Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Mars 2020
La finance internationale ne perd jamais l’opportunité d’une crise pour resserrer encore plus l’étau sur les peuples.
C’est exactement ce qui est en train de se passer en France alors que la confusion règne autour du Coronavirus.
Les congés payés vont être abolis, indéfiniment, sur ordre du CAC40.
Marianne :
A la guerre comme à la guerre, répète le gouvernement. D’où l’idée d’introduire dans la loi « urgence coronavirus », qui doit être votée définitivement ce vendredi 20 mars, une réforme importante du droit de travail. Et surprise, le texte adopté par le Sénat ce jeudi dans la nuit ne prévoit aucun caractère « provisoire » ou « exceptionnel » pour la nouvelle loi. En clair, les mesures prises prendront un caractère définitif. Plusieurs acquis sociaux pourraient être rognés, comme le droit aux congés payés ou la durée hebdomadaire de travail. Le tout sous la pression du patronat.
La question est d’autant plus prégnante que dans le Figaro, un « haut représentant patronal » propose… de ramener les congés payés à deux ou trois semaines, du moins cette année : « Si c’est nécessaire pour limiter les conséquences économiques de la crise sans précédent que nous traversons en ce moment, les Français pourraient renoncer à deux à trois semaines de vacances en juillet et août. En tout cas, cela ne me choquerait pas ». D’après LCI, il s’agit d’une suggestion… du Medef, le principal syndicat patronal. Interrogé sur la chaîne d’info, le ministre Bruno Le Maire n’a pas confirmé, sans pour autant écarter clairement cette hypothèse : « Arrêtons de parler d’efforts et parlons déjà plutôt de solidarité ».
Le Coronavirus est évidemment une excuse.
Une fois acté, d’autres excuses seront trouvées pour proroger le principe et procéder à d’autres amendements.
?SUIVI – En Marche vers la régression sociale. « C’est confirmé » indique Marianne. La loi « urgence #coronavirus » va revenir sur les droits aux congés payés, les 35 heures, et sans date limite. Les mesures prises prendront un caractère définitif. (Marianne) https://t.co/BUsbpfdZzi
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) March 20, 2020
La banque américaine JP Morgan prévoit une croissance du PIB de -22% ce trimestre pour la zone euro.
Bref, une dépression économique totale.
JP Morgan predicts an ugly global recession: « global economy is poised to contract this quarter & next with the US projected to decline at a -14% and the Euro area at a -22% ar next quarter. » But my view is that it’s highly unlikely that growth grows >0 by Q3. At the earliest Q4!
— Nouriel Roubini (@Nouriel) March 20, 2020
Une telle dépression est de nature à détruire la totalité des banques européennes et avec elle l’Euro comme monnaie.
Ce n’est pas perdu pour tout le monde.
La finance juive va presser les états européens endettés comme des citrons.
Ce truc n’est que le début
Dès l’origine j’ai dit que ce virus, en l’état, n’était pas très dangereux mais que s’il mutait, il pourrait revenir sous une forme beaucoup plus agressive l’année prochaine.
En général, une pandémie implique plusieurs vagues et la seconde est plus violente que la première.
Si vous pensez que des souches sont en train de muter en Afrique, au Moyen-Orient et dans d’autres trous à rats de la planète, vous savez que c’est le scénario probable : être enfermé dans un espace confiné avec un xénomorphe hostile qui se reproduit à la vitesse de l’éclair.
Dans ce cas de figure, nous sommes enfermés avec plusieurs xénomorphes : le virus, les juifs et la diversité.