Capitaine Harlock
Démocratie Participative
03 mars 2018
Proclamer à la face des Français qu’ils sont les victimes d’une gigantesque entreprise d’anéantissement par les juifs n’est pas chose aisée tant ces derniers contrôlent médias et gouvernement.
La meilleure façon d’arracher un Français de souche de sa confusion est de lui montrer l’araignée juive en train de tisser patiemment sa toile, d’abord dans l’ombre puis, une fois triomphant, en plein jour.
La véritable structure qui dirige la France, le CRIJF, l’a étalé avec aplomb encore récemment à la faveur d’un entretien avec la DILCRAH, sa police politique établie au sein de l’Etat.
Le CRIJF :
La DILCRAH intervient dans les écoles de police ou de gendarmerie et ces formations sont souvent très bien accueillies. Il est également question de formation des magistrats. De quoi s’agit-il ?
F.P. : J’ai obtenu l’accord de principe du directeur de l’Ecole Nationale de la Magistrature pour que la DILCRAH intervienne dans la formation initiale des futurs magistrats en plus des formations permanentes déjà prévues. La formation des magistrats au racisme et à l’antisémitisme est essentielle. Elle doit d’ailleurs ne pas se concentrer aux seules questions juridiques ou de procédures, elle doit permettre à ces hauts fonctionnaires de mieux comprendre les ressorts de ces fléaux.
Nombreux sont ceux qui le savent. Encore plus sont ceux qui l’ignorent : l’appareil d’état français est dans un état avancé de judéo-bolchevisation.
L’antique justice française n’existe plus. Et si elle était déjà largement rongée par le poison marxiste depuis près d’un siècle, son infiltration par les juifs est désormais ouverte et revendiquée.
Le malheureux Français qui se retrouve devant un de ces magistrats à la solde de la tyrannie juive ne comprend pas ce qui lui arrive. Il a à l’esprit les notions morales les plus élémentaires et les plus naturelles chez l’homme européen, celles d’équité et de justice. Il fait une confiance naturelle à l’autorité et au juge, lesquels lui inspire crainte et respect.
C’est dans la confusion et la douleur qu’il découvre que ce monde a vécu et qu’il a été remplacé par une organisation terroriste dont il ne voit pas les fils se mouvoir mais dont il devine qu’elle est possédée par une force démoniaque qui veut le détruire. Le juif étant retiré dans l’ombre jusqu’à présent, il ne pouvait comprendre.
C’est exactement ce qui se passa dans l’URSS : excitée par la propagande juive, les masses réduites en esclavage étaient chauffées à blanc contre les « ennemis du peuple », c’est à dire ceux que les juifs considéraient comme ennemis, avant d’être livrés à la répression sanguinaire de l’appareil judiciaire judéo-bolchevique.
Mais le juif ne peut longtemps se retenir de proclamer son triomphe. Une fois l’état conquis, le juif exige ce qu’il désire par dessus tout : la vénération.
Vous rencontrez également de nombreux représentants d’associations dans les départements ? Quid des réunions du Comité opérationnel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme de Paris (CORA) ? De quoi s’agit-il ?
F.P. : Les comités opérationnels de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (CORA), présidés par les préfets dans chaque département, constituent des lieux précieux d’échanges d’informations mais aussi de présentations d’actions très concrètes. Y sont présents des représentants d’associations, de cultes, de services de l’Etat ainsi que des élus locaux. Mon objectif est de renforcer encore davantage le caractère opérationnel de ces instances et d’éviter des débats trop théoriques ou généraux. Il faut être dans l’action !
Notez bien : l’état a désormais dans chaque département une cellule en charge de la répression contre le « racisme ». Comme nous le savons, le « racisme » ne désigne rien d’autre que l’instinct de conservation des Français de souche, celui qui le protège naturellement des pièges du juif.
Dès lors, tout s’éclaire : l’état est en guerre contre son propre peuple, au plus près du terrain.
Mais pourquoi Diable un état voudrait-il mener une guerre à son propre peuple ? Une seule réponse s’impose : s’il est contrôlé et sert exclusivement les intérêts d’une race étrangère qui lutte précisément contre le peuple que cet état est censé servir.
Donc, ces préfets ne sont rien d’autre que les représentants de la tyrannie juive dans chaque territoire. Et le sinistre travail de police et de répression commence, afin de garantir au juif le maintien en son pouvoir du peuple dont il suce l’énergie vitale, comme le vampire sémitique qu’il est.
Sur Internet, les insultes, les menaces et les innombrables appels à la violence échappent souvent à la justice. De même que les éditeurs et les journalistes sont responsables de leurs déclarations, les opinions exprimées sur les réseaux sociaux doivent-elles se conformer à un cadre juridique plus strict ? Est-il nécessaire de trouver des solutions pour lutter contre les propos discriminatoires ou offensants et contre les fausses informations qui circulent en particulier sur internet ? Faut-il faire modifier/faire évoluer la Loi pour la confiance dans l’économie numérique qui date de juin 2004 ? — Comment la DILCRAH agit pour signaler les auteurs de contenus illicites et sensibiliser les plateformes à l’effort de modération ?
F.P : La loi pour la confiance dans l’économie numérique a été discutée avant la création de Facebook (2004) et de Twitter (2006). Les dernières campagnes présidentielles américaines et françaises ont connu une prolifération de fake news, ce qui pourrait être de nature de remettre en cause la sincérité du scrutin. On voit bien qu’il y a là matière à faire évoluer les normes juridiques tant à l’échelle nationale qu’européenne. Je salue d’ailleurs les propositions communes faites par cinq associations particulièrement impliquées dans la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA – SOS Racisme – UEJF – J’accuse – MRAP). La DILCRAH anime actuellement de nombreux groupes de travail avec les associations et les acteurs du numériques pour lutter plus efficacement contre la haine sur Internet et mettre à niveau le droit actuel.
Une poignée d’organisations juives est le coeur et l’âme de ce projet génocidaire contre la population blanche. Mais l’appétit du juif ne se connait aucune limite : il ne veut pas seulement la France, il veut l’Europe, il veut le monde. Demain la Chine et après demain, l’Inde.
Ce qui est habituellement appelé « République » n’est que le masque de la tyrannie juive, une tyrannie dont le seul et unique but est d’établir une domination sans partage sur les ruines de l’antique société française.
Si le juif devait parvenir à ses fins, la France ne serait plus qu’un fantôme. Ses villes et villages repeuplés de dizaines de millions d’animaux hébétés, traversés de spasmes de fanatisme islamique, se livrant à des rites animistes ignobles, tenus difficilement en respect par une couche policière blanche ou mulâtre réduite à l’état de sujétion le plus extrême sous le commandement fanatique de juifs gros et gras, retranchés dans leurs quartiers organisés en forteresses.
Pour le juif, rien d’insurmontable : ses propriétés seraient inaccessibles au moindre mouvement de foule nègre ou islamique tandis que des millions de Français, réduits à l’état de vie le plus primitif, ramperaient dans ce que fut leur pays pour lequel tant de leurs ancêtres luttèrent.
Pour compléter sa victoire, l’arme du juif est l’arme de l’anéantissement racial qu’il obtient par la caporalisation de millions d’éléments exogènes et le déchaînement de la haine antiblanche par tous les médias que la juiverie contrôle.
Chaque mois qui passe voit le juif resserrer un peu plus l’étau, renforcé par la venue de nouveaux supplétifs ahuris et brutaux en provenance du tiers-monde.
Le juif rit, comme une hyène, de la paralysie de sa victime qui, désorientée, en vient à vénérer son bourreau.
L’équation est simple car nous n’avons pas le choix. On n’évitera pas la guerre contre la tyrannie juive et ses hordes d’envahisseurs musulmans.
Tout cela n’a rien de nouveau, le juif a toujours opéré ainsi. Hier, des hordes d’esclaves slaves encadrés par le NKVD, aujourd’hui des masses de nègres et de musulmans supervisés par ces juifs.