Le Japon emploie des robots pour entraîner l’équipe nationale de volley-ball

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 juillet 2017

Il y a les nations qui veulent s’inscrire dans le 21ème siècle et puis il y a les autres.

BFMTV :

Les joueurs sont opposés à trois paires de mains pouvant se déplacer très rapidement pour bloquer les envois de balle.

Pour rendre leur équipe nationale de volley-ball plus performante, le Japon n’a pas fait appel à un nouvel entraîneur mais à des robots. Comme le montre la vidéo publiée par le site New Scientist, les joueurs sont opposés à trois paires de mains mécaniques qui se déplacent sur une rampe placée derrière le filet. Avec une vitesse de 3,7 m/s, elles se révèlent plus rapides qu’un être humain.

Ces paires de mains robotisées simulent les blocages des joueurs adverses en cas de smash, une projection violente de la balle de l’autre côté du filet. Elles sont capables de s’incliner vers l’avant ou vers l’arrière et sont contrôlées par ordinateur. Le placement de chaque « adversaire » peut ainsi être programmé par l’entraîneur. En revanche, les mains mécaniques obéissent à un simple programme de positionnement et ne sont pas capables de réagir en fonction des mouvements des joueurs humains.

Les inventeurs du dispositif envisagent par la suite d’équiper le système de capteurs pour le rendre encore plus interactif. Ils présenteront les résultats de leurs travaux en mai à la conférence internationale sur la robotique et l’automatisation qui doit se tenir à Singapour. En attendant, la « machine à bloquer » a été testée avec succès pendant une semaine avec six joueuses de l’équipe nationale féminine japonaise.

Ce qui donne ça :

C’est le paradigme dans lequel s’inscrivent tant le Japon, que la Chine, les USA ou même Israël : faire un pas en avant technologique pour résoudre les contradictions du moment.

Si les juifs sont en pointe là-dessus avec les Asiatiques ou les Américains, nous devrions sérieusement y prêter attention. Mais pour le moment, nous sommes engagés dans autre chose : les nègres à l’infini.

On ne peut pas consacrer des sommes colossales dans la négrification totale de son pays et, dans le même temps, se projeter dans le Troisième Millénaire. C’est une impossibilité.

Pour résoudre le torrent de barbarie et de sauvagerie qui monte dans le tiers monde, seul un effort prométhéen peut apporter une solution radicale. Les deux, d’ailleurs, participent du même mouvement : vouloir pour pouvoir, qu’il s’agisse de détruire les ennemis qui veulent nous submerger et bâtir.