Capitaine Harlock
Démocratie Participative
04 janvier 2018
Mais qui peut bien se cacher derrière ce complot contre la liberté d’expression ?
Numerama :
Le chef de l’État ne veut plus voir de fake news sur le net. Lors de ses vœux à la presse, il a annoncé un projet de loi contre la désinformation en ligne dans lequel il sera possible de demander la suppression d’un contenu ou le blocage d’un site.
Emmanuel Macron a annoncé la couleur le 3 janvier lors de ses tous premiers vœux à la presse : courant 2018, le gouvernement fera adopter un projet de loi pour mieux lutter contre l’apparition et la propagation des fausses informations — les fake news — sur Internet. Si les contours du texte sont encore flous, le chef de l’État a donné les grands axes de cette future loi.
Ainsi, il est question d’un côté de « pouvoirs accrus du régulateur et de nouvelles sanctions contre les sites qui diffusent ces fake news » et de l’autre de la justice capable « d’exiger le déréférencement d’un contenu ou le blocage d’un site ». Il faudra lire les articles de ce futur projet de loi pour voir quelle solution sera finalement retenue par l’exécutif.
Résumons : les juifs veulent pouvoir censurer l’internet français.
#Crif #HaineSurInternet– Vous avez repéré des contenus haineux sur le web ? Vous pouvez les signaler sur notre site internet : https://t.co/9BLPdWlvPM https://t.co/mCRtdDUjKg
— CRIF (@Le_CRIF) 3 janvier 2018
#Actu #HaineSurInternet – Discours de haine : en Allemagne, les géants du Web risquent des millions d’euros d’amende https://t.co/JBnNIxVYW5 pic.twitter.com/NbhgrdADSS
— CRIF (@Le_CRIF) 3 janvier 2018
#Guest #FakeNews – Rendez-vous le 15 janvier pour rencontrer @BGriveaux, porte-parole du Gouvernement. Inscriptions : https://t.co/su51fX13nG #AmisDuCrif https://t.co/ESDpvpOnqS
— Les Amis du Crif (@AmisDuCrif) 4 janvier 2018
On sait d’ores et déjà qui va décider de ce qu’est une soi-disant « fausse information » et ce qui en est une « vraie » : le gouvernement. Et donc, les juifs qui le contrôlent.
En somme, une « fake news » est une information que les juifs n’aiment pas et veulent voir disparaître.
Ces juifs n’ont pas établi une tyrannie en Europe au prix de dizaines de révolutions et de guerres apocalyptiques pour lâcher si facilement nos pays. Dès lors qu’ils voient les Blancs commencer à vouloir se débarrasser de la pouillerie qui les ronge, voilà Jehovah qui lève la tête, l’oeil luisant, et proclame fièrement le retour de la terreur systématique.
Nous avons vu ce qu’ils ont fait quand un peuple se laisse dominer par cette engeance démoniaque.
Au reste, Macron ne fait qu’exécuter ce que ses maîtres attendent de lui.
Partout, au USA comme en Europe, la vague nationaliste et populaire fait rembler tout l’édifice cosmopolite édifié sur les ruines de la Seconde Guerre Mondiale. Nombreux sont ceux qui ne réalisent pas à quel point les globalistes sont inquièts des développements actuels.
Le Monde :
Pourtant, le chef de l’Etat autrichien fut le premier à redonner un peu d’espoir aux opposants à tous les extrémismes en l’emportant avec panache face au FPÖ, l’année dernière, en dépit du Brexit et de l’élection de Donald Trump à la Maison blanche survenus dans les mois précédents. Il a été très actif en coulisse pour imposer des garde-fous permettant à l’Autriche de s’affirmer encore comme étant « pro-européenne ». Mais il lui faudra faire avec cette réalité bien triste : les premières réactions à l’annonce du retour des héritiers de M. Haider sous les dorures de la Hofburg, à Vienne, auront été celles des organisations juives : le Congrès juif mondial s’est dit « bouleversé ».
Et ces juifs ne se cachent pas même de vouloir continuer à se livrer à leurs menées criminelles.
Et pourtant, malgré cette sensibilité accrue, un nationalisme aux racines nazies est en train de faire son retour en Autriche : Le parti d’extrême droite de la Liberté – ou FPO – qui a été fondé l’année dernière par un ancien officier SS est devenu la semaine dernière le seul partenaire de coalition du parti populaire du chancelier élu Sebastian Kurz.
Kurz a ignoré les appels lancés par les Juifs locaux d’abandonner le FPO.
Dans un contexte d’ascension du populisme d’extrême-droite dans toute l’Europe, son renouveau en Autriche est considéré comme particulièrement alarmant dans la mesure où il traduit l’échec par la société de tirer les leçons de son histoire récente.
Après tout, si un pays qui fait presque tout « correctement » lorsqu’il s’agit de l’Holocauste ne parvient pas à s’immuniser face à cette haine qui rend les génocides possibles, quel espoir reste-t-il pour les autres pays de la région, comme la Hongrie et la Pologne, qui font face à un nationalisme croissant tout en vivant une relation compliquée avec leur propre héritage de la Shoah ?
Ces juifs n’arrêteront jamais. Les marques de soumission à cette engeance ne sont jamais assez suffisantes et ses extorsions n’ont pas davantage de fin. Jusqu’à ce que le peuple victime s’éveille et s’ébroue du vampire qui lui suce le sang.
Alors qu’ils enferment près d’un million d’arabes à Gaza, ces juifs noircissent des pages entières dans leur presse pour dire toute l’attention qu’ils portent à la situation des musulmans en Autriche, hurlant avec le loup Erdogan pour l’occasion.
Ce gang international ne peut tolérer qu’une Europe à genoux, envahie de nègres et de musulmans, circonvenue par la finance internationale et se prosternant au pied du peuple élu. Au moindre signe d’éveil national, les menaces fusent de partout.
Ceci étant dit, comme d’habitude, je pense qu’il n’y a pas de peuple plus stupide que les juifs ni, d’ailleurs, de plus dénué de scrupules. Plutôt que de se faire discret, Jehovah proclame son infaillibilité et assure que personne ne pourra échapper à ses fourches caudines.
C’est pourquoi je pense que cette annonce de Macron est en réalité excellente : pour pulvériser une mouche qu’ils ne parviennent pas à encager, ils vont soumettre des millions de gens à cette traque politique permanente. Plus la censure se généralise, moins elle est efficace. On peut censurer 100 personnes, pas un million. Outre le coût prohibitif et le caractère grossier de la méthode, cela va naturellement pousser à l’éclosion de quantités d’alternatives techniques et surtout d’une colère encore plus sourde de la part du peuple qui demandera le nom de ceux qui les persécutent.
Plus elle est assumée par le pouvoir, plus ce pouvoir est identifié par les masses populaires comme la cause du problème.