Le gouvernement va redynamiser le vignoble français avec des vignerons musulmans du Soudan et d’Aghanistan

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 août 2019

On les confondrait presque avec les violeurs de Cologne

Apparemment les Français sont devenus incapables de produire du vin.

Il a donc fallu recourir à des vignerons d’Afghanistan ou du Soudan pour combler l’incurie des viticulteurs français, trop idiots pour savoir comment en faire.

La Revue du Vin de France :

La première promotion de la formation originale du Lycée professionnel d’Amboise a diplômé neuf réfugiés. Une première en France.

Originaires du Soudan, d’Afghanistan et d’Érythrée, ce groupe d’hommes a été sélectionné sur la base du volontariat pour intégrer une formation qui débouche sur un diplôme d’ouvrier viticole… et la perspective de trouver rapidement un travail.

Cette formation de huit mois, dispensée par le Lycée agricole et viticole d’Amboise, en Indre-et-Loire, a été élaborée et validée en collaboration avec les services de l’État et l’association d’insertion Les Jardins de Cocagne de Blois, qui a rémunéré ces volontaires pendant les cours.

Aujourd’hui diplômés, ils seront, sans aucun doute, embauchés dans l’un des nombreux domaines de la région où les bras manquent…

Et moi qui me croyais visionnaire, j’avais encore un train de retard.

Macron ne se limite pas à recourir aux migrants pour ses projets grandioses en intelligence artificielle ou en aérospatiale. Il veut repenser complètement deux millénaires d’histoire viticole française.

Ceci grâce à un concept novateur qui consiste à produire du vin sans alcool conformément à la loi islamique.

Avec des musulmans fraichement débarqués de Kandahar.

Il n’est pas impossible que ces vignobles se transforment d’ici quelques années en champs de ganja ou de pavot.

En tout cas, la République n’aurait pas tout à fait accompli sa mission civilisatrice si elle n’avait pas réservé la production du vin français à des Talibans.

Que les millions de chômeurs français en prennent de la graine.