Le gouvernement Meloni menace Orban s’il refuse de libérer une antifa responsable d’une sauvage attaque de patriotes en Hongrie

La rédaction
Démocratie Participative
30 janvier 2024

 

La mythomanie des antifas est proverbiale. Raphaël Arnault nous le prouve encore une fois.

La réalité, c’est que cette cinglée avait voyagé jusqu’en Hongrie pour attaquer aveuglément des patriotes hongrois.

Les conditions de détention sont très loin d’être « inhumaines » si l’on en juge par l’attitude insolente de la hyène milanaise.

A Budapest, le procès d’Ilaria Salis, accusée d’avoir attaqué deux extrémistes de droite. Sur les images de Tg3, l’Italienne de 39 ans est arrivée dans la salle d’audience les mains et les pieds liés par des chaînes. Son père : « Nous demandons l’intervention du gouvernement ».

Pour parfaire le tableau, le gouvernement « post fasciste » de Meloni s’agite pour faire libérer cette créature.

Le ministre des Affaires Étrangères italien, Antonio Tajani, issu de Forza Italia, le parti de Silvio Berlusconi, a exigé des Hongrois que l’on accorde à cette saloperie « un traitement respectueux des règles et de la dignité de la personne, éventuellement des solutions alternatives à la détention ». Rien de moins.

Cette droite affairiste est le plus stupide de tous les courants politiques qui existent en Europe.

Imaginez un instant un ministre de gauche s’enquérir du bien-être d’un militant nationaliste arrêté après avoir corrigé un antifa dans un pays étranger. Si la gauche demandait une seule chose, ce serait que les autorités du pays en question soient encore plus répressives que d’ordinaire.

Giorgia Meloni et Antonio Tajani

Les antifas italiens sont parmi les pires du lot.

C’est ahurissant.

Le Parisien :

L’Italie a convoqué lundi l’ambassadeur de Hongrie pour protester contre le traitement réservé à une Italienne détenue à Budapest et accusée d’avoir attaqué un groupe de néonazis, a indiqué une source diplomatique à l’AFP.

Ilaria Salis, 39 ans, a été arrêtée à Budapest en février dernier et inculpée de trois chefs d’accusation de tentative d’agression, accusée de faire partie d’une organisation d’extrême gauche.

Elle a comparu lundi devant le tribunal aux côtés de ses complices présumés, les procureurs demandant une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 11 ans, selon une déclaration du tribunal dans laquelle elle n’a pas été identifiée par son nom. Ilaria Salis a plaidé non coupable et sa famille s’est plainte du traitement qui lui a été réservé en prison.

« Nous demandons au gouvernement hongrois d’enquêter et d’intervenir pour garantir que les droits prévus par la législation de l’Union européenne de la citoyenne italienne Ilaria Salis, détenue et en attente de jugement, soient respectés », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani sur X, l’ancien Twitter.

Il fallait comprendre l’expression post-fasciste au sens littéral.

C’est après le fascisme.

Qu’on ramène les squadristes et l’huile de ricin pour soigner cette lèpre rouge !

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