Le Japon teste ses premiers robots pilotés à distance dans ses magasins pour ne pas recourir à l’immigration du tiers-monde

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 décembre 2020

Si l’Europe Occidentale devient un trou à rats tiers-mondisé, ce n’est pas le cas des autres nations dotées d’une population au QI à 3 chiffres.

Le Japon ne peut pas s’empêcher de nous rappeler que devenir une excroissance de l’Afrique  ou du Pakistan n’a rien d’inéluctable. Il suffit d’investir massivement dans la technologie.

CNN :

Le Japon a la population la plus âgée du monde, ce qui entraîne une grave pénurie de main-d’œuvre. Avec près d’un tiers de la population âgée de 65 ans et plus, trouver des travailleurs peut être un défi.

De plus en plus, les entreprises se tournent vers la technologie comme solution – notamment deux des plus grandes franchises de magasins de proximité au Japon, FamilyMart et Lawson.

Les deux chaînes déploient un robot nommé Model-T, développé par la startup japonaise Telexistence. Haut de 2 mètres lorsqu’il est déployé à sa pleine hauteur, le robot se déplace sur une plate-forme à roues et est équipé de caméras, de microphones et de capteurs. Grâce aux trois « doigts » de chacune de ses deux mains, il peut approvisionner les étagères en produits tels que les boissons en bouteille, les boîtes de conserve et les bols de riz.

« Il est capable de saisir, ou de ramasser et de placer, des objets de différentes formes et tailles dans différents endroits », explique Matt Komatsu, responsable du développement commercial et des opérations de Télexistence, à CNN Business.

Cela le distingue des autres robots utilisés dans les magasins, comme ceux utilisés par Walmart pour scanner les stocks en rayon, ou ceux utilisés dans les entrepôts pour empiler les boîtes. Les robots d’entrepôt « ramassent la même chose au même endroit et la placent sur la même plateforme – leurs mouvements sont très limités par rapport aux nôtres », explique M. Komatsu.

Le robot Model-T – nommé d’après l’automobile Ford qui a été le pionnier de la production sur chaîne de montage au début du 20e siècle – est contrôlé à distance par le personnel de l’atelier. Un « pilote » humain porte un casque de réalité virtuelle (RV) et des gants spéciaux qui lui permettent de « sentir » dans ses propres mains les produits que le robot tient dans ses mains. Des microphones et des écouteurs leur permettent de communiquer avec les personnes présentes dans le magasin.

Voilà à quoi ressemble ce robot Model-T.

Vous vous demandez quel être l’intérêt d’un robot qui se contente de copier les gestes réalisés à distance par un être humain puisque ça ne réduit pas le nombre d’employés.

C’est là que ça devient magique.

Telexistence ne prévoit pas de vendre les robots et les systèmes de RV directement aux magasins, mais les fournira contre rémunération. Elle ne divulguera pas le prix mais dira que le coût sera compétitif par rapport au travail humain.

En théorie, le robot pourrait être contrôlé de n’importe où dans le monde, dit M. Komatsu. Lors d’un essai en août dans un magasin FamilyMart à Tokyo, le pilote a fait fonctionner le robot depuis un terminal de RV au bureau de télexistence situé à environ 8 km de là.

Cela facilite le recrutement et offre la possibilité d’embaucher à l’étranger dans des endroits où le coût de la main-d’œuvre est moins élevé, explique M. Komatsu. Il ajoute que le contrôle du robot est simple et ne nécessiterait pas de pilotes qualifiés.

Le principe du centre d’appels délocalisé dans le tiers-monde étendu à tous les services.

Quand la gauche va découvrir que l’immigration marron est obsolète :

Ces ordures marxistes sentent le coup venir.

Cf. Bilal Hamon.

Les robots permettent de résoudre la question des retraites, des congés payés, de la Sécurité Sociale, de l’immigration de masse planifiée par le grand patronat et les partis de gauche.

Ils peuvent travailler 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sans faire grève et ils ne volent pas ni n’agressent de gens en dehors de leur lieu de travail. Tout le contraire des gens marron qu’importe la machine globaliste.

Vous allez me dire que ces robots, s’ils étaient mis entre des mains quelque part au Pakistan, pourraient devenir dangereux. Il suffit de les programmer pour leur interdire tout acte dangereux contre un humain. Mais plus sûrement, il suffit de ne jamais localiser les centres de pilotage de ces robots dans des pays musulmans ou africains.

Les entreprises qui adopteront ce système d’automatisation digitalisée des services vont écraser leurs concurrents issus de pays qui doivent assumer le coût induit par l’immigration de masse. Une entreprise de ce type pourra arriver sur un marché national avec sa flotte de robots et offrir des services à des prix défiant toute concurrence sans avoir à se soucier de la disponibilité de main d’oeuvre sur place.

Les magasins pourraient également fonctionner avec moins de travailleurs. « Un robot télécommandé permet à une personne de travailler dans plusieurs magasins », explique Satoru Yoshizawa, représentant de FamilyMart.

M. Yoshizawa explique que de nombreux magasins de l’entreprise éprouvent des difficultés particulières à embaucher des personnes pour de courtes périodes de trois à cinq heures par jour pour l’empilage des rayons. Avec un robot, ils pourraient employer un seul opérateur pour travailler dans plusieurs magasins, et se concentrer sur l’embauche de personnes pour travailler aux caisses enregistreuses, dit-il.

Lawson est confronté au même problème. « Nous avons essayé de résoudre la pénurie de main-d’œuvre dans certains de nos magasins et, grâce à cette expérience, nous allons examiner comment les robots vont nous aider », explique Ken Mochimaru, de la division communication d’entreprise de Lawson, à CNN Business.

Si cette expérience s’avère efficace, il affirme que Lawson envisagera de déployer les robots dans un plus grand nombre de ses succursales.

Par rapport à d’autres pays, la pénurie de main-d’œuvre au Japon signifie que l’on craint moins que le déploiement des robots n’entraîne des pertes d’emplois humains. Avant le Covid-19, selon un rapport de 2020 de la société de conseil en gestion McKinsey, le Japon était en bonne voie pour automatiser 27 % des tâches existantes d’ici 2030. Bien que cela puisse remplacer les emplois de quelque 16 millions de personnes, le rapport indique qu’il manquera encore 1,5 million de travailleurs dans le pays.

Le Japon ne veut vraiment pas entendre parler d’immigration. Mais plutôt que d’en faire des débats interminables, ils produisent des robots.

Nous devrions nous inspirer de cette approche : moins écouter le disque usé d’Eric Zemmour et produire des robots.

Ces 1,5 million de travailleurs « manquants » représentent moins de 4 ans d’immigration en France, soit à peine un mandat présidentiel. C’est résiduel. Ce déficit sera progressivement résorbé par l’arrivée massive de robots de plus en plus perfectionnés et de moins en moins chers à produire.

D’ici une vingtaine d’années, les flottes de robots seront réellement capables de réaliser des tas de travaux, même ceux qui sont le plus difficile à accomplir.

La pandémie a stimulé l’intérêt pour l’automatisation, notamment parce que les robots pourraient contribuer à réduire les contacts entre humains. Selon M. Komatsu, la télexistence a suscité un intérêt accru de la part de partenaires et de clients potentiels.

Toutefois, le robot Model-T a encore du chemin à parcourir avant de fonctionner selon les mêmes normes qu’un travailleur humain. Il faut huit secondes au robot pour placer un article sur une étagère, alors qu’il faut environ cinq secondes à un humain pour faire de même. Jusqu’à présent, le robot ne peut manipuler que des produits emballés, et non des produits de boulangerie en vrac ou des fruits et légumes.

La télexistence, lancée en 2017, s’efforce d’améliorer ces limitations. Grâce à l’IA, la société espère apprendre au robot à copier automatiquement les mouvements humains, afin qu’il puisse fonctionner sans pilote.

C’est le futur.

Cela ne dispense pas le Japon – ni aucun autre pays civilisé – de stabiliser sa natalité, mais cela met un coup d’arrêt décisif au spectre du cataclysme racial qu’entraîne l’importation d’une basse humanité dans les états développés pour peu qu’ils en aient la volonté.

Le Japon en a manifestement la volonté et nous devrions voir progressivement toutes les nations asiatiques suivre le même chemin. Ces nations ne sont pas tombées dans le piège de l’humanitarisme chrétien habilement manipulé par les juifs. Elles restent terre à terre. Quand on est terre à terre, on veut à tout prix éviter d’évoluer au milieu de nègres ou d’arabes.

Même les arabes du Golfe évitent soigneusement d’évoluer au milieu d’algériens et de congolais. Dans leurs villes, ils préfèrent évoluer au milieu d’ingénieurs blancs et d’hommes d’affaires asiatiques.

Ces arabes de luxe ne comprennent pas exactement ce que nous trafiquons avec tous ces migrants musulmans que nos dirigeants importent au nom de la charité universelle et du judaïsme.

L’immigration du tiers-monde entraîne inévitablement la désarticulation de l’ordre social à mesure que la société éclate en blocs ethniques d’inégales capacités raciales. Un simple coup d’œil sur l’état d’anarchie raciale qui prévaut en France suffit pour le comprendre. Il n’y a que les ultra-capitalistes focalisés sur le profit à court terme, les femmes blanches émancipées en manque de pénis marron et la bureaucratie des partis de gauche qui ont un intérêt à voir l’immigration de masse durer. Les classes moyennes ou populaires autochtones en revanche subissent les effets mortifères de ce fléau au quotidien.

Pour ce qui concerne la natalité, la technologie peut également apporter les réponses nécessaires. D’ici quelques décennies, nous devrions pouvoir produire des enfants hors du corps d’une mère, en intégralité. Soit sur demande explicite de parents, soit par volonté de l’Etat. Sur le sujet, les divagations d’ordre moral ne mènent à rien. Entre disparaître purement et simplement et booster la natalité aryenne de 30% par ce procédé en une seule génération, le choix est vite fait.

Comme la robotisation, c’est une question de volonté.

C’est d’ailleurs ce que fait l’Etat Français. La France juive a une « politique de peuplement » comme disait Manuel Valls. Mais ses critères sont des critères judéo-démocratiques qui visent à booster la natalité au seul plan quantitatif en important des ventres de négresses pour déféquer continuellement leur ignoble engeance dans toutes les maternités de France. Les négresses ne sont rien d’autre que des utérus artificiels financés par la CAF pour repeupler la France sous la supervision des juifs. C’est leur fonction. Donc, il n’y a déjà plus de débat depuis longtemps sur la nécessité de combler la dénatalité.

Dans ce domaine, la France juive mise sur la masse contre la race.

Mais d’ici quelques décennies, il sera possible de reproduire la race en masse. Une fois la technologie disponible, il sera loisible de choisir le stock génétique d’origine des enfants, d’épurer l’ADN de toutes les scories génétiques [l’ADN négroïde est une scorie en soi] et de produire ainsi des enfants en excellente santé raciale. Pour cela, il suffit qu’un seul pays blanc se libère du joug juif, abolisse la démocratie et investisse massivement dans de tels programmes de reconquête eugéniste.

Il suffit qu’un pays blanc parvienne à s’émanciper de la dictature juive et très vite, une dizaine d’autres nations blanches le suivront. Avec ces technologies, tout irait très vite.

Face à ces évolutions, des Françaises s’inquiètent.

La Croix :

« Le marché du travail est plus que tendu, explique Muriel Jolivet, professeure à l’université Sophia à Tokyo. On ne trouve plus d’ouvriers, de maçons, d’électriciens, et dans le secteur des services les patrons ont du mal à embaucher. » Dans l’empire de la haute technologie pullulent les robots de toutes sortes dans les aéroports, gares, hôpitaux, épiceries ou grands magasins. « Les Japonais sont à la pointe et s’imaginent avoir trouvé la solution au manque de main-d’œuvre, ajoute-t-elle, mais les robots n’éviteront pas l’ouverture des frontières aux étrangers. »

Je vous mets au défi de trouver pire qu’une Française ayant quitté le paradis multiculturel hexagonal. Cela n’existe pas.

Des catholiques – tout particulièrement les évêques dont l’avenir dépend exclusivement du nombre de nègres qu’ils peuvent infiltrer en Europe – vont protester à propos de la « défense de la famille » au nom d’une sorte de conservatisme biologique mais c’est un débat périmé. La famille n’existe plus, elle a été légalement abolie et les gens ne se marient même plus. La règle aujourd’hui, c’est une femme avec des enfants de deux ou trois mecs différents. L’impératif racial commande d’aller au plus vite et de ne pas se perdre en conjectures. D’autant que ces mêmes évêques expliquent que leur conception de la « famille » repose désormais sur l’anal.

Les lesbiennes seront sûrement enthousiastes à cette idée mais les femmes blanches obsédées par l’ouverture du marché sexuel aux mâles du monde entier le seront beaucoup moins. Les enfants sont la dernière carte qu’elles ont entre les mains pour persécuter les hommes et ce ne sera bientôt plus qu’un souvenir.

Je défends d’ailleurs un projet adjacent à ce plan nataliste 2.0 : la création de femmes blanches in vitro génétiquement modifiées pour être belles et muettes. Je vous en parlerai une prochaine fois.

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