Démocratie Participative
23 décembre 2021
Nous avons enfin des nouvelles officielles de Vincent Reynouard.
Nous n’avons rien déclaré sur le sujet jusqu’à présent car nous ne voulions pas spéculer sur des rumeurs. Vincent va bien, du moins, autant que possible dans sa présente situation, c’est-à-dire celle d’un national-socialiste fuyant les griffes de la bête juive internationale.
Le journal Rivarol a publié un courrier envoyé par Vincent à la rédaction dont voici un extrait (la lettre complète est accessible sur la version papier) :
Chers Amis,
Je vous donne enfin de mes nouvelles. Après avoir échappé de justesse à une arrestation, je vais très bien. Je suis logé dans une petite chambre et, le soir, je travaille quelques heures dans un établissement.
Le 25 octobre, deux inspecteurs ont frappé à la porte de mon domicile pour « parler à Vincent Reynouard ». Des inspecteurs qui veulent vous parler, je connais. En juillet 2010, à Bruxelles, deux inspecteurs m’avaient demandé de les suivre pour me parler et signer un papier. Je les ai suivis, j’ai signé. Le soir, je dormais en prison… Le 25 octobre dernier, j’ai donc joué le tout pour le tout en niant être Vincent Reynouard. J’ai expliqué qu’il était en France et qu’il reviendrait dans deux ou trois jours. Les inspecteurs sont repartis. Mais dix minutes après, ils tambourinaient à la porte avant de l’ouvrir, je ne sais comment. J’ai juste eu le temps de prendre une paire de chaussures et un disque externe de secours que je tenais prêt en cas d’urgence, et j’ai fui par derrière. J’ai dévalé l’escalier, sauté par-dessus un vélo qui obstruait les dernières marches, puis j’ai couru jusqu’à un jardin public. Là, je me suis débarrassé de la veste que les inspecteurs avaient vue, j’ai récupéré un masque facial qui traînait au sol et je suis parti vers le village voisin. Jusqu’au soir, j’ai erré… Je vivais un véritable film !
Une amie anglaise m’a recueilli. Au bout de trois semaines, elle m’a trouvé un travail chez un ami patron informé (partiellement) de ma situation, donc qui me paye en numéraire. J’ai ainsi pu m’acheter le strict nécessaire pour vivre (des sous-vêtements, un manteau, un pantalon, du nécessaire de toilette, une bouilloire et un bol…). Matin, midi et soir, je mange des Weetabix (NDLR : céréales de blé complet) avec du lait en poudre, car cela ne nécessite ni réfrigérateur, ni préparation, et c’est compact.
Combien de temps cela va-t-il durer ? Je l’ignore. Dans ma situation, je vis au jour le jour. Des amis ont débarrassé l’appartement où je vivais et ont entreposé mes affaires dans un endroit sûr qui m’est inaccessible.
Malgré tout, je ne regrette rien. Cette vie, je l’ai choisie. Je savais à quoi je m’exposais. Je m’étais toujours demandé ce qu’avaient pu ressentir les vaincus qui, en 1945, fuyaient après avoir tout perdu. Bien que ma situation soit infiniment moins tragique, je le vis un peu. L’expérience m’enthousiasme. Car le fait de vivre au jour le jour et de m’en remettre totalement à la Providence me donne une sensation de liberté immense, quasi infinie. Pour me reposer, n’ayant que très peu de moyens de distraction, je médite. Ces deux dernières années, j’avais beaucoup lu à ce sujet, mais sans jamais pratiquer, car entre mes cours et mes vidéos, je vivais à cent à l’heure. Désormais, seul dans ma chambre, je pratique.
Bref, je suis très heureux et je comprends parfaitement l’enseignement traditionnel selon lequel la situation extérieure n’est rien, c’est la façon dont l’esprit réagit qui est tout. A 52 ans, sans famille et recherché, je vis comme un étudiant désargenté. Je passerai Noël seul dans ma chambre, avec mes trois Weetabix et mon bol de thé. Je pourrais vouloir me pendre. Je pourrais me consumer dans la haine de mes adversaires. Or, mes adversaires, je n’y pense jamais ; ils n’ont été et ne sont que des instruments de la Providence. Encore une fois, je savais à quoi je m’exposais.
C’est matériellement difficile.
La première difficulté vient du fait que Vincent ne peut pas recevoir de soutien financier de ses lecteurs et amis car son équipe de collaborateurs est d’évidence sous la surveillance des flics.
La plupart se demande comment Vincent tient et surtout pourquoi. C’est assez simple à comprendre : la foi NS.
Le national-socialisme n’est pas une religion, n’a rien de religieux, puisqu’il est au contraire fondé sur une approche empirique de la réalité. Mais il suscite la foi car il exalte l’âme aryenne.
Ce n’est pas une lubie passéiste, mais quelque chose de très actuel, car l’âme aryenne est aussi vivante aujourd’hui que durant les millénaires passés.
C’est âme que le monstre juif veut détruire.
Tous les jours, la machine juive rappelle à quel point la lutte contre le national-socialisme est à l’ordre du jour, ce qui peut paraître curieux car il n’existe aucun parti national-socialiste en France, ni même en Europe continentale – à l’exception de la Suède. Pourtant, pas un jour ne passe sans que les hurlements des médias juifs ne se fassent entendre à propos des énigmatiques chambres à gaz d’Adolf Hitler.
C’est un déchaînement quotidien.
Rien que pour cette semaine :
L’Occident est sous occupation juive, intégralement, et le covidisme n’est que le dernier développement technique d’une réduction en esclavage d’essence sémitique dont la démocratie est le bras armé.
Toute contestation de l’ordre établi est de facto une contestation de l’impérialisme juif. Par son travail, Vincent Reynouard, à la suite de Robert Faurisson, expose la mythologie fondatrice de l’impérialisme juif qu’est la religion de l’holocauste, l’interdit religieux qui est placé sur toute contestation de l’ordre impérial hébraïque.
On ne peut pas dire que Vincent Reynouard est une large audience, pourtant la juiverie mobilise les polices européennes pour empêcher cet homme vivant en ermite de parler librement d’une question dont les médias et les états démocratiques nous disent qu’elle est tranchée. Au vu de l’extraordinaire disproportion de moyens, la logique voudrait que le système se désintéresse totalement de Reynouard, confiante dans la « vérité historique » qu’il proclame et le contrôle total qu’il exerce sur le narratif par les médias et l’éducation.
C’est au contraire la plus extrême fébrilité qui prévaut.
Si Reynouard ne disait pas vrai, ils laisseraient cet homme à ses élucubrations londoniennes.
Mais ils savent qu’une seule étincelle de vérité peut faire s’effondrer un empire de mensonges. Il ne peut pas y avoir de voisinage, même distant, entre le mensonge et la vérité car la vérité finit toujours par l’emporter.
Qui serait surpris que la race juive, pour bâtir son empire mondial, se soit assis sur un mensonge, le plus formidable mensonge de l’histoire ?
Le rôle de l’opposition est d’éclairer les masses sur l’imposture qu’est la religion de l’holocauste. Pour cela, un site créé par Vincent Reynouard résume tout, de manière pédagogique, pour les personnes qui s’interrogent. Faites-le connaître, ce sera votre plus formidable atout afin d’arracher les normies des ténèbres juives : shoarnaque.org.
Pour soutenir Vincent Reynouard, la meilleure façon de s’y prendre est de faire connaître les travaux de Vincent Reynouard.
A Noël, ayons tous une pensée pour le héros Vincent Reynouard, combattant infatigable de la résistance spirituelle aryenne persécuté par les juifs.