Captain Harlock
Démocratie Participative
17 septembre 2020
Le communiste Tedros Adhanom Ghebreyesus et son parrain milliardaire Bill Gates
L’OMS dirigée par le communiste éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus assure que nous sommes au bord d’un cataclysme viral, comme en mars dernier.
BFMTV :
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’inquiète du niveau « alarmant » de transmission en Europe, déclare-t-elle ce mercredi
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’inquiète du niveau « alarmant » de transmission en Europe, déclare-t-elle ce mercredi. Elle fait par ailleurs par de ses critiques concernant les raccourcissements de quarantaine annoncés par plusieurs pays, dont la France.
« Les chiffres de septembre devraient servir d’alarme pour nous tous » à travers l’Europe, où le nombre de nouveaux cas est désormais supérieur à ceux enregistrés en mars et avril, a déclaré depuis Copenhague le directeur de la branche Europe de l’OMS, Hans Kluge.
L’organisation onusienne a également exclu de raccourcir sa recommandation d’une quarantaine de 14 jours pour tout ceux qui ont été en contact avec le virus.
Le gouvernement est déjà en train d’activer les mesures de confinement. Pour le moment, les autorités prétendent « limiter » géographiquement les mesures adoptées.
Face au rebond de l’épidémie de Covid-19, l’heure est à la vigilance. Après Lille, Marseille et Bordeaux, le gouvernement prépare les esprits à un durcissement des contraintes sanitaires dans plusieurs territoires, alors que les Français affichent leur scepticisme sur sa stratégie. Près de 10 000 nouveaux cas de contamination ont été enregistrés dans les dernières 24 heures, tout près du niveau record depuis le lancement des tests à grande échelle dans le pays, a annoncé mercredi Santé Publique France. Et 46 malades du Covid sont décédés à l’hôpital contre 37 la veille.
Le ministre de la Santé Olivier Véran va de nouveau monter en première ligne ce jeudi à 17 heures pour défendre et détailler la politique anti-Covid, dans un point de presse qui redeviendra hebdomadaire. Il fera « une présentation claire et pédagogique de la stratégie » du gouvernement « pour vivre avec le virus », a expliqué le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal à l’issue d’un conseil des ministres de nouveau dominé par la gestion de la pandémie. Parmi les métropoles où des contraintes pourraient être annoncées figure Lyon, le département du Rhône présentant un taux d’incidence de 168 cas pour 100 000, le deuxième plus important de la métropole après les Bouches-du-Rhône.
À Toulouse, première ville à imposer le port du masque, le maire LR Jean-Luc Moudenc juge inéluctable un renforcement des mesures sanitaires. « On voit les indices se dégrader, donc, on ne peut pas rester les bras croisés, on a le devoir d’aller plus loin, on y travaille. On doit se prononcer sur la prolongation (du port du masque) et des compléments de mesures », a-t-il dit mercredi lors d’une conférence de presse.
En application de la nouvelle stratégie « territorialisée », toute mesure anti-Covid nouvelle sera annoncée sur place par le préfet, après concertation avec les élus locaux, afin d’éviter les accusations de décisions verticales prises depuis Paris. L’État gardera ses pouvoirs exceptionnels de restriction des rassemblements et des déplacements, le conseil des ministres ayant adopté mercredi un projet de loi qui prolonge ces autorisations de six mois, jusqu’en avril 2021.
Moudenc, avant d’être maire de Toulouse, est d’abord un roitelet nègre honoraire. En cette qualité, il prêche le repeuplement des campagnes françaises avec des cafres. C’est donc un maire de droite assez banal.
Surtout, au milieu de ce tableau gouvernemental, nous voyons le juif homosexuel Gabriel Attal. Cet empoisonneur de puits doit sa position au sein du gouvernement au mec avec qui il est pacsé, le conseiller politique de Macron, Stéphane Séjourné.
Peu importe où vous posez le pied dans les cénacles qui contrôlent cette république, vous retombez invariablement sur les sodomites et les juifs, ces deux qualités pouvant se cumuler.
La nomenclature nationale-socialiste était d’une parfaite exactitude.
Cette campagne médiatique vise à répandre la peur dans la population pour imposer un nouveau confinement, c’est-à-dire une étroite surveillance des populations. Le plan reste le même depuis qu’il a été lancé en février dernier.
Il apparaît comme une évidence que ce plan est étroitement lié aux élections américaines.
Tout comme la pandémie a été planifiée lors d’une simulation avec des spécialistes de l’armée US et de la CIA, l’état profond américain planifie avec le Parti Démocrate, Obama et Clinton une insurrection générale en revendiquant la victoire en novembre prochain.
Cela va du putsch militaire en règle en passant par la sécession des états démocrates avec l’appui de l’armée.
Le JDD :
Lorsque Nils Gilman et Rosa Brooks ont fondé leur centre de réflexion sur la protection du système électoral l’an dernier, c’est bien parce qu’ils craignaient que les choses finissent par mal tourner. L’ex-directeur de l’université de Berkeley en Californie et la professeure de droit public de Georgetown à Washington, une ancienne du Pentagone sous la présidence Obama, n’ont cessé jusqu’à l’été de mettre en garde contre le risque d’affaiblissement des procédures démocratiques américaines. En juin, alors que la polémique sur le vote par correspondance prenait de l’ampleur et juste avant que le président Donald Trump laisse entendre qu’il n’était « pas sûr » qu’il reconnaisse les résultats de la présidentielle du 3 novembre, le Transition Integrity Project a donc réuni 67 de ses membres. Objectif? Les faire jouer pendant quatre jours et par visioconférence dans un exercice de simulation de la période postélectorale qui va du 3 novembre à la fermeture des urnes jusqu’au 20 janvier, date de l’investiture du président.
L’ancien directeur de campagne de Hillary Clinton, John Podesta, joue le rôle de Joe Biden. Donald Trump, lui, est incarné par David Frum, un ancien conseiller de George W. Bush. Donna Brazile, ancienne présidente du Comité national démocrate, et Michael Steel, qui a dirigé le Comité national républicain, se mettent à la place de leurs successeurs en poste aujourd’hui. Le tout sous la surveillance et avec l’interaction de magistrats, d’anciens militaires et de représentants des médias. « Tout ce qui s’est passé depuis n’a fait que confirmer à quel point nous avions raison d’estimer que nos normes et règles électorales étaient menacées », écrivent Gilman et Brooks dans leur rapport de simulation de 22 pages publié le mois dernier. Allusion à la suggestion de Donald Trump de reporter la date du scrutin présidentiel ou à sa demande de publier les résultats de l’élection le soir même du vote et sans attendre le dépouillement du vote par correspondance.
Le premier scénario simulé est celui d’une nuit électorale incertaine où le sort du scrutin se joue dans trois États seulement, la Caroline du Nord, le Michigan et la Floride. L’équipe Trump proclame sa victoire très vite, remet en question les suffrages envoyés par la poste et demande aux élus républicains dans ces États de faire cesser le dépouillement, tandis que le ministère de la Justice déploie des forces fédérales pour « sécuriser » les bureaux de vote. Alors que la Caroline du Nord est finalement accordée à Biden et la Floride à Trump, un individu incendie le bureau de vote du Michigan qui aurait pu donner la victoire aux démocrates. La gouverneure du Michigan valide la liste des grands électeurs de l’État en faveur de Biden. Le 6 janvier, lorsque le Congrès réunit ses deux chambres pour valider le collège électoral, le Sénat, présidé par le vice-président républicain, Mike Pence, confirme la liste républicaine et la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, entérine la liste démocrate. Le scénario s’arrête à midi le 20 janvier sans qu’aucun président élu, « en possession des codes nucléaires », ne soit certifié.
Dans le troisième scénario, c’est Trump qui l’emporte largement au sein du collège électoral, mais Biden qui remporte le vote populaire avec 5 points d’avance. Des manifestations de rue soutiennent le démocrate, et l’équipe Trump envoie des « agents provocateurs » pour les faire déraper dans la violence. Le candidat démocrate refuse de concéder sa défaite et demande à trois gouverneurs démocrates de ne pas reconnaître les grands électeurs républicains sortis des urnes. Les démocrates encouragent même la Californie, l’Oregon et l’État de Washington à se préparer à la sécession si l’administration Trump ne s’engage pas à abolir le collège électoral et à réformer la Cour suprême. Trump s’y refusant, la Chambre des représentants refuse de certifier sa victoire jusqu’au 20 janvier. À la fin du scénario, les représentants du monde militaire ne donnent pas de réponse claire sur ce que serait alors leur attitude.
Une victoire étroite de Biden constitue le socle du 4e scénario. L’équipe Trump fait circuler une rumeur sur les réseaux sociaux selon laquelle le démocrate de 77 ans aurait fait une crise cardiaque récemment pour délégitimer sa capacité à gouverner. Face aux manifestations, l’équipe de campagne de Trump encourage des milices suprémacistes à s’en prendre au mouvement Black Lives Matter. Le Parti républicain finit par se désolidariser du clan Trump, et l’état-major des armées menace de démissionner collectivement si Trump refuse d’appeler à la fin des hostilités. Alors qu’il apparaît clair que Donald Trump ne quittera pas si facilement la Maison-Blanche, l’armée indique qu’elle saura prendre ses responsabilités constitutionnelles (lire encadré). L’équipe du président commence alors à brûler les archives du Bureau ovale pour éviter toute poursuite judiciaire à venir.
Le rapport de simulation de Nils Gilman et Rosa Brooks publie en conclusion ses recommandations : aux États fédérés, il conseille de préparer les assesseurs dans les bureaux de vote aux pressions qu’ils subiront dans la nuit et les jours qui suivront le 3 novembre ; aux médias, il suggère de familiariser les citoyens à l’idée qu’il n’y aura pas de président élu ce soir-là, ni peut-être pendant des semaines ; aux agences de sécurité nationale, de faire comprendre à leurs agents qu’ils ont prêté serment pour défendre la Constitution et pas l’administration en place. En 2000, le recomptage des voix de la Floride avait fini par être stoppé par la Cour suprême le 14 décembre au profit de George W. Bush contre Al Gore. Aujourd’hui, avec une estimation de plusieurs dizaines de millions de votes par correspondance dont la majorité seront dépouillés après les bulletins déposés physiquement dans les urnes, le problème pourrait être multiplié entre cinq et dix fois, pour autant de swing states aux résultats potentiellement serrés. Un cauchemar qui pourrait virer au chaos.
Un coup d’état est actuellement en préparation et ce coup d’état peut-être maximalisé si des millions de gens se retrouvent chez eux, au chômage technique ou tout simplement sans emploi. C’est que permet un confinement. Un confinement permet aussi, a contrario, de contrôler étroitement les populations et d’empêcher des rassemblements ciblés.
L’Europe sous contrôle de l’UE est en phase de préparation du coup d’état. L’objectif est d’écraser définitivement la vague populiste porté par l’électorat blanc américain et, par extension, tous les mouvements populistes en Occident.