Leutnant
Démocratie Participative
23 octobre 2018
C’est un premier pas. C’est en tout cas infiniment plus que ce que nous faisons.
Le décret de la Ligue prévoit que l’argent pour financer les mosquées devra venir exclusivement d’Italie. L’argent de l’Arabie Saoudite est particulièrement visé.
Pour cette raison, la Ligue a écrit un projet de loi prévoyant des amendements concernant le financement et la construction de bâtiments pour la pratique des cultes autorités. L’objectif principal du document, tel que souligné par Il Messaggero, est d’empêcher que des lieux, « de points de rassemblement deviennent des centres de recrutement potentiel pour l’extrémisme ». Une initiative qui ne doit pas être sous-estimée.
Le procureur Franco Roberti a, en plusieurs occasions, souligné que « suivre le mouvement de l’argent est crucial, d’abord parce qu’il nous permet de retracer les réseaux de relations au sein desquels les suspects sont individuellement impliqués. Les liens avec les cellules terroristes. Mais cela fonctionne uniquement si c’est fait en temps utile, autrement, le risque est grand que les traces soient perdues. »
La logique voudrait que, à terme, les mahométans paient pour financer la destruction de leurs mosquées par les gouvernements occidentaux avant de payer de la même façon leur déportation dans leurs pays d’origine.
De toute façon, en coupant les flux d’argent étrangers, cela reviendra à mettre en banqueroute toute la vermine islamique présente en Italie.
En même temps, Salvini a besoin de musulmans pour les futurs jeux du Cirque à Rome. Il faut bien les occuper dans leurs mosquées en attendant.