre eux, les fiottes et les lesbiennes ressentent un besoin irrépressible de venir squatter pour essayer de remettre leur pathologie sexuelle au centre du périmètre.

Toxicité homo-sidaïque

Ce discours hypocrite sur la « diversité » vise en fait à envahir de leurs insanités le moindre espace vital en possession des mâles blancs. C’est simple : qu’il s’agisse des malades pédo-LGBT ou des machins marron du tiers-monde, toutes ces créatures ne peuvent pas se passer des hommes blancs.

Ils nous collent partout et tout le temps. Quand ils n’envahissent pas nos forums ou nos écrans en crisant, ils envahissent littéralement nos pays pour nous dire à quel point nos pays sont merdiques.

Ils veulent parasiter tout ce que nous ne faisons, nous suivre partout où nous allons, contrôler nos moindres faits et gestes.

D’où cette ingénierie sociale et raciale de plus en plus soviétique que les pédés et les juifs essaient de nous imposer à toute force.

C’est ce qui transpire de leur haine jalouse et maladive : sans nous, ils ne sont rien. Ils se construisent en miroir de ce que nous sommes, nous les hommes blancs hétérosexuels.

C’est-à-dire la normalité fonctionnelle et créatrice.

Ils ne peuvent rien être sans notre présence. Sans nous, ils n’ont pas d’identité. Ils ne s’affirment que contre quelque chose tandis que nous nous affirmons toujours pour quelque chose.

Ces malades mentaux que sont les homosexuels et les juifs ne peuvent pas dormir la nuit en sachant que quelque part des mâles blancs normaux se retrouvent entre eux, hors de leur toxicité.

Mais notre présence à laquelle ces parasites sont addicts alimente sans cesse leur frustration qui se convertit en haine car plus ils sont à notre contact, plus ils sentent qu’ils sont défaillants et paumés.

Si bien que cette équation ne peut être résolue que d’une seule façon pour nous : l’exclusion de ces parasites qui n’auront de cesse de chercher à ruiner nos vies pour essayer de sentir mieux dans leurs têtes malades.

Ces gens prétendent que des minorités dégénérées et agressives peuvent légitimement gouverner le monde blanc tandis que ce monde blanc doit plier le genou face à eux. Mais ça ne marche que tant que nous restons dans le coma.

Mais en attendant, ces paranoïaques comptent s’insinuer partout pour nous harceler.

Surtout dans un monde où se retrouvent de plus en plus les jeunes Blancs pour forger une nouvelle communauté d’esprit : l’univers virtuel, notamment des jeux vidéos.

Ce phénomène semble d’autant plus incontrôlable que le succès de Mordhau n’était lui-même pas vraiment prévu. A l’origine, ce n’était qu’un projet amateur, soutenu par Kickstarter, à l’initiative de fans de Chivalry : Medieval Warfare et qui voulaient améliorer ce jeu. Dans l’équipe, certains concepteurs n’avaient pas plus de 17 ans. Mais le jeu s’écoule finalement sur PC à 500 000 exemplaires dès la première semaine en avril 2019, jusqu’à dépasser ensuite le million.

Un aperçu du jeu.

Si vous voulez aller voir leur site, c’est ici.

Ce n’est jamais que du béhourd virtuel.

Le béhourd commence d’ailleurs à attirer l’attention médiatique.

Et si jamais il y a des lecteurs qui pratiquent le béhourd ou connaissent des gens qui le pratiquent, je peux leur garantir que le traitement que connaissent les programmeurs de Mordhau les attend d’ici peu.

En gros : il leur faudra saupoudrer des nègres, des croissants islamiques et des armures aux couleurs LGBT sinon ce sera le tribunal de Nuremberg.

Ceci dit, on sait au moins une chose : ces pédales que sont les antifas n’iront jamais dire un mot de travers aux types qui font du béhourd de peur de se faire casser les dents à coups de masse d’arme.

L’idée est pourtant assez simple : un hack and slash basé sur des combats multijoueurs en ligne, à la première ou à la troisième personne, dans un contexte médiéval. Les modes de jeu vont du battle royale à l’affrontement entre deux équipes de 32 joueurs en passant par des deathmatchs. Les chevaliers sont personnalisables de la tête au pied : armures, casques, vêtements… Et c’est justement là que le problème a commencé.

Les développeurs sont ici tout autant mis en cause que la communauté. Depuis les débuts du jeu, il est ainsi impossible de créer un personnage qui ne soit pas un homme blanc ; il s’agit d’un choix assumé. Puis le studio a annoncé récemment penser à une nouvelle fonction pour enfin pouvoir créer des femmes et choisir l’origine ethnique. Mais avec une condition bien spécifique : les joueurs pourront bloquer cette fonction.

« Quelle que soit notre position officielle, des groupes vont toujours être en colère contre nous. Donc, idéalement, nous mettons le pouvoir entre les mains des joueurs, en leur donnant l’option d’activer et de désactiver différentes choses », justifie Andrew Geach, développeur du jeu, à PC Gamer.

Avec plus de 2 600 messages à l’heure actuelle, le topic le plus populaire du forum officiel est intitulé « Post your kniggas », un détournement d’une expression raciste. Comme ils l’ont confirmé à PC Gamer, les développeurs sont non seulement au courant de ce titre, mais refusent d’agir. Geach a ainsi affirmé que, dans le contexte, l’équipe du jeu ne percevait « rien de raciste ou d’offensant » dans le titre du topic ni dans son contenu (qui contient pourtant des insultes ouvertement homophobes, comme « faggot »).

Sur un autre thread Steam, l’arrivée prochaine de femmes guerrières dans le jeu a donné lieu à un débat de plusieurs pages entre internautes, générant notamment de nombreux commentaires sexistes, sous le traditionnel prétexte d’un « manque de réalisme » historique.

Putain, cet autisme de pédé en pleine rage.

C’est vrai que le réalisme historique dans un jeu historique, c’est un prétexte qui ne tient pas la route.

Par contre des lesbiennes fortes et indépendantes qui manient la hallebarde pour écraser des chevaliers au Moyen-Âge, ça tient la route. Les programmeurs auraient même dû commencer par proposer comme personnages principaux des grosses vaches à piercing aux cheveux bleus et des rappeurs nègres, histoire de tenir la route.

Bref, j’en reviens à ce que je disais : tous les prétextes seront bons pour ces sales pédés représentés par Numerama pour venir répandre leur toxicité dans nos espaces.

Et le but de cette toxicité est d’empêcher les jeunes mâles blancs de développer un sentiment d’appartenance commun.

La gauche régressive juive excite tous les sentiments d’appartenance s’ils se manifestent objectivement au détriment des Blancs. Les seuls qui n’ont pas le droit d’avoir un sentiment d’appartenance et des espaces pour l’exprimer sont les Blancs.

Le plus fou dans tout ça, c’est que ces sales pédés de Numerama osent se poser en porte-parole de « victimes » imaginaires alors qu’ils sont en train de nous agresser pour ce que nous sommes.

Qui jouera jamais à des jeux qui puisent leur trame dans l’histoire européenne si ce ne sont de jeunes Blancs qui y retrouvent des archétypes valorisant issus d’époques où les mâles blancs faisaient l’histoire au lieu de raser les murs dans leurs propres villes ?

« Sur ordre du Pape, je vais casser du bougnoule pour sauver mon âme »

Cette intrusion des lesbiennes et des pédales que sont les SJW s’explique par leur besoin obsessionnelle de ruiner le concept même de jeu médiéval, concept qui ne fait qu’exprimer quelque chose que nous partageons entre mecs blancs.

Si vous ne stoppez pas ces dégénérés, vos jeux « médiévaux » n’auront rien à envier à GTA.

« Deus vult bitch ! »

Par définition, seuls les Blancs hétérosexuels jouent à des jeux de mâles blancs hétérosexuels.

Jamais une fiotte sidaïque ne voudra incarner un chevalier vivant à une époque où les pédés étaient jetés dans des cachots humides infestés de rats puis brûlés vifs.

La réalité virtuelle devient de moins en moins virtuelle à mesure que la qualité des jeux augmente et surtout que des communautés blanches se créent autour de tel ou tel jeu. Des groupes de jeunes Blancs se forment dans la durée et migrent ensuite d’un jeu à un autre, sur les mêmes thèmes.

Le système ne veut pas de communauté blanche. Il veut un individualisme forcené qui divise la race blanche et l’affaiblit pour mieux l’exploiter au profit de ses soutiens naturels que sont les groupes parasitaires hostiles comme les gays, les sémites, les nègres.

Plus les états juifs multiculturels d’Occident resserrent l’étau sur la réalité des petits Blancs, plus les jeux en ligne deviennent des moyens d’échapper à une société intégralement construite sur la haine de l’homme blanc.

Les jeux historiques deviennent progressivement de véritables univers parallèles où l’on peut retrouver l’esprit européen traditionnel. On ne parle plus de jeux rudimentaires mais de sociétés virtuelles sophistiquées qui sont construites sur des valeurs fondamentalement de droite, à commencer par le culte de la guerre et de l’honneur.

Deux choses qui terrorisent les sales fiottes qui avalent du foutre par le cul comme cette lope de Julien Cadot.

Ces espaces deviennent des incubateurs culturels pour la grande réaction d’autodéfense raciste blanche du 21ème siècle.

Les juifs et les fiottes savent que le vrai danger vient des hommes blancs. Pas des nègres ou des bicots qui ont carte blanche avec les flics pour faire ce qu’ils veulent au quotidien.

Ils savent que la colère de l’homme blanc est terrible et que rien de comparable n’existe sur terre.

Tout ce qui peut redonner une forte conscience de lui-même comme de ses intérêts angoisse les fiottes comme les juifs qui, de leur côté, passent leur vie à gueuler sur tous les toits qu’ils sont ce qu’ils sont et à faire passer leurs intérêts en priorité.

Nous aussi, maintenant, nous gueulons ce que nous sommes et nous faisons passer nos intérêts en priorité.

Il faudra faire avec, sales pédés.

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