La Rédaction
Démocratie Participative
17 octobre 2024
Les juifs, pour les besoins du sadisme de leurs masses fanatisées, ont cru avisé de montrer le héros Yahya Sinwar, 62 ans, défier jusqu’au bout la bête juive, les armes à la main.
Des images incroyables : Yahya Sinwar, couvert de poussière, tous ses camarades venant d’être tués, amputé d’un bras et proche de la mort, lance un projectile sur un drone israélien dans un dernier acte de défi.
Les Israéliens ridiculisent cette fin pathétique, mais je ne suis pas sûr que le monde la voie de cette façon.
🇵🇸 Incredible footage: Yahya Sinwar, covered in dust, all his comrades just killed, arm amputated and close to death, hurls a projectile at an Israeli drone in a final act of defiance
Israelis are ridiculing this as a pathetic end, but I’m not sure the world will see it that way pic.twitter.com/I0gdAQhQ0L
— Keith Woods (@KeithWoodsYT) October 17, 2024
La dernière photo de Sinwar en vie
La chaîne israélienne Channel 12 affirme qu’il a continué à se battre même après avoir perdu un bras
The last picture of Sinwar alive
Israel’s Channel 12 says he kept fighting even after losing an arm pic.twitter.com/Ur1iqzLGQ6
— Muhammad Shehada (@muhammadshehad2) October 17, 2024
Si vous croyez que les juifs ont envoyé des hommes à eux le tuer, vous méconnaissez cette race de rats.
Ils se sont contentés d’une frappe à distance pour l’assassiner.
Même grièvement blessé et seul au milieu de ses hommes morts, les juifs sont trop lâches pour vouloir risquer leur peau. Si les juifs veulent que les goyim meurent pour les juifs, les juifs ne veulent jamais mourir pour les juifs.
Une vie entière dédiée à la résistance totale à la juiverie qui persécute son peuple : voilà un exemple pour les nations, quelque soit leur race ou leur religion.
« La résistance se poursuivra et nous sommes prêts à payer n’importe quel prix pour la liberté et la dignité de notre peuple.
“The resistance will continue, and we are prepared to pay any price for our people’s freedom and dignity.”
– Yahya Sinwar pic.twitter.com/bs7hw2JXTr
— DD Geopolitics (@DD_Geopolitics) October 17, 2024
L’Imam Ali(a) a dit : Il y a deux jours dans la vie d’une personne, un jour où la mort n’est pas votre destin et un jour où elle l’est.
Je n’ai pas peur du premier jour parce que la mort n’est pas mon destin, donc personne ne peut me faire de mal.
Je n’ai pas peur du deuxième jour parce que je ne peux pas empêcher mon destin.
Imam Ali(a) said: There are two days in a person’s life, a day in which death isn’t your destiny and a day in which it is.
I’m not afraid from the 1st day because death isn’t my destiny, so no one can harm me.
I’m not afraid of the 2nd day because I can’t prevent it my destiny. pic.twitter.com/mXiILywhGQ— حسن نصر الله (@SH_NasrallahEng) October 17, 2024
Imaginez si le monde blanc avait encore le même esprit guerrier et révolutionnaire que les quelques dizaines de milliers de combattants du Hamas, encerclés depuis un an et qui luttent à un contre dix sous l’équivalent de 6 bombes atomiques d’explosifs.
Les femmes blanches ne se feraient pas sauter par des nègres dans des productions juives.
La résistance ne s’appuie jamais sur un seul leader.
Resistance never relies on any one leader. pic.twitter.com/KBMF7THNK0
— Sulaiman Ahmed (@ShaykhSulaiman) October 17, 2024
Cela fait plus d’un siècle que les Palestiniens produisent des révolutionnaires, la mort de Yahya Sinwar n’y changera rien, si ce n’est d’inspirer des millions de ses compatriotes pour mener la lutte.
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