Le gouvernement macroniste prépare une loi pour obligatoirement bannir des réseaux sociaux les gens qui disent des choses interdites par les juifs

La rédaction
Démocratie Participative
26 avril 2023

 

L’UE prendra le contrôle des réseaux sociaux en août pour empêcher les goyim de penser des choses interdites

Nous apprenions hier que Twitter allait mener un « test de conformité » sous la supervision de l’UE « fin juin ».

Ce test de conformité consiste à (re)purger tous les gens qui ont un avis qui diverge de celui d’Ursula Von der Leyen sur tous les sujets, parmi lesquels :

  • L’obligation de reconnaître l’existence des femmes à bites
  • Les chambres à gaz ont vraiment existé (pour de vrai, vraiment)
  • Les juifs constituent une caste raciale sacrée
  • Leurs animaux de compagnie que sont les Noirs aussi
  • L’Ukraine judéo-anale doit être défendue avec autant d’argent que nécessaire
  • L’immigration non-blanche totale est un droit de l’homme
  • Le voile islamique doit être imposé par la force de la loi
  • Les commandes de vaccins Pfizer doivent se poursuivre indéfiniment

Littéralement.

Il semble que les règles de l’UE soient d’abord appliquées aux Américains.

Interdits la semaine dernière :

Kevin MacDonald
@TOOEdit

Varg Vikernes
@WargarW

James Edwards
@JamesEdwardsTPC

Tom Sunic
@Tom_Sunic

Andrew Anglin
@WorldWarWang

Précédemment interdit sous la direction d’Elon : Nick Fuentes
@NickJFuentes
et toute la direction de Patriotic Alternative.

Certains d’entre eux ont duré des années, mais ce sont tous des noms associés à l’identité blanche. Le Twitter de Musk censure des personnes sur la seule base de leur réputation.

L’opération de Musk a été un désastre sans précédent. Après un an de gestion chaotique, Twitter réussit à être pire que lorsqu’il était contrôlé par des gouines, des Hindous et des juifs.

Je ne sais pas ce qui est le plus cringe, son réseau social ou ses fusées absurdes.

Mais c’est encore trop peu, le régime de Macron veut aller beaucoup plus loin.

Les paysans seront prochainement interdits d’utilisation de réseau social s’ils disent des choses interdites par l’État.

BFMTV :

Un projet de loi pour « sécuriser et réguler l’espace numérique » prévoit d’interdire l’accès à une plateforme aux personnes condamnées pour harcèlement.

Pas que pour « harcèlement » – ce qui de toute façon ne veut rien dire –  comme vous allez le voir en fin d’article.

L’introduction d’un bannissement numérique est à l’étude. Afin de rendre les réseaux sociaux plus sûrs, le gouvernement s’apprête à déposer un projet de loi pour « sécuriser et réguler l’espace numérique ». Le texte s’appuie sur le règlement européen du Digital Service Act (DSA), mais aussi sur le Digital Markets Act (DMA), afin d’adapter le droit français. L’objectif est d’instaurer un bannissement numérique pour les personnes condamnées pour cyberharcèlement.

C’est totalement pour rendre les réseaux sociaux « plus sûrs ».

Pour les juifs.

D’après le site spécialisé L’Informé, des faits de harcèlement sur un réseau social entraîneront une interdiction d’accéder à la plateforme en question. Twitter, Facebook et autres seront contraints de bloquer le compte utilisé dans le cadre du cyberharcèlement, mais aussi ceux créés avant les faits, tout en empêchant la création de nouveaux comptes. La sanction sera valable pour six mois et jusqu’à un an en cas de récidive.

Actuellement soumise à consultation au Conseil d’État, cette loi serait la première à prévoir ce type de sanction. Mais le texte dessine d’ores et déjà des défis futurs pour les plateformes. Aucun mode opératoire n’est pour l’heure détaillé par le projet du gouvernement. Les sites n’appliquant pas la mesure s’exposeraient pourtant à une amende de 75.000 euros (cinq fois plus dans le cas de personnes morales).

Le bannissement d’un utilisateur puni pourrait passer par l’édition d’une liste noire regroupant les numéros de téléphones et adresses mail à proscrire, imagine L’Informé. Cette mesure serait trop facile à contourner, tandis qu’un blocage via l’adresse IP d’un utilisateur ferait peser les sanctions sur l’ensemble d’un foyer, et non au seul condamné.

Il y aura bien une liste noire des opposants à censurer et cette liste sera très large.

Actuellement seule une infime minorité de personnes est interdite d’utilisation des réseaux sociaux en France. Il n’y en a qu’une en fait. Quand cette loi sera votée, il y en aura des dizaines de milliers.

La soi-disant « adaptation » de cette loi européenne au droit français évoquée ci-dessus n’en est pas une. C’est le retour par la fenêtre de la loi Avia qui avait été dégagée par la porte en 2020. Cette loi avait été pensée par les juifs du CRIF, notamment Gil Taeïb, un élément connu pour être partisan de l’extermination des Arabes entre le Nil et l’Euphrate.

D’ailleurs il fête les 75 ans de sa patrie en ce moment même.

Ces juifs avaient annoncé leur stratégie dans le rapport transmis au gouvernement en 2018 :

L’objectif central de l’initiative à promouvoir à l’échelon européen est de parvenir à l’instauration d’une réglementation européenne, directement inspirée de celles qu’auront mises en place à titre précurseur l’Allemagne, puis la France.

Personne ne prête attention à l’activité de la race juive, si bien qu’elle peut empoisonner en toute impunité l’intégralité du continent dans sa guerre génocidaire contre les peuples blancs.

Les conséquences adviennent aujourd’hui, 5 ans plus tard. Cette loi terroriste sera présentée comme un outil de lutte contre le « harcèlement », mais sera en réalité conçue pour empêcher les Blancs de dire ce qu’ils pensent de la gestion de leur pays par le régime hostile au service des juifs qu’on appelle la république.

Discuter librement de la thèse étrange des chambres à gaz d’Adolf Hitler figure tout en haut des sujets interdits qui vaudront aux gens d’être bannis officiellement de toutes les plateformes. Parler des bourrelets des baleines d’appartement ou des travestis violeurs d’enfants sera également passible de mesures de rétorsion identiques. Ne pas soutenir le remplacement ethnique vaudra le même sort.

La loi pénaliserait principalement le cyberharcèlement, mais intégrerait de nombreux délits. Ainsi, l’avant-projet de loi pointe également le négationnisme, toutes formes de harcèlement (sexuel, moral, scolaire, à l’encontre d’un conjoint), les attaques sur les orientations sexuelles, l’identité de genre ainsi que toutes atteintes liées à l’origine, la religion, le sexe ou le handicap.

Le gouvernement envisage aussi que cette suspension des réseaux sociaux puisse s’appliquer à la diffusion de contenus pornographiques accessibles aux mineurs.

La seule façon d’atteindre l’objectif affiché est d’imposer l’utilisation d’une pièce d’identité et la reconnaissance faciale. Cette technologie est déjà utilisée par divers services, il suffit d’un simple smartphone avec une caméra.

Ensuite, une fois identifiables, les comptes seront bannis en permanence grâce à la liste noire des opposants à proscrire.

Nous avons une solution possible, globale et indestructible, mais elle nécessite entre 6 mois et un an de travail et 300,000 euros (environ). Si par hasard vous avez accès à des ressources financières importantes et que vous voulez les utiliser pour quelque chose de réellement utile (pas payer des 4×4 à des gens de YouTube), vous pouvez nous faire signe ici : [email protected].

Si le système est cohérent, GAB, le seul réseau indépendant, sera interdit en France prochainement. Telegram aussi.

Le forum EELB sera prochainement de retour