Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juillet 2018
Il n’est pas inutile, lorsque l’on est en difficulté, de rappeler à la juiverie que l’on est là, d’abord et avant tout, pour la servir.
Le Premier ministre s’exprimait à l’occasion d’une commémoration de la rafle du Vel d’Hiv, qui s’était déroulée entre le 16 et le 17 juillet 1942.
Le Premier ministre Édouard Philippe a indiqué dimanche, à l’occasion de la commémoration de la rafle du Vél d’Hiv de juillet 1942, vouloir « faire mieux » pour la restitution des biens culturels aux juifs spoliés pendant l’Occupation. « Il est un domaine dans lequel nous devons faire mieux, celui de la restitution des biens culturels », a-t-il déclaré.
« J’ai décidé de doter la CIVS (Commission pour l’indemnisation des victimes de spoliations) d’une nouvelle compétence, celle de pouvoir recommander la restitution de ces œuvres, ou à défaut d’indemniser les personnes concernées », a annoncé Édouard Philippe. Il a « également décidé de charger le ministère de la Culture d’instruire directement ces dossiers, et de prendre une part beaucoup plus active dans le travail de restitution, plutôt que de laisser ce soin aux établissements publics culturels ». Un décret sera pris en ce sens dans les prochains jours.
Un rapport remis en avril à la ministre de la Culture Françoise Nyssen critiquait l’actuelle politique de restitution et préconisé qu’elle soit confiée à un service dédié. Le rapport soulignait que 2 108 objets sont concernés, dont 2 008 biens culturels sans propriétaire identifié. Il y en avait 2 143 il y a 17 ans, au moment de la mission Mattéoli sur la spoliation des juifs pendant l’Occupation.
Le Premier ministre s’est par ailleurs placé dans le sillage de Jacques Chirac, qui avait été le premier président en 1995 à reconnaître la responsabilité de la France dans la déportation des juifs. Cette « vérité » a « mis fin à des années de circonvolutions, de nuances, de ménagements » : « durant ces jours sombres, la France a trahi », a lancé Édouard Philippe.
Rappelant son plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme lancé en mars, M. Philippe a aussi répété sa « volonté absolue de modifier le droit français comme le droit européen pour supprimer les contenus haineux sur Internet, pour en démasquer et en punir les auteurs ». Les conclusions d’une mission confiée à l’enseignant franco-algérien Karim Amellal, à la députée LREM Laetitia Avia et au vice-président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) Gil Taïeb sont attendues en vue de modifications de la loi.
Oui, sales Français, la France n’a qu’une vocation sur cette terre : servir les juifs, partout et tout le temps.
Cela suppose aussi d’arroser, ad vitam aeternam, les survivants de l’holocauste qui a fait, rappelons-le, 20 millions de morts.
Pour faire bonne mesure, Philippe a promis aux juifs, mais aussi à leurs auxiliaires nègres et arabes, que tout sera fait pour censurer la parole des Français de souche qui refusent de se laisser anéantir par cette république juive.
On en attendait pas moins.