Captain Harlock
Démocratie Participative
05 juin 2018
Le gouvernement d’occupation ne semble pas satisfait des études d’opinion qui démontrent, avec une désespérante régularité, le peu d’enthousiasme des Blancs à l’idée de se faire submerger de nègres et de musulmans.
Le moment est donc venu de passer en mode full Pravda, le plus officiellement du monde.
Françoise Nyssen a présenté ce 4 juin ses propositions pour «transformer l’audiovisuel public». Parmi les suggestions du ministre de la Culture, faire de ce service trop peu représentatif, selon elle, de la diversité un «média engagé».
«La transformation de l’audiovisuel public était un engagement de campagne du président de la République, c’est désormais une priorité de l’exécutif», a souligné ce 4 juin en préambule de son intervention Françoise Nyssen, ministre française de la Culture, devant les patrons de France Télévisions, Radio France, Arte France, France Médias Monde, TV5 Monde et l’Institut national de l’audiovisuel. Dans ce cadre, elle a annoncé l’audiovisuel public avait vocation à devenir un «média engagé», qui aurait notamment pour mission de «changer les mentalités sur le terrain».
«Ce média engagé doit être le miroir de nos différences. D’un sexe et de l’autre, ou des deux, de toutes les couleurs, de toutes les origines, les urbains, les ruraux», a-t-elle précisé. «Le pays des Lumières, sur ce sujet de la diversité, est hautement réactionnaire», a poursuivi Françoise Nyssen, précisant : «Avec une volonté politique sans ambiguïtés, notre média engagé changera les mentalités sur le terrain.»
Le ministre avait auparavant estimé ce 22 mai au sein de la commission des Affaires culturelles de l’Assemblée nationale, chargée de plancher sur les modalités du projet de loi censé lutter contre la «manipulation de l’information» : «La capacité de discernement des citoyens ne suffit plus.»
Enfin, dans son discours, le ministre de la Culture a fait référence aux propos de Delphine Ernotte, qui, prenant la tête de France Télévisions en 2015, avait jugé trop nombreux les «mâles blancs de plus de 50 ans» à la télévision française.
«Delphine, tu as dû te sentir bien seule lorsque tu portais un constat à la fois évident et courageux. « L’homme blanc de plus de 50 ans », vous vous en souvenez. Tu n’es plus seule. Je porterai cette exigence avec autant de passion qu’au sein de mon ministère. Je n’aurai pas de tabou», a fait savoir la fondatrice des éditions Actes Sud. Un terme qui, repris quelques jours auparavant par le président de la République, avait fait polémique.
Les juifs ne peuvent plus se contenter de demi-mesures. Nous entrons désormais dans la phase de bolchevisation du système.
Ils assument donc la militarisation des médias qui vont, bien plus encore qu’actuellement, devenir l’instrument de terreur au service de la négrification et de l’islamisation totale de la France qu’il s’agit de subjuguer, comme le reste de l’Europe, avant qu’une révolution raciste ne survienne.
L’homme blanc est ouvertement cité comme la cible à abattre et vous aurez noté que les juifs désignent des femmes blanches pour faire leur travail. C’est plus discret, de prime abord, et permet de rallier un certain nombre de traînées en guerre ouverte contre l’homme blanc.
Et je ne parle pas des cohortes de métèques dûment mandatés pour faire le travail.